Seuls, tome 10 : La machine à démourir

Eh bien voilà, maintenant je suis encore plus frustrée car je ne possède pas les tomes suivants et l'histoire reste aussi énigmatique. Certes, ce dixième tome est assez plaisant car se centrant assez sur les personnages de Terry et du Maître des couteaux qui a enfin un nom grâce à Terry qui l'appelle Koupchou et qui n'est pas aussi méchant qu'il n'en a l'air mais au point de vue de l'histoire, hélas pas beaucoup d'évolution. Koupchou et Terry se retrouvent isolés des autres, coincés ou pour ainsi dire perdus dans un salon...du jouet, le rêve pour Terry vous n'imaginez même pas à quel point mais tout cela ne va pas faire avancer le schmilblick, si ce n'est que Terry a eu une idée assez originale pour une fois, le fait de mourir à nouveau pour que tout ceci s'arrête enfin et qu'ils puissent retrouvent leur vie d'avant, seulement "la machine à démourir" comme il l'a appelé , se calant sur des films qu'il a déjà vus, version Frankenstein lui pose un sérieux problème : et si cela fonctionnait mais qu'il se retrouvait tout simplement réellement morts, à savoir dans leur cimetière d'origine car si ils sont réellement morts, ils ont forcément dû être enterrés, non ? C'est la raison pour laquelle Terry veut y rajouter la magie...de Noël (avouez que c'est une sacrée coïncidence que je lise cet ouvrage juste à ce moment de l'année; non ? Il n'y en a pas, bon tant pis, c'est dans mon imaginaire à moi alors...). Arriveront-ils à mettre leur plan à exécution ? Rien n'est moins sûr...mais de toute façon, ce n'est pas en faisant rien non plus qu'ils trouveront une solution à leur problème alors...

Je ne vous en dit pas plus concernant l'intrigue car, comme je le disais au début de cette critique, celle-ci n'a guère évolué mais toujours est-il que j'ai trouvé cette lecture plaisante avec des graphismes toujours aussi soignés et que je n'ai qu'une hâte désormais, savoir la suite. Un tome qui reste émouvant car le lecteur, grâce à Terry qui est le plus petit de la bande, se rend compte que cette aventure bien plus qu'étrange et terrifiante arrive bel et bien à des gamins qui devraient, à l'heure qu'il est, ne pas penser à comment survivre mais à s'amuser tout simplement et rien de plus ! Gros problème en ce qui me concerne, étant donné que j'ai emprunté les dix tome que la médiathèque dans laquelle je travaille te me ravitaille de temps à autres en bandes dessinées, j'ai bien peur de devoir attendre un long, voire un très long moment, à moins que d'autres possèdent la suite. A voir !

Mes neveux, 8 et 10 ans, sont fans de cette BD. Ils la lisent et la relisent.

Il me fallait donc savoir de quoi il en retourne.

Dans ce tome, après Shining, on est dans massacre à la tronçonneuse et des films de Spielberg sur les dinosaures. Bref tout cela reste très sombre, avec des frissons et beaucoup de clins d'oeil. Pas sure que mes neveux en soient conscients.

Ce tome est sans doute un album de transition qui prépare des rebondissements futurs. Nos héros se trouvent isolés en petits groupes et Terry se retrouve avec le maître des couteaux, qu'il appelle Koupchou, toujours aussi flippant. le petit garçon invente la machine à démourir, et ouvre la voix au pathos avec l'évocation du souvenir de ses parents.
Un bon tome même si l'intrigue évolue peu, avec un graphisme toujours aussi bon.

Le tome 9 remonte à tellement longtemps que j'en avais un peu oublié ce qu'il s'y passait et les premières pages de celui ci ne nous donne pratiquement aucun rappel… Une petite relecture rapide, ou au moins un feuilletage, s'avère pratiquement indispensable avant de se lancer.

On retrouve ainsi Terry et le maitre des couteaux pris dans une tempête de neige. Ils s'abritent bientôt dans un endroit que l'enfant à repéré depuis une colline. Pour son plus grand bonheur le bâtiment accueille justement un immense salon du jouet entièrement vide. Peluches gigantesques, voitures téléguidées, karts de compet' et même drones s'offrent à leur imagination et à leurs besoin. C'est d'ailleurs en croisant un stand représentant le docteur Frankenstein que Terry va avoir une idée absurde et qui pourtant pourrait fonctionner : Construire une machine à démourir. Après tout, si mourir dans les limbes ce n'est pas vraiment mourir pourquoi ne pourrait-on pas trouver un moyen de s'échapper en démourant ? Ce n'est pas plus idiot.
(Lire la suite sur le blog)
Lien : http://kobaitchi.com/seuls-t..

En attendant la sortie de l'adaptation cinématographique du premier cycle en février 2017, je me suis attaqué à ce dixième tome qui ouvre le troisième cycle de cette saga.

Au fil des tomes du cycle précédent, le duo Vehlmann/Gazzotti (« Des Lendemains sans Nuage ») avait dispersé les cinq héros (Camille, Leïla, Terry, Yvan et Dodji) qui errent dans les limbes en compagnie d'autres enfants décédés, développant ainsi plusieurs trames en parallèle. Ce dixième volet se concentre néanmoins surtout sur Terry, qui a trouvé refuge au sein d'un grand hangar qui abritait le 5ème Salon du Jouet. Accompagné du Maître des Couteaux, le plus jeune de la bande des cinq va tenter de construire une « machine à démourir » qui lui permettra de quitter ce Monde des Limbes et de retourner chez les vivants. L'apparition soudaine de Camille va cependant perturber son plan et plonger son compagnon dans une folie meurtrière…

En parallèle, Fabien Vehlmann laisse également entrevoir ce qu'il advient des autres enfants de la bande suite à la conclusion assez mortelle du tome précédent. Si Camille a droit à une étrange apparition aux yeux rouges, Leïla se retrouve plongée dans un sommeil sans rêve suite au coup d'arbalète du tome neuf, tandis qu'Yvan se retrouve en bord de mer dans la maison de vacances familiale suite à sa noyade. Dodji n'est pas beaucoup mieux loti puisqu'il se retrouve prisonnier du Maître Fou à Fortville.

À l'aide d'une narration impeccable, Fabien Vehlmann installe non seulement une ambiance d'angoisse et de mystère, mais il propose surtout une aventure prenante. S'il enveloppe l'ensemble d'une bonne dose d'angoisse, il parsème également son suspens de fraîcheur et d'humour… mélange qui fonctionne à merveille.

Si le cycle précédent invitait à découvrir l'organisation sociale et politique de la citée de Néo-Salem, tout en distillant quelques informations sur les « 7 familles », Fabien Vehlmann avait gardé suffisamment de matière sous la main pour nous tenir en haleine lors de ce nouveau cycle. Cette suite n'apporte à ce titre pas beaucoup de réponses, mais ne manque pas de nous tenir en haleine.

Visuellement, le dessin assez rond et légèrement caricatural de Bruno Gazzotti est d'une grande lisibilité et donc très adapté à un public plus jeune. La mise en couleur sied également très bien à ce monde peuplé d'enfants attachants à la bouille bien sympathique. Mais attention, cette série n'est pas aussi gentillette qu'elle n'en à l'air, comme en témoignent les nombreux morts, la torture infligée à Dodji ou la course poursuite à la tronçonneuse dont est victime Terry, sans même parler du fait que ces enfants errent dans les limbes.

Bon, il ne me reste plus qu'à aller voir le film avec mes enfants en attendant la sortie du onzième volet !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..

Je reprends ici la série Seuls et je dois dire que je suis retournée lire le résumé de l'épisode précédent étant un peu perdu. Pas de révélation dans ce tome. Terry et le maître des couteaux déambulent et trouvent refuge dans un magasin de jouets.

Dans le neuf, si ma mémoire est bonne, le groupe avait quitté Neosalem, s'était réfugié dans un chalet mais avaient dû fuir, attaqués par les hommes d'Eloi. Malheureusement, ils se voient contraint de se séparer.
Dans ce tome-ci, Terry se retrouve avec le maître des couteaux qu'il appelle du charmant nom de Koupchou. Autant vous dire qu'entre les deux, il y a du level. Ils se retrouvent au cinquième salon du jouet et explorent volontiers les lieux. Ils s'amusent jusqu'à ce que Terry ait une idée lumineuse : utiliser les matériaux trouvés dans les différents stands pour fabriquer une machine à démourir. Tout se passe bien jusqu'à ce qu'une troisième personne les rejoigne et là, ça tourne au cauchemar.

L'intrigue avance très peu cette fois. On a bien quelques passages où l'on découvre ce que vit Dodji, mais pas suffisamment pour que ça soit passionnant. Dans l'ensemble, c'est surtout un interlude et le peu qu'on apprend sur les familles tient en deux pages.
Je me casse la tête depuis tout à l'heure pour savoir ce que je peux dire de plus et honnêtement, je ne vois pas. L'histoire parle d'elle-même, c'était sympa, mais sans plus. Je ne peux même pas dire que c'était dépaysant puisque Terry et le maître des couteaux sont “enfermés” dans le hall où ils ont trouvé refuge. Pourtant, ça aurait pu vu le décor que nous installe le cadet du groupe… à défaut, cela m'a fait sourire.
Malgré cela, c'était loin d'être déplaisant et j'ai passé un bon moment… sans plus.
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Après un tome 9 haut en couleurs, en rebondissements et en révélations, j'ai trouvé celui ci un peu plus plat.

Il est principalement centré sur Terry et le maître des couteaux. du coup, nous avons que des bribes d'infos sur ce qui se passe pour les autres.
On retrouve un peu le maître fou, mais toujours aussi terrifiant et mystérieux.

J'ai apprécié en savoir un peu plus sur les autres familles, même si cela est peu, on découvre petits à petits à quoi elles sont liées.

Pfiou... plus qu'à attendre la suite...!

Bon je découvre enfin le dernier tome sortie, après avoir relu toute la série.

Celui-ci est en dessous du précédent...
Bien qu'on en apprenne plus sur les 15 familles (certains de leurs noms ou de leurs fonctions), le tome reste très concentré sur Terry et la maître des couteaux (rebaptisé Koupchou, allez savoir pourquoi !).

Terry décide de construire une machine pour ne plus être mort (ou démourir), il le fait avec des jouets, on ne comprend pas trop l'intérêt, ni ce que ça va apporter. Koupchou n'est pas vraiment utile à Terry car comme d'habitude il ne cause pas. Pourtant après avoir reçu un cadeau très étrange, il va se retourner contre Terry et vouloir le tuer. Et là je dis Whaaaaaaat ?
Je n'ai pas vraiment compris tout ce passage...

Finalement la fin du tome nous surprend complètement, mais j'avoue que je suis de plus en plus perdu !!

Elise__♥

Encore un épisode où il ne se passe pas grand chose. Où plutôt il y a de l'action mais on avance pas beaucoup dans le récit. Je trouve toujours les explications très brouillonnes et ce monde difficilement compréhensible (bon j'ai peut-être rater des trucs et lire un album tous les 6 mois ça n'aide pas). Malgré cela, on s'attache à ce monde étrange et ses personnages tout aussi étonnant mais plutôt attachants pour la plupart.
Ici, le récit s'attarde sur Terry et le Maître des couteaux. Dans d'autres circonstances (enfin d'autres séries), Terry aurait été un personnage barbant et tête à claques, mais ici, il est plutôt un personnage marrant et le seul qui est garde son âme d'enfant.