Un grand format.
Des collages sur fond de peinture
Des couleurs joyeuses et pleines d'entrain.
Pleines d'entrain comme les élèves de cette classe qui prépare le spectacle de fin d'année avec du bric et du broc. du carton pour faire le théâtre, une passoire (pour le casque de chevalier), une perruque de Mémé (pour la princesse). Ah, aussi penser à amener un skate (pour faire rouler le monstre). L'enthousiasme des enfants et de la maîtresse pour créer ce spectacle est réjouissant et nous donne envie de les imiter : écrire et jouer une pièce de théâtre dans la grande salle du gymnase.
On assiste enfin à la représentation : « La princesse qui n'avait pas de poney ». On plonge dans l'histoire, on suit avec passion les aventures extraordinaires des héros. Puis le rideau tombe et on entend les applaudissements du public : « Bravo ! Encore ! Grandiose ! »
On ferme le livre, un sourire de bien-être sur les lèvres.
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Modestie des moyens, le carton, poétisé par les personnages inventés, porté par le dynamisme d’un projet, ce livre parle de la force des apprentissages sensibles, il est bon et nécessaire que cette parole, celle d’Aurélia Grandin, soit entendue.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Au fond de la classe, il y a
UN THEATRE EN CARTON.
Et à côté du théâtre en carton, il y a
UNE BOITE A IDEES
pour le spectacle de fin d'année