Un premier tome d'une série de 4, qui débute bien.
Le scénario est clair et nous donne sérieusement envie de poursuivre, pour savoir qui de l'écrivain ou du policier a raison !
En effet, le maire de la ville ne laisse pas d'autres choix au policier en question, que de se faire coller le train par un écrivain en manque d'inspiration. Quoi de mieux qu'une belle série de meurtres sanglants, pour raviver l'esprit de l'écrivain.
Les 2 protagonistes partent à l'assaut de cette énigme sanglante, ou plusieurs femmes sont retrouvées, le sexe lardé de coups de couteau.
L'auteur arrive à nous montrer le meurtre de l'extérieur et de l'intérieur, car l'écrivain en question s'est également lié d'amitié avec le mari d'une des malheureuses victimes.
Le dessin est plutôt réussi, mais la couleur fait partie d'une période que je n'apprécie pas, car trop décalée de la réalité.
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A San Francisco, il se produit chaque année des centaines de meurtres de toutes sortes, dont on ne trouve jamais les coupables. Là, j’ai juste archivé dans mon crane, une image ignoble de plus qui est allée rejoindre toutes celles glanées au cours de 25 ans de carrière. C’est comme ça qu’a débuté l’affaire des « Tueurs aux vagins », ou des dingues se sont tous mis à tuer de la même manière !...
LA CHRONIQUE DE JEAN-EDGAR CASEL - MARTIN MILAN