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3,76

sur 1409 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Je savais à l'avance que j'aimerais (ayant fait les 2 jeux vidéo), mais je ne me doutais pas à quel point je serais absorbé par les pages.

J'ai entendu dire que c'était un peu long parfois, je ne l'ai pas ressenti comme ça, je trouve que cette lecture démarre doucement pour passer la vitesse supérieure à chaque chapitre, de plus comment développer un personnage aussi complet que Artyum sans descriptions, comment dépeindre l'ambiance des stations et la politique de chacune d'entre elles sans descriptions ? Impossible tout simplement à moins de survoler le tout et en faire un énième post-apo qui ressemblerait aux autres.

J'ai beaucoup aimé également les personnages que l'ont croise au long de cette aventure même si certains sont un peu caricaturaux, nous ressentons vraiment que c'est un livre écrit par un auteur russe, au moins ça me change un peu des américains que l'on connaît par coeur (sans vouloir faire de conflit, mes propos n'ont rien à voir avec la politique mondiale actuelle).

Pour les lieux, le métro, bon jusque là c'est assez classique, par contre chaque tunnel, chaque station, sont vraiment différentes et les tunnels sont limite flippants, je n'aimerai pas les empreinter en vrai.

Le bestiaire est génial et les passages en exterieur sont vraiment bien travaillés, de plus cette édition augmentée embarque un chapitre supplémentaire très intéressant sur le point de vue de Artyum sur l'aventure qu'il a vécu. Comme dans la version brochée on retrouve deux cartes du métro en 2ème et 3ème de couverture.

Bien sûr il y a quelques erreurs narratives comme le fait qu'il n'y ai quasiment pas de femmes mis à part les femmes de ménage et les prostituées...la c'est un peu la loose.

Pour conclure je vous dirai que c'est un gros coup de coeur (oui encore, mais j'y peux rien si je choisi mes livres en fonction de ce que je suis certain d'aimer). J'ai hâte au mois d'Avril pour la version poche de Metro 2034 et peut être sa suite 2035 en grand format qui sort en mars. Parallèlement il y a deux spin off écrits par un autre auteur dans le même univers (Vers la lumière et Vers les ténèbres), je les possède, cela me fera patienter jusque avril.
Lien : http://unbouquinsinonrien.bl..
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Quel bonheur de lecture !
Le résumé me tentait mais je ne pensais pas prendre autant de plaisir à cette lecture.
C'est un mélange de roman post-apocalyptique, de récits d'aventures et de réflexions philosophiques. En un sens, ça m'a rappelé la trilogie « Silo » de Hugh Howey qui mêlait aussi la science-fiction, l'action et la philosophie.
Nous sommes plongés dans les entrailles du métro de Moscou en 2033 après qu'une catastrophe ait rendu la surface inhabitable.
Les survivants ont donc pris d'assaut les anciennes stations de métro depuis une vingtaine d'années et survivent comme ils peuvent, car les dangers même en bas, sont nombreux.
J'ai beaucoup aimé les descriptions de la vie sous terre, que ce soit les différentes stations, certaines sont sombres, sales, puantes et malfamées, d'autres arborent encore des restes de leur aspect d'origine, avec de belles mosaïques, des éclairages de qualité, des couloirs propres…
L'auteur nous raconte aussi le quotidien des survivants, ce qu'ils mangent, comment ils s'habillent, à quoi ils passent leurs journées et surtout, il nous narre les dangers et péripéties auxquels sont confrontés les habitants de ces stations.
Nous allons plus particulièrement nous attacher aux pas d'un jeune homme, Artyom, engagé presque malgré lui dans une quête mystérieuse qui a de grandes chances de l'envoyer directement à la mort.
J'ai été totalement absorbée par cette histoire, par la qualité de l'écriture, par la richesse des descriptions, par la finesse des réflexions, par la variété des péripéties, bref, je vais de ce pas me procurer les volumes suivants, bien que l'on puisse tout à fait lire ce roman seul car il y a une fin. Mais j'ai trop envie de baigner encore dans cet univers et je veux savoir ce que l'avenir réserve aux habitants du métro de Moscou.
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Il regardait la bande-annonce du jeu vidéo Metro Exodus qui va sortir au printemps prochain.
Je l'ai vue par-dessus son épaule.
Intriguée par l'atmosphère, je crois que j'ai fait un commentaire élogieux à la fin, suivi d'une ou deux questions (ou huit…).
Si j'étais suspicieuse, je pourrais penser que c'est pour ne pas m'avoir trop sur son dos pendant qu'il y jouera au printemps, mais la semaine suivante il m'a offert le livre Metro 2033.

Je ne sais pas si c'est parce qu'à l'heure actuelle Poutine rappelle insidieusement que la menace du nucléaire n'est pas morte, mais en me plongeant dans cette dystopie où la surface de notre planète est irradiée et où les hommes sont terrés dans le réseau métropolitain pour survivre, je suis passée d'intriguée à captivée.
Ce monde où les moins de vingt ans ne connaissent ce qu'a été la vie en surface qu'au travers des livres. Où le parfum des fleurs et le goût du lait leur sont inconnus.
Oui, je suis complètement rentrée dedans. Aux côtés d'Artyom, j'ai découvert cet univers aux dangers radioactifs, biologiques et psychiques. Lentement mais sûrement.

Est-ce que je n'irais pas abreuver de commentaires et de pronostics celui qui pourrait m'offrir la suite ?
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Livre audio – Lu par Julien Chatelet : 21h30

Déjà lu et relu, j'ai profité de l'offre très intéressante d'Audible pour “relire” des pavés de ce genre ! Je pense que la seule façon d'apprécier cette écoute, il faut déjà avoir aimé le roman par écrit car il y a beaucoup, beaucoup de descriptions, écrivain russe oblige !

Après une guerre nucléaire les rescapés de Moscou se sont réfugiés dans le métro et les stations se sont organisées en sociétés très diverses, selon les personnalités des réfugiés, des possibilités de faire de l'élevage et quelques cultures. Tous les clivages de la vie d'avant s'y retrouvent bien évidemment mais en plus des monstres humains se sont développés suite à l'irradiation.

La surface est invivable en l'état et des tas de créatures dangereuses s'y sont développés et seuls quelques “stalker” s'y aventure pour des missions de récupération.

Nous suivons la vie d'un jeune homme qui part en mission dans le Metro et c'est par ses yeux que nous découvrons ce monde souterrain, principalement masculin ! Certains reprochent à ces livres d'avoir peu de femmes comme personnages mais perso je préfère des livres tels que celui-ci plutôt que ceux, beaucoup plus nombreux, où les femmes sont cantonnées à des rôles de bonniches ou des objets sexuels ! La parité c'est pas mal mais ça mène à beaucoup d'imbécillité ! Voilà c'est dit !

J'ai autant aimé mon écoute que la première ou seconde lecture et j'ai encore découvert des choses mais il faut dire que les noms russes ne sont pas des plus simples pour nous et que l'histoire est relativement complexe !

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Après une guerre cataclysmique, les rares humains survivants se sont réfugiés dans le métro et la vie s'est organisée dans chaque station, avec des règles partagées, mais aussi des zones plus autoritaires. « de toutes les espèces, l'humanité a toujours été la plus douée pour dispenser la mort. » (p. 23) L'obscurité est terrifiante, tout autant que la vermine qui déferle de partout et les attaques des « Noirs », ces êtres mutants qui descendent de la surface ravagée pour répandre la mort dans les tunnels. « Les Noirs, ce n'est pas de la vermine, ce n'est pas de la non-vie. C'est l'Homo Novus, la prochaine étape de l'évolution, bien mieux adaptée que nous à son milieu. L'avenir est derrière nous. » (p. 75) Artyom, orphelin sauvé des rats, grandit dans la station VDNKh. Rattrapé par les conséquences d'une erreur et envahi par la culpabilité, l'adolescent accepte une mission périlleuse : rejoindre Polis pour délivrer un message. Cette station peuplée d'intellectuels et d'artistes est le dernier lieu de culture et de science. Mais pour la rejoindre, Artyom doit remonter la ligne et passer de nombreuses stations où il n'est pas le bienvenu. À cela s'ajoutent le mal des tunnel, forme de folie passagère inexplicable qui s'empare des voyageurs, et d'autres menaces inconnues. « le danger ne provenait pas forcément du nord ou du sud, les deux directions prises par le tunnel. Il pouvait se terrer au-dessus, dans les conduits d'aération, à droite ou à gauche, dans les innombrables couloirs et passages qui débouchaient dans le tunnel principal, derrière les portes closes d'anciens locaux de service ou de sorties secrètes. » (p. 128)

De station en station, Artyom découvre des communautés différentes et des moeurs nouvelles. Et de péripéties en mésaventures, sa mission tourne au voyage initiatique. Impossible de ne pas penser au chef-d'oeuvre de Richard Matheson, Je suis une légende, et à son épiphanie finale. Je ne pensais pas lire les suites, Métro 2034 et Métro 2035, mais l'extrême fin de ce premier opus m'a fait changer d'avis. Toutefois, je vais reprendre mon souffle et un peu d'air frais avant de replonger dans les galeries du métro russe ! « Désormais il comprenait à nouveau que le métro n'était pas simplement l'oeuvre d'une compagnie de transport, ni simplement un abri antiatomique, ni la résidence forcée de quelques dizaines de milliers d'hommes. Quelqu'un y avait insufflé son étincelle de vie. Une vie mystérieuse et qu'on ne pouvait comparer à rien. Il comprenait à nouveau que le métro était pourvu d'une intelligence singulière et inintelligible à l'être humain et d'une conscience qui lui était étrangère. La sensation était tellement claire et nette qu'il sembla à Artyom que la peur des tunnels n'était rien d'autre que l'animosité de cette entité gigantesque [...] envers les êtres chétifs qui grouillaient en son sein. » (p. 442) Petit conseil à mes lecteurs : si vous n'aimez pas les espaces clos, sachez que cette lecture est follement claustrophobique !

Je comprends parfaitement que le roman ait été adapté avec succès en jeu vidéo. Il y a dans ces pages des multitudes de quêtes et d'adversaires, sans aucun doute de quoi produire une progression vidéoludique longue et passionnante. Il me semble que le roman se prêterait également à une adaptation en série télévisuelle, tant chaque chapitre a des airs d'épisodes, de quasi-feuilleton. Voici une lecture au long cours, presque 3 semaines pour en venir à bout, mais avec un plaisir certain !
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Une lecture palpitante, pas sans défauts, mais largement sauvée par certains moments forts (j'en parle quelques lignes plus bas)
J'ai lu ce roman avec passion. Ma précédente lecture étant courte et décevante je voulais lire quelque chose de fort et long. Mission réussie avec quand même un fond d'incrédulité.

Résumé :
L'humanité s'est fait sauter le caisson avec des bombes nucléaires lors d'une guerre dont on ne sait tout simplement rien. Les seuls survivants sont les chanceux qui étaient dans le métro moscovite au moment de l'apocalypse. Ils survivent dans les tunnels et font face à de nouvelles entités produites par une terre irradiée. La surface n'est plus un monde pour l'homme et l'inconnu, le difforme, le monstrueux s'infiltre dans les tunnels, les stations et menace ce qui reste de l'humanité.
Nous suivons le jeune Artyom qui va se trouver mêlé à une quête qui le dépasse.
Une quête d'espoir ? de répit ? de sursis ?

Avis

J'ai parlé d'incrédulité ?
Oui sur plusieurs points :

Comment peut-on survivre dans le métro durant des décennies ? Les champignons ? Les porcs nourris avec les champignons ? Et les batteries ? Et les filtres ? et les balles ?
Qui fabrique les balles de Kalachnikov (qui servent de monnaie en plus) ? À ma connaissance personne n'a placé d'usine d'armement dans le métro moscovite !
Comment aussi peu d'humains, survivants d'une guerre totale peuvent-ils se replonger dans les idéologies du passé ? Il y a dans le métro des stations rouges (les communistes), d'autres néonazies et plusieurs sectes de tarés (dont les adorateurs du dieu-ver qui a créé les tunnels). On s'est pris une monstre raclé sans doute pour des raisons idéologiques, on est presque exterminé, mais non on poursuit ou on crée d'autres guerres sous terre ! Je perçois comme un manque de fois en l'humanité de la part de l'auteur.
Les stations semblent être espacées les unes des autres de dizaines de kilomètres !
Suivant Wikipédia la distance la plus longue entre deux stations est de 3.4km.
Oui, mais certaines stations sont abandonnées et il y a l'obscurité ...

L'obscurité
Certains avis parlent du "Métro" , comme d'un personnage voir comme le personnage principal du roman. Pour ma part, je trouve que l'obscurité et LE personnage principal ou du moins le plus réussi.
Il y a ces moments où dans l'obscurité totale, l'écho, des pas d'Artyom qui marche seul, s'arrêtent à chaque fois un peu trop tard, un peu plus près jusqu'à quelques centimètres, ces moments où le dernier d'un groupe sentirait quelque chose prêt à lui "tapoter" le dos se retourne puis se retourne de nouveau..., ces moments où l'on discerne quelque chose qui bouge dans une noirceur absolue.

En ajoutant, les attaques des "choses", les rats, les hallucinations, on en vient à croire en cette peur des tunnels qui transforme chaque trajet, même d'un kilomètre, en un trop long voyage incertain.

Les personnages
Artyom est le narrateur du roman. Il occupe donc très fortement le devant de la scène. Même s'il ne mène pas souvent la danse. Ce sont les personnages secondaires qu'il rencontre qui déterminent le plus souvent à sa place (heureusement sinon il n'aurait pas vraiment survécu longtemps) son destin.

On croise de tout : des pourris, des faibles, d'autres sûrs d'eux, des gens qui ont renoncé à l'espoir, à leur humanité ...

L'ambiance
Un monde oppressant, glauque toujours très bien rendu. J'apprécie particulièrement la manie qu'ont les habitants du métro de raconter les légendes qui courent dans ses tunnels. Cela rend le métro plus "habité" et donne de la consistance à l'obscurité.

La trame
C'est clairement un voyage initiatique pour Artyom. Un voyage qui fait parfois des détours un peu longs lors de réflexions sur la nature humaine et son avenir.

Donc
Malgré ses défauts, un roman passionnant qui vaut largement le coup.
Mon conseil : à lire dans le noir avec une liseuse à lumière intégrée.

PS.
J'ai joué aux deux jeux vidéos "Métro 2033". Je les recommande. Ils ne suivent pas complètement la trame du roman (c'est un "first-person shooter") et l'ambiance y est.
Lien : https://travels-notes.blogsp..
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Ces innombrables stations de métro moscovites détruites, poussiéreuse, miséreuse, qui sentent la mort à chaque recoin sombre, que les péripéties d'Artyom amènent à découvrir, sont à visiter de leur vivant pour leur beauté.

Même si une poignée d'humanité s'est réfugiée sous terre, et a fait preuve de débrouille pour survivre. C'est dans ces moments-là qu'on se dit que l'on est très peu équipé pour être autonome en chose vitale du quotidien … voir pas du tout.

Métro 2033 → une extrapolation de notre condition actuelle. Mais nous ne sommes pas si éloigné que les habitants du Métro… à vouloir survivre pour voir le lendemain, avoir une situation, à manger, un logement, des médicaments, la sécurité…

Une chose à retenir : « l'homme est un loup pour l'homme. »
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Une dystopie qui sort du lot.

Une ambiance sombre, chaotique et effrayante. Des personnages psychologiquement dérangés et marqués par un passé apocalyptique. Une éventuelle possibilité de cohabitation humains/mutants ?

Metro 2033 est une oeuvre immersive, dans laquelle le lecteur s'immerge petit à petit. Il est important de considérer la lenteur du récit. Les événements et péripéties suivent ce rythme paresseux qui peut en ennuyer certains.
Pour ma part c'est ce que j'aime. Un univers construit dans lequel les détails ne cessent de pleuvoir. Chaque élément, qui peut paraître en trop ou redondant, vient alimenter la richesse de l'histoire. --> le Métro paraîtrait certainement moins effrayant si l'auteur n'avait pas autant sur la peur que ce dernier génère chez ses habitants.

Un univers politique, particulièrement lourd sur les premiers chapitres mais qui vient se rendre compréhensible au fur et à mesure de la lecture.

Des personnages plutôt masculins prêts, une fois de plus, à retourner Ciel et Terre au nom de la survie de l'humanité.

Un scénario simpliste avec un plot twist correct et saisissant sur les dernières pages. Ce qui motivera tout de même à attaquer le deuxième tome.

Attention, je le réécris mais l'histoire de métro 2033 peu paraître trop longue et ennuyeuse pour certains.

Je recommande donc ce livre aux grands rêveurs qui aiment s'immiscer plus qu'il ne le faut dans l'imaginaire.
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Lorsque j'ai pris ce livre à la bibliothèque, je m'attendais à un roman futuriste avec beaucoup d'action. J'ai eu droit à un roman avec très peu d'action mais qui est venu me chercher à un autre niveau. le roman m'a parfois fait penser un peu à Candide de Voltaire qui est amené malgré lui d'un endroit à l'autre.

Ce roman est d'abord une quête initiatique amorcée par Artyom, le personnage principale. Il visitera malgré lui bien des stations de métro différentes dirigées par différents régimes politiques, que ce soit des communistes, des nazis ou des théologies.

On peut voir immédiatement que l'auteur est spécialisé dans les relations internationales. C'est la base même de ce roman.

Si j'ai un point négatif à donner, c'est le fait qu'il est facile de se perdre dans le parcours du personnage principal. Ne connaissant rien du métro moscovite, j'avais parfois de la difficulté à me retrouver. Cependant, ce n'est qu'un point mineur.

Pour tout ceux qui veulent lire un roman d'action, ce livre n'est pas pour vous.
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Un magnifique roman. La Terre a sombré dans le chaos et les hommes se sont réfugiés dans le métro à Moscou mais une nouvelle menace plane. Artyom se voit contraint de quitter sa station pour délivrer un message et ce sera un long périple. le métro est court mais toutes les idéologies passées, présentes, futures s'y retrouvent. Tous les extrêmes, tous les mystiques, les sectes. Chaque partie du métro est différente et difficile à traverser. On ne sait quelle part de fantastique, de vision, de science se mêle à chaque péripétie. On ne se sent en sécurité ni dans les tunnels, ni dans les stations, ni à la surface. de nombreuses réflexion intéressantes sur notre société et la vie entre Hommes. Et la conclusion est terrifiante! On ne s'ennuie à aucun moment mais parfois il faut prendre du recul pour ne pas sombrer à la paranoïa du livre car on est vraiment happés par l'histoire.
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