Lady Helen, tome 1 : Le club des mauvais jours

D'abord attirée par la jolie couverture du roman, j'avoue avoir été très agréablement surprise par ce récit.
L'ambiance du milieu aristocratique de l'Angleterre y est décrit de manière époustouflante. Ce qui encore plus incroyable, c'est de s'imaginer tout le travail que ce "simple roman jeunesse" a dû demander à son auteur.
Bien sûr, les descriptions et le personnage d'Helen rappellent très fortement les romans de Jane Austen, mais tout le contexte historique et social est aussi très fourni, de quoi s'y perdre lorsqu'on ne connait pas la période.

La disparition et la dimension fantasy rajoutée donne au roman une signature particulière au lieu d'être une simple copie de morceaux pris ça et là.

Si je ne met que 3 étoiles, c'est parce que j'ai tout de même trouvé le roman un peu long, et surtout, je pense que je ne l'ai pas lu au bon moment. Peut-être y retournerai-je plus tard, mais pour le moment je vais passer à un autre type de lecture.

Une histoire qui se déroule en 1812 sous la régence au Royaume-Uni.
Une époque très misogyne où la femme doit être belle et se taire ; où les bals sont indispensables à un bon mariage etc...
Bref, le style "Bridgerton" ou "Jane Austen". La surprise étant, la part fantastique qui va pigmenter cette histoire que j'ai eu peur de trouver niaise, et pas du tout. On entre vite dans le vif du sujet et je n'ai pas ressenti trop de longueur dans le récit. Au contraire, j'ai apprécié la vivacité de l'héroïne et le jeu de séduction des divers protagonistes.
C'est un roman pour adolescents plutôt réussi qui invite à découvrir les suivants.

J'ai adoré ma lecture. Lady Helen ressemble très fortement à l'héroïne des Chroniques de Bridgerton dans ses manières et son attrait pour les bals, à la recherche d'un futur mari fortuné et de bonne famille. Logique, car la période est quasiment la même : nous sommes au début du XIXème siècle en Angleterre, sous la Régence. Helen est orpheline et ne manque pas de tempérament, ce qui m'a tout de suite plu. Je me suis attachée à elle très rapidement. le côté fantasy est très bien abordé et expliqué, on découvre en même temps qu'Helen ce milieu secret et ces créatures maléfiques. Ce tome est très introductif mais n'est pas pesant et beaucoup de rebondissements dynamisent le récit. C'était très sympa ! La suite promet d'être encore mieux.
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Malgré un début très lent presque ennuyeux, j'ai progressivement été conquise par ce roman historique avec des touches de fantastique. J'ai beaucoup aimé le personnage de Lady Helen tiraillé entre les convenances de l'époque et ses propres envies. Je continue la saga...

Amatrice des romans de Jane Austen ou des soeurs Brontë, je me suis rapidement sentie chez moi dans l'univers de Lady Helen. J'ai dévoré ce bouquin, mais bizarrement j'hésite à lire le tome 2 et je pense que c'est, en partie, parce que les "méchants" ne réussissent pas à réellement me convaincre. L'idée de base des différents types d'Abuseurs est originale, mais l'enjeu ou le dilemme auquel doit faire face Lady Helen ne réussit pas réellement à m'intéresser.
J'ai adoré ma lecture, mais probablement plus à cause de l'époque et du triangle amoureux que pour le côté dark fantasy. Question à la communauté Babelio: est-ce que cela vaut la peine d'aller au bout de cette trilogie?

J'ai mis longtemps à sortir ce roman de ma PAL mais je ne le regrette pas, c'est quasiment un coup de coeur.

L'auteure prend bien le temps de nous présenter la vie de Lady helen en 1812. Elle doit être présenter à la reine Charlotte puis participer à sa première saison pour trouver un mari. Elle va rencontrer lord Carlston un cousin éloigné de sa famille. Elle qui est orpheline et vit chez son oncle et sa tante va découvrir que sa mère n'est peut être pas la traître que l'on veut bien lui faire croire.

le côté historique est vraiment décrit et utilisé dans l'intrigue. Les personnages principaux sont attachants même si pour l'instant on ne connaît pas toute l'histoire de Carlston. Lady helen est une femme intelligente, trop pour l'époque et doit choisir son avenir. On a vraimentle temps de la connaître et de s'attacher à elle.
L'intrigue est un peu lente mais les 600 pages passent très vite et j'ai hâte de lirele deuxième tome.

Des bals, des démons qui menacent l'Angleterre, un amour interdit, des mystères et du courage.
Vous pouvez observer ci-dessus la recette d'un premier tome époustouflant.

Personnellement j'aime beaucoup Jane Austen, et je pense que ses admirateurs aimeront ce livre. Néanmoins, j'ai préféré Lady Helen. C'est la combinaison parfaite d'un roman de la Renaissance, du XIXe siècle, avec des problématiques, des jeux de séduction, des combats qui nous touchent, nous humains du XXIe siècle. La narration n'est pas trop lourde et même si au départ, Lady Helen est la parfaite jeune fille de la noblesse, elle devient rapidement une héroïne beaucoup plus courageuse. Et c'est tant mieux! Même si la timidité et les coutumes de la Renaissance sont intrigantes, la retenue des personnages peut parfois être frustrante. Personnellement j'ai adoré l'évolution d'Helen lors de la découverte de ses dons et de sa rencontre avec Lord Carlston.
D'ailleurs, parlons-en. La romance entre Helen et Carlston est sans aucun doute une « slow-burn », et je dois vous avouer que ce n'est pas mon genre de prédilection. Cependant, je trouve qu'ici elle colle vraiment bien avec les coutumes de l'époque, sans jamais trop traîner en longueur. Leur relation n'est pas la seule que j'apprécie. Je n'oublie évidemment pas celle d'Helen et de sa tante qui au départ semble typique de la société noble, polie en apparence, mais creuse. En réalité, j'ai découvert qu'il y avait un réel attachement très touchant et intéressant. Bien sûr, tant que l'on parle des relations de Lady Helen, n'oublions pas Darcy son adorable et dévouée femme de chambre. C'est une femme courageuse forte et incroyablement gentille mais qui peut aussi être très féroce pour protéger sa maîtresse.
De plus, le côté fantastique de l'histoire, le club des mauvais jours, est assez intéressant. Pour être complètement honnête ce n'est pas ce qui donne le plus de valeur à ce tome 1 mais sans lui l'histoire serait vraiment beaucoup moins intéressante. L'intrigue est bien développée, il n'y a pas d'incohérence et on veut constamment connaître la suite.

En définitive le club des mauvais jours est un roman que je recommande pleinement. Il vous fera voyager, rêver, danser et vivre une nouvelle vie.
Alors ouvrez l'oeil : si vous observer quelqu'un avec une force vitale d'un bleu vif, vous savez ce qu'il vous reste à faire.

« Vous avez beaucoup plus de courage que vous ne le pensez »

Le premier mot qui me viendrait à l'esprit en pensant à ce livre est : fou... Quelle idée folle a eue l'auteur pour créer un livre aussi extraordinaire ? Et quelle pur accès de folie que de l'écrire avec un si jolie style ? Et pour couronner le tout, quelle folie que de le laisser inconsciemment en librairie ? Pour ma part, je l'enfermerais dans une coupole de verre ayant comme intitulé : attention, livre dangeureusement magnifique !
Je crois que je ne pourrais jamais mieux résumé la béauté intemporelle de ce livre... La seule chose que je pourrais ajouter serait un mot, que dis-je, un texte, excessivement long sur les remerciements que je porte à l'auteur.
Alors, pour faire plus court : merci.

Lady Luria et les lectures des mauvais jours.

J'avais repéré le livre et sa couverture et c'est joyeusement que j'ai pris le volume une fois sorti en poche.

Et donc... Orchestre, c'est parti !

Bal, bal, bal comme le jour
Mystères et démons à tous les detours

Ça commence doucement et classiquement, une jeune fille à marier, présentée à la cour et déjà étouffée par la bienséance qui découvre, en essayant d'en savoir plus sur sa défunte mère, que le demi-monde est décidément bien proche et qu'en plus elle va devoir s'y mettre pour rosser les démoniaques fesses.
J'ai bien aimé le contraste vie mondaine, rues vilaines. J'étais bien emballée par ma lecture.

Et puis à trois quart de parcours j'ai bien calé.
Pour une bête histoire de romance que j'ai trouvée mal agencée et amenée grossièrement.
Je vais spooooooooiler un brin, mais j'aurais préféré voir l'histoire prendre la direction supermanesque. Des épousailles avec le comte de Selburn, une vie rangée en apparence et aventureuse en secret, que de voir Helen bêtement tomber pour la goujatitude de son instructeur ghost-buster.

Mais les voies du coeur (et de l'auteur) sont impénétrables et j'arrêterai là je pense cette série, non sans une pointe de regret car c'était bien parti.

J'ai acheté ce livre car la magnifique couverture française a attiré mon attention, brillante et en relief, la calligraphie du titre est magnifique, bref c'est peut-être superficiel mais la beauté de ce livre m'a de suite conquise. Et je ne suis pas déçue c'est un des meilleurs livres que j'ai lu, le Club des Mauvais Jours restera sans conteste dans le top dix de mes livres préférés. Suspens, histoire, fantastique et amour, des ingrédients détonants assemblés et mêlées avec savoir-faire par Alison Goodman. La quatrième de couverture m'avais beaucoup plu mais le résultat est bluffant. Addictif, je n'ai pas vu défiler les quelques six-cent pages de ce superbe livre et maintenant qu'il est terminé les personnages me manquent déjà. J'attend avec frénésie la sortie du second tome, plein de promesses d'après le résumé.