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4,05

sur 2340 notes
Je suis une fan inconditionnelle de Karine Giebel. Je suis tombée dedans avec « Les morsures de l'ombre » puis j'ai enchaîné un à un tous ses romans. Je les ai tous aimé avec des préférences plus marquées pour « Meurtres pour rédemption » ou « le purgatoire des innocents ».
Avant de commencer ma lecture de « Ce que tu as fait de moi », j'avais vu passer de nombreuses chroniques mitigées, voire assassines. le thème abordé choquait, la manière de le traiter encore plus.
Même pas peur, au contraire j'étais impatiente de m'immiscer dans ce nouvel opus afin de me faire mon propre avis.
Verdict ? J'ai bien aimé.
D'abord, je tiens à préciser que cette histoire n'est pas un thriller. D'ailleurs, cette mention n'est pas précisée sur le bouquin, que les choses soient claires dès le départ. D'autre part, c'est une fiction. Donc à partir de là, pas de souci pour moi. Je lis ce livre comme on regarde un film.
Pas de messages subliminaux, pas d'interprétation tortueuse, juste une intrigue et des personnages à découvrir.
Ici, nos deux protagonistes principaux sont Richard et Laëtitia.
Richard 45 ans, marié et père de deux enfants est commandant à la brigade des stups depuis 8 ans. Laëtitia est également mariée et mère d'une petite fille. C'est en qualité de lieutenant stagiaire qu'elle débarque dans l'équipe. Une simple poignée de mains entre ces deux-là suffira à déclencher à un cataclysme au sein de la brigade.
Quand j'évoque un cataclysme, je veux parler d'une passion destructrice, d'un amour toxique qui engendre une perte de contrôle de soi totale.
C'est noir, c'est fascinant, déstabilisant. Il est question de pulsion, de possession, de domination, de destruction. Les contours de la passion sont décrits avec justesse et il nous est rappelé régulièrement que si nous ne l'avons pas vécu, nous ne pouvons pas comprendre.
le lecteur va être témoin de cette descente aux enfers. L'amour passionnel, c'est beau, ça fait envie. Pas ici. Karine Giebel nous présente dans ce roman la face la plus sombre de la passion. Elle va mener nos personnages jusqu'aux confins de la folie. Entre Richard et Laëtitia, c'est immédiatement le coup de foudre. Enfin, pour Richard surtout. Ce coup de foudre se transforme en obsession, en addiction. Ils vont se comporter comme deux héroïnomanes en manque, incapables de se passer l'un de l'autre mais incapable de vivre ensemble sans se faire mal. Impossible de placer le curseur au bon endroit pour trouver un équilibre acceptable.
Le style de l'auteure reste le même : fluide, direct, percutant. Sans fioriture ni nuance. Les dialogues sont authentiques. L'alternance des points de vue est intéressante. J'ai simplement regretté certaines répétitions, certaines longueurs qui ont alourdi le récit. Parfois, j'avais l'impression d'une histoire sans fin.
Quand la chute arrive enfin, c'est la délivrance. Je respire à nouveau.
« Ce que tu as fait de moi » n'est pas une promenade de santé mais néanmoins une lecture addictive.

Mon dernier mot sera pour Laurent : merci pour ta générosité.
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Du grand, du beau, du fort, du lourd, bref... du Karine GIEBEL... Un huit clos haletant... Un amour passionnel... Une relation destructrice... L'auteure a, une nouvelle fois, réussi un tour de force en ne nous laissant aucun répis dans notre lecture... Comme toujours, j'ai dévoré le dernier né de la grande, très grande Karine... Pour moi, Karine GIEBEL est au polar ce que Christiano RONALDO est au football...
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J'ai pris mon temps pour donner mon avis sur ce livre. Après l'avoir refermé, je me suis demandé si je l'adorais ou le détestais. J'ai laissé du temps pour mûrir ma réflexion, mais un mois plus tard, je reste indécise. Cette lecture est inclassable, m'a mise à mal, oscillant entre empathie pour le harceleur et détestation pour son comportement inhumain.
"Ce polar est un huis clos où tout se déroule dans deux salles d'interrogatoire. La lieutenante de police Laetitia Graminsky et Richard, le patron de la brigade des stups, se livrent sans concession. Tout commence par l'arrivée de Laetitia dans la brigade, perturbant l'équilibre précaire. Qui est le coupable ? Est-ce aussi simple que pile ou face quand la passion s'en mêle ?
La transformation de Richard, un patron attentif, est intrigante. Après plusieurs mois au placard, Laetitia a enfin sa chance, mais elle a fait une erreur. J'ai repoussé la lecture de ce roman sur le harcèlement, qui traite de sujets lourds. Karine Giebel explore la nuance de gris, où les criminels ne sont pas toujours les pires et les victimes ne sont pas simples. Les scènes de sexe sont parfois abusives, ce qui peut choquer.
Le revirement d'Olivier m'a déconcertée, et le roman invite à garder les yeux ouverts sur les comportements toxiques même du côté de la loi. Karine Giebel explore l'ambiguïté humaine, mais sa position féministe ou antiféministe reste ambiguë.
La passion peut-elle vous faire basculer ? Ce livre m'a touchée profondément, mais je ne sais pas si vous aimerez ou détesterez. Il suscite des émotions complexes et restera avec moi longtemps. Une lecture inclassable qui pousse à la réflexion.
Lien vers l'avis complet
Lien : https://lesparaversdemillina..
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Karine Giebel une auteure dont j'aime beaucoup les histoires
Ce livre ci m'a laissé mitigée
L'histoire d'une passion destructrice entre Richard Ménainville le patron des stups et son lieutenant Laetitia Graminsky
Une histoire sombre qui m'a dérangé
Une histoire de manipulation , d'emprise , de pouvoir entre un homme et une femme
L'écriture de Karine Giebel est toujours aussi incisive , au scalpel
Ce type Ménainville qui utilise son pouvoir , sa position hiérarchique pour assouvir ses désirs , j'ai detesté cet homme
Un rappel coup de poing de toutes les histoires de viols , harcèlement que l'on entend partout ces temps ci
La femme souvent humiliée , bafouée , abusée , souvent la victime
D'un mari , d'un collègue , d'un chef
Cette histoire a fait ressurgir tout ça , toute cette pourriture qui m'insupporte
Sans doute pour cette raison que je n'ai pas accroché à cette histoire
Un sentiment gênant , une impression sourde désagréable
Un Giebel que je ne retiendrai pas à cause du sujet de fond de ce livre
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De l'amour à la haine il n'y a qu'un pas, un infime pas... C'est ce que vont vivre les deux personnages de ce roman !! Une histoire si intense qu'ils n'en sortiront pas indemnes.
Quel bonheur de retrouver Karine Giebel, toujours un plaisir de retrouver son écriture, une histoire qui nous tient en haleine du début à la fin comme toujours.
Décidément une de mes autrices préférée
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Encore une belle réussite...

Dés le début du roman, Karine Giebel instaure une ambiance lourde. Sans pour autant nous dire ce qu'il c'est passé, nous comprenons que les évènements étaient graves, assez pour mettre Richard et Laëtitia en garde à vue.

Au fil des pages, chacun raconte sa version des faits. Laëtitia est touchante, révoltante et ambiguë. Impossible de rester insensible à ce qu'elle raconte, mais tellement difficile de comprendre ses choix.

Quant à Richard, il a tout du monstre, il raconte, il se dédouane, il se réfugie dans des excuses... Mais au final, on s'attache à lui, à sa folie.

J'ai été bluffé de la neutralité de Karine Giebel. Elle arrive vraiment à faire parler Richard. Elle parvient à nous plonger dans cette histoire obscure. Elle parvient à ce que le lecteur désire connaitre la suite, tout en ayant conscience que cette fin ne sera que tragique...

Et puis il y a cette fin, à la hauteur de cette auteure. Magistral, impartial et sans concession ...

J'ai dévoré ce roman, bien moins violent physiquement que certaines oeuvres de cette auteure, mais qui à tout de la torture psychologique. Elle à su nous plonger dans cet univers de folie et de douleur, sans que le lecteur ne sache s'il doit prendre partie... Une belle réussite.

Belles lectures à tous.
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Je continue avec mes thrillers d'auteurs français, avec celui-ci qui vient de sortir en Pocket ce mois-ci (mars 2021), publié chez Belfond en 2019. Je ne connais Karine Giebel que depuis quelques mois, j'ai lu deux livres d'elle, de bons thrillers très prenants. J'ai commandé celui-ci dès qu'il est sorti en Poche, soit il y a quinze jours, et j'ai plongé directement malgré ce titre que je trouve un peu.... un peu Harlequin. Un peu Harper Collins, dois-je dire, même, sans lire le résumé comme d'habitude, parce que lire le verso d'un bouquin soit vous spoile le truc, soit l'éditeur, pour booster les ventes, nous promet une histoire qui nous fera prendre des vessies pour des lanternes. Je préfère plonger directement et me laisser porter par l'histoire.
On ouvre le livre sur deux flics interrogés séparément par l'IGPN, alias la police des polices, alias les Boeufs-Carottes. Dans une pièce, un commandant de police, la cinquantaine, dans l'autre une jeune officier de Police, Laëtitia, 35 ans. L'ambiance est lourde, on sent bien que quelque chose de très grave s'est passé, et qu'ils sont soupçonnés. Mais il leur faut raconter l'histoire depuis le début. Et le début, c'est l'arrivée de cette jeune lieutenant de police, arrivant pour la première fois dans ce service des Stups de la ville de L. (Je déteste lorsque les auteurs font ça. Une initiale dans une fiction, pourquoi ne pas inventer un lieu ? Bref, on aura droit à L, à R, etc).
La jeune femme a passé des années à faire les études nécessaires pour être officier de Police, en reprenant ses études après son mariage et la naissance de sa fille. C'est sa vocation. Elle est à des centaines de kilomètres de sa fille et de son mari, pour ce premier poste. Elle arrive pour renforcer les effectifs de cette brigade de police, et va se présenter à Richard, commandant de la Brigade. Elle est donc pour l'instant stagiaire. Elle trouve son nouveau patron très bien, sympathique, presque charismatique, et a hâte de se mettre au travail.
Dans l'autre pièce, il y a Richard, commandant de la Brigade des Stups, qui raconte le début en même temps, mais lui a été secoué par l'arrivée de la jeune policière. En fait, à sa vue, il ressent une onde qui le parcourt violemment : lui, l'homme amoureux de sa femme Véronique depuis vingt ans, vient d'avoir un coup de foudre d'une violence rare.
A deux portes de là, Laëtitia raconte ses débuts à faire du travail de bureau uniquement, mais elle réclame plusieurs fois à participer aux opérations. Lorsque Richard accepte, Laëtitia fait capoter une arrestation de dealers : elle avait gardé son portable sur elle, et il a sonné. de retour au commissariat, le commandant se met dans une rage folle, disproportionnée à ce sujet, la remettant à l'administratif, l'humiliant devant toute la brigade. Il en rajoute un max, il lui donne un dossier ultra urgent à lui rendre en main propre, et Laëtitia, complêtement déstabilisée par la façon dont il l'a traitée, va prendre une décision qu'elle regrettera : elle va rendre le dossier en main propre, mais comme Richard est rentré chez lui, elle prend sa voiture et va ramener le dossier chez lui, à son adresse privée. Il est tard le soir, Richard lui ouvre la porte, et Laëtitia voit qu'il est seul avec son second, le capitaine de la Brigade, qu'ils sont saouls, que les bouteilles s'amoncellent, bref, elle est très mal à l'aise. Les deux hommes lui donnent des verres à boire "pour se détendre", et la violent tous les deux, l'un après l'autre. S'ensuivent des menaces, manipulations, jour après jour, même son mari ne le sait pas, elle ne peut pas le lui dire. le commandant soufflera le chaud et le froid, la mettant régulièrement en porte à faux vis à vis du reste de la brigade, il profite de chaque moment où ils se retrouvent seuls pour l'agresser sexuellement, pour l'humilier, et lui faire peur. Et elle a peur, et cède, pour sa carrière.
Dans l'autre salle, le commandant raconte la même chose, sans se cacher, raconte tout, à une différence près : il aime Laëtitia, et il SAIT qu'elle l'aime. On sent bien qu'il est persuadé de cela, ce qui l'autorise à faire des choses insensées : la suivre constamment, placer un micro chez elle, une balise gps sous sa voiture, ne parle plus à sa femme, et invoque des "opérations" ou des réunions pour ses absences répétées le soir, la nuit, pour justifier son attitude et son agressivité. Son caractère change, il est constamment hors de lui au travail, et il profite de ses relations pour écarter le mari de Laëtitia en lui disant que sa femme a une liaison. Il est clair sur tout cela, qu'il reconnait et le récit de la montée en puissance de cette folie est raconté quasiment de la même manière, de la part de la victime et de la part de l'agresseur. Les récits s'entrecroisent. C'est une histoire saisissante, on n'arrive pas à lâcher ce thriller....Et là j'en suis à la page 420, et il est deux heures du matin, je pose le livre et je le reprends dès le lendemain.


Hier soir, donc, je reprends le bouquin, mais peu à peu c'est pour moi le malaise qui s'installe. Les enquêteurs de l'IGPN ont une attitude d'intérêt pour le côté déviant de l'histoire, et jouent limite aux psys. le récit en double du sentiment de puissance de Richard, le sentiment de culpabilité de Laëtitia qui finit toujours par céder à son patron, l'attitude des enquêteurs, très intéressés, tourne vraiment à l'horreur, pour moi. Et le fait que l'auteure pousse le bouchon jusqu'à parler d'amour, de passion, d'amour fou, et de "bénir" le tout par les dernières pages, le twist final, me laisse stupéfaite.
Je suis scotchée. Il s'agit de viols, d'agressions, de harcèlement, sexuel et au travail, d'un viol en réunion, et ce sont des crimes. LE VIOL EST UN CRIME. Alors raconter tout ça sous couvert d'une passion, d'amour, me dégoûte soudain. Qu'en penseront des femmes qui ont été violées ? Celles qui sont ou ont été victimes de harcèlement de la part d'un homme, un patron ou un conjoint, ou même un malade mental ? On a bien vu que la jeune femme, sous l'emprise de l'alcool, ou même de la drogue avalée à son insu, ressent malgré elle des orgasmes (tout est suggéré, dans ces moments, jamais d'impudeur), ça arrive. Ça arrive lors de viols, c'est reconnu, ça ne veut pas dire qu'on a "aimé ça". Un viol est, dans ce cas, une agression criminelle d'un homme sur une femme, et ça laisse la femme détruite. C'est une annihilation, c'est prendre cette femme pour un objet qu'on détruit pour se prouver sa propre puissance. Pensons aux jeunes hommes, à tous les hommes qui lisent ce thriller: c'est dédouaner cet acte criminel en disant que c'est l'amour, la passion.. certains pourront y croire. Comment peut-on accepter qu'une femme, auteure de nombreux thrillers toujours prenants, toujours haletants, présente cette histoire de cette façon ? C'est bien, que cet homme viole et humilie cette femme, détruise sa vie à elle parce que c'est la PASSION ? NON. Non non et non.
Je ne suis pas un "perdreau de l'année". J'ai vécu beaucoup de choses, de toutes sortes, mais heureusement je n'ai jamais été violée. J'ai connu une passion, à 21 ans, il m'a quittée, j'ai mis des années à m'en remettre, j'y pense encore, mais il n'y a jamais eu de violence. C'est impensable. Je ne suis pas spécialement prude, mais là, le malaise est énorme. Que dire ? Effectivement, c'est très prenant. Mais les 200 dernières pages démolissent moralement ce thriller.
Je ne sais plus quoi en dire. J'ai aimé le suspense absolu, j'ai détesté la façon dont cette histoire est justifiée par l'auteure, dans les 200 dernières pages.

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Un grand thriller psychologique, cela commence par un interrogatoire du Lieutenant Laetitia Graminsky et du Commandant Richard Menainville, ils travaillent tous les deux chez les Stups.
Ils racontent leur histoire, leur relation passionnelle et destructrice.
C'est un jeu malsain où chacun se détruit. Il y a beaucoup de sentiments:haine, amour, violence,manipulation jusqu 'au drame.
La passion jusqu' à la folie.
C est un roman fort, dérangeant, violent, grave.
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C est grâce à ce roman que j'ai découvert Karine Giebel.
Un roman extra, corrosif, malsain, passionnant. On a deux points de vue, une même histoire. Il faut le lire, à tout prix !
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Je n'ai pas pu aller au bout de cette histoire nauséabonde, sordide, immonde. Richard, marié, "tombe amoureux" de Laetitia, mariée, elle aussi. Qu'à cela ne tienne, il la veut, il l'aura. Et cette "folle passion" commence par une relation non consentie que son collègue et lui lui imposent de manière brutale après l'avoir fait boire. "Amoureux". "Passion". Sérieusement ???
Je ne comprends pas ce que l'auteure a voulu montrer. Jamais je n'ai lu une phrase permettant de se dire qu'elle se distanciait des faits ou qu'elle les dénonçait. Au contraire son message semble légitimer les actes Menainville par la supériorité de l'homme. Par « amour » (non par désir ce n'est pas la même chose) il va posséder, soumettre, briser celle qu'il dit aimer.

Jusqu'à ce que la nausée m'empêche d'aller au-delà, je n'ai lu que coups, brutalités, violences, viol, perversion, humiliation. Et l'auteur de prétendre « c'est de l'Amour » WTF ???? Parce que « la passion… la vraie, ça ne s'explique pas » que « Sans elle, ou sans l'espoir de la connaitre un jour, que serions-nous ? Des coquilles vides et froides » C'est sérieux ? Karine Giebel, vous y croyez vraiment ? Vous cautionnez tout ça sous prétexte de passion qui rend déraisonnable ? beurk

Je n'ai pas pu aller au bout. J'ai détesté ce discours glauque qui ne dénonce rien mais excuse au nom de la passion, la seule chose qui vaille la peine. Excusez-moi, je vais vomir. beurk

Mais le pire, c'est que je n'ai croisé qu'une seule lectrice dénonçant ce discours ambigu, cette apologie de la violence. UNE ! Alors que j'ai lu des dizaines de chroniques dithyrambiques. On peut trouver le style addictif, l'écriture soignée et se distancier des propos, regretter le sujet et son traitement. Mais non, rien sauf chez "Il est bien ce livre".
Le monde m'affole de plus en plus.
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