Astérix, tome 11 : Le bouclier Arverne

Et voici un des derniers Astérix que je ne connaissais pas encore !

Il revient à la bataille d'Alésia, lorsque Vercingetorix dépose ses armes (douloureusement) aux pieds De César, et raconte le parcours du bouclier du grand chef à travers la Gaulle. Astérix et Obélix se lancent à sa recherche afin que leur chef, Abraracourcix puisse narguer César : comme dit ce dernier, « Veni, vidi, vici, et eux, ils rigolent ! ». Et en effet on rigole bien encore ici ! Après maintes péripéties, l'album se conclue sur l'habituel banquet … sauf pour le chef, qui a des problèmes d'estomac (!).

Cet album ne fait pas exception à la qualité des précédents. On y retrouve les habituelles blagues et adaptations d'expressions célèbres (« ce n'est pas le moment de faire de l'esprit de dolmen ! »). Et on y redécouvre le patriotisme chatouilleux des Gaulois : « Alésia ? connais pas Alésia ! Je ne sais pas où ça se trouve Alésia ! Personne ne sait où se trouve Alésia ! » Mais Gergovie, oui … Et le narrateur de conclure : « Cette attitude, qui s'est perpétuée à travers les siècles, fait que l'emplacement de la défait gauloise reste encore de nos jours, assez mystérieuse .. regrettable chauvinisme ! »

Encore une fois, cette album permet d'en apprendre plus sur la France, d'une manière ludique … !

Et surtout n'oubliez pas, « le temps, c'est des sesterces. »
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..

J'ai lu beaucoup d'Astérix dans ma vie, mais je ne me souviens pas de cette aventure. de toute façon, relire un Astérix est un plaisir de la vie !

Je connais enfin l'origine du bouclier sur lequel se déplace le chef Abraracourcix.

Je porterai attention à mes prochaines lectures, car il me semble que le nom de Vercingétorix (celui qui dépose ses armes aux pieds de César) me dit quelque chose...

Ce que j'aime dans les BD d'Astérix et Obélix ? Prendre le temps de la lire pour ne pas manquer un jeu de mot, une référence culturelle ou une scène drôle en arrière plan. C'est gagné avec le bouclier Arverne ! L'histoire en elle même est classique mais l'enrobage est vraiment de qualité entre les cures et le petit Idéfix toujours extrêmement mignon.
Le dossier de 16 pages à la fin du tome est très intéressant aussi.

Abraracourcix est malade et doit partir en cure en pays arverne. Astérix et Obélix décide de l'escorter afin d'éviter tout problème. Et les problèmes ils risquent d'y en avoir puisque les Romains sont en train de retourner les villes arvernes à la recherche d'un bouclier... Un excellent album rempli de gags et d'humour qui est probablement l'un de mes préférés.

une histoire particulièrement savoureuse et cocasse.

Goscinny et Uderzo nous offrent une petite escapade en Auvergne où on découvre des boutiques de vins et charbons et des Arvernes pour qui un chou est un chou.
On fait connaissance avec les vétérans de Gergovie et avec ceux d'Alésia qui refusent de se souvenir où se déroula cette bataille qui coûta la victoire à Vercingétorix.
C'est d'ailleurs à cause de cet aveuglement volontaire que le lieu précis de cette bataille, qui figure en bonne place dans la guerre des Gaules, est, encore aujourd'hui, sujet à controverse...
On rit à chaque page, quand les légionnaires font chou blanc en fouillant un tas de charbon, aux noms des Gaulois comme des Romains...
Un plaisir inusable !

Un album irrésistible ! Les dessins comme les textes sont à mourir de rire ! Astérix et Obélix accompagne le chef du village faire une cure thermale car ce dernier est victime d'une crise de foie très douloureuse. Et les voici lancés à la recherche du bouclier de Vercingétorix.

Avec Goscinny, il n'y avait pas d'intrigues faciles, humour ou pas. Ici, c'est le chef contraint à une cure en Auvergne qui fait s'y retrouver nos deux gaulois au moment où César recherche le bouclier arverne. N'importe qui d'autre se serait contenté d'envoyer un arverne au village des irréductibles leur demander de l'aide. Et le plus fort, c'est qu'en voyant la chute de l'album, on comprend que cette histoire de cure était essentielle au scénario.
Du reste, on a l'habituelle flopée de gags, calembours et autres. Il y a la fameuse histoire de demi-dalle, puis le coup de la moustache. Et ça se passe dans ma région, en plus. Qu'espérer d'autre ? Allez, chalut la compagnie !

Poursuite de la redécouverte de la série avec cet album.
J'ai beaucoup aimé le dessin des paysages auvergnats, je les ai trouvés très réussis.
J'ai retrouvé avec plaisir les références locales (les marchands de vin et de charbons, l'usine de roue, l'accent local...), et nous avons découvert la salle des trésors de Jules César!
Un excellent album, une relecture très agréable

C'est ma n-ième lecture de cet album, et je me suis encore régalée, même si j'attends les gags comme une gamine attendant la même histoire tous les soirs.

Le foie hyper-sensible d'Abraracourcix, ses dictons moralement satisfaisants, les gaulois "dans la pleine", les noms romains prononcés à l'auvergnate (Fanfreluche, Coqueluche), les porteurs numides hilares, les demi-dalles et la moustache de Joligibus, bref, je m'amuse à chaque fois.

Il y a aussi le scenario, avec ses bagarres hors-champ, qu'on devine lorsqu'on en découvre le résultat, et la cure d'amaigrissement d'Abraracourcix, qui se révèle indispensable pour résoudre le mystère de la disparition du bouclier.

Asterix et ses compagnons : des copains que l'on retrouve toujours avec plaisir.