AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,81

sur 1198 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je ne vais pas me faire aimer mais qu'est-ce que j'ai rigolé. Oui car je viens de lire une farce. Une farce grotesque, perverse mais une grosse farce.
Nous sommes loin des Rivières pourpres ou encore du Vol des cigognes. Cette caricature de flic, super héros, qui sait tout faire avec cette attitude inutile c'est juste non. Bon alors vous voyez que je n'ai pas embarquée du tout dans ce récit précipité, cliché, où l'on dirait que l'action doit cadrer avec les phrases choc de l'auteur. Et ces surnoms donnés à chacun , c'est obligé ? Pour moi, il n'y a absolument rien de crédible dans ce roman. Tout est faux, tout est risible, tout est insensé. Pourtant, il y avait matière. Mais ce genre de traitement, juste une grosse farce ou comme il est dit en page 539: "Il opta pour un scénario de film." Mais ajoutons que c'est un film de série Z...
Commenter  J’apprécie          7725
J'avais détesté son diptyque sur la famille Morvan et son homme clou invraisemblable, c'était excessif en tout, de la famille dont tous les membres étaient siphonnés, des quatre pingouins qui nous rejouaient Fort Chabrol pour rien parce qu'ils étaient innocents ces cons, des suspects à la pelle, de la peinture du Congo où l'on mangeait tranquillement, sur la tarmac de l'aéroport, des brochettes de viande humaine. Merci bien. C'était violent, caricatural et sans nuances, les rebondissements trop nombreux qui ne tenaient pas la route, des questions qui restaient sans réponses et des décisions prises en dépit du bon sens. Et j'avais ironiquement conclu que je préférais amplement faire partie de la famille des Atrides ou des Labdacides que de celle des Morvans. Mais apparemment, Jean-Christophe Grangé n'avait pas fini d'explorer le thème de la famille et de l'hérédité.

Cette fois-ci, nous sommes en compagnie du commandant Corso. Et comme ce ne sont ni l'originalité ni le renouveau qui marquent l'oeuvre de Grangé depuis quelques années, devinez quoi ? C'est un flic borderline, autant voyou que policier, enfant de la DDASS, ancien toxico qui a assassiné dans son adolescence son proxénète, un peu porté sur la violence gratuite (parce qu'on n'interroge pas les gens -même suspects- en leur mettant un flingue sur la tempe), à la vie personnelle chaotique, affublé d'une ex-femme adepte du SM, lui-même ayant un gros problème niveau fesse, éprouvant la nécessité de souiller la femme par l'acte sexuel parce que Monsieur n'a pas connu sa maman, touça touça. Mais il est quand même catho et quand il tue des gens, il va à l'église pour chercher le pardon. Bref, un gars sain.

Aparté : étant donné que tous les flics de Grangé ont des problèmes équivalents dans ses bouquins, et que tous ses flics travaillent au 36, je n'ai aucune envie, mais alors aucune, de mettre un jour un pied dans ce repaire de tarés.

Notre bon commandant Corso se voit confier une affaire compliquée parce que c'est le-meilleur-flic-de-la-brigade-criminelle-et-qu'il-est-vraiment-très-fort : on a retrouvé une strip-teaseuse mutilée et accrochée par des liens noués selon la technique du shibari. Raffiné, le tueur s'est assuré que sa victime s'étouffe elle-même en se contorsionnant sous la douleur de la mutilation. Et il lui a enfoncé une pierre dans la bouche parce que…parce qu'il est pervers, y a pas d'autres explications possibles ! Très vite, un second cadavre fait son apparition, mettant la brigade sur les nerfs.

L'enquête s'oriente alors vers l'univers du SM et de ses pratiques extrêmes. L'auteur nous offre un catalogue de « déviances » sexuelles, genre catalogue Ikea, beaucoup de choix, peu de qualité. On retrouvera donc pèle-mêle glory-hole, chevillage, aiguilles dans le vagin, bougie allumée dans le vagin, tessons de bouteille toujours dans le vagin, triple pénétrations encore et toujours dans le vagin, et même nécrophilie. Cependant, cette débauche de pratiques extrêmes n'est qu'un écran de fumée : ça n'a absolument rien à voir avec l'intrigue et son dénouement, elle sert seulement à dresser pour pas cher une atmosphère glauque et malsaine dans le milieu interlope de la nuit. Cette encyclopédie du hardeur n'est qu'une longue liste sans saveurs, et on frôle l'ennui et l'agacement : tous les personnages que l'on va croiser s'adonnent à ces pratiques. Et le commandant Corso de se dire que « olalala toutes ses déviances et cette perversion, on vit vraiment dans une société bourgeoise en décadence, on-a-tous-quelque-chose-de-sale-à-cacher-derrière-nos-apparences-proprettes ». Ça me fait bien rire, sa femme étant elle-même masochiste, monsieur a bien dû avoir quelques pratiques sadiques pour la satisfaire. Hypocrisie quand tu nous tiens….

On découvre que les sévices infligés aux victimes sont inspirés par une série de portraits de Goya, les pinturas rojas (qui n'existent pas et sont vaguement inspirées par les thèmes des pinturas negras). Mais à part ça, l'enquête piétine. Jusqu'à ce qu'un ancien flic du Juras vienne apporter une piste fraîche : il leur suggère de s'intéresser à Philippe Sobieski, qu'il avait mis en taule à la fin des années 80 pour avoir massacré et étranglé une jeune fille avec ses propres sous-vêtements pendant un cambriolage. Qui plus est, les gendarmes l'ont toujours soupçonné d'être un routard du crime, multipliant viols et cambriolages sur son passage mais sans jamais pouvoir en apporter la preuve formelle. Et ce Sobieski s'est trouvé en prison une âme de peintre et est aujourd'hui reconnu dans le milieu artistique contemporain, il doit donc forcément connaître Goya. Bien que Corso se dise qu'il y a un océan qui sépare ce meurtre improvisé et désorganisé et les deux affaires actuelles qui exigeaient de la préparation et de l'organisation, il ne fait pas la fine bouche et se dit que oui, pourquoi pas aller voir ce Sobieski parce que meurtrier un jour, meurtrier toujours (je rappelle ici que Corso est catho, normalement, il est censé croire en la rédemption de chacun, passons).

Ce Philippe Sobieski est un sale con avec une sale tronche, qui joue la provocation facile (et complètement ridicule soit dit en passant) et adore attirer l'attention avec ses costards blancs et son borsalino, genre gangster des années 30. Et un satyre avec ça, qui aime la baise extrême avec de multiples partenaires. Et en plus, il a des photos des peintures de Goya dans son atelier. C'est lui, forcément, se dit notre flic super malin. Se joue alors la célèbre et affligeante confrontation entre flic et voyou, les deux étant bien décidés à faire tomber l'autre, déployant des trésors d'intelligence (ironie), de sales combines et de coups bas, en bon crétin qu'ils sont. [...]
Lien : https://enquetelitteraire.wo..
Commenter  J’apprécie          62

Lorsque le commandant Stéphane Corso est chargé d'enquêter sur le meurtre de strip-teaseuses, il ne se doute pas encore que cette traque laissera des séquelles indélébiles. Pour lui, il s'agit de serrer un fêlé qui ligote, torture et tue par des noeuds japonais et mortels de belles effeuilleuses du Sponk, la boîte BDSM à la mode de la capitale. Très vite, il va découvrir que ces meurtres sont inspirés par les "pinturas negras" de Goya et faire la connaissance d'un suspect idéal, Philippe Sobieski, ancien repris de justice et peintre hype du Tout Paris. Dans le même temps, il va devoir affronter son ex pour obtenir la garde de son gosse de 9 ans, Thadée. Son avocate lui fait comprendre qu'avec son pedigree de vieux flic borderline et peu sociable, il risque de ne pas l'obtenir sauf, s'il met à son crédit, l'arrestation du tueur des strip-teaseuses. Dès lors, le commandant Corso va se mettre en chasse sans se douter qu'il va affronter la noirceur des âmes et qu'un assassin peut en cacher un autre.
Mon avis :
Naufrage et opportunisme sont les mots qui me viennent à l'esprit en refermant ce livre.
Lire du Grange était autrefois un réel plaisir. Aujourd'hui, avec la terre des morts, c'est un ennui voire un réel accablement.

Sur le papier, ce thriller du Maître Grangé a tout pour plaire :
Une enquête menée par un vieux flic, toujours prompt à dégainer ou foncer dans le tas,
Une intrigue qui part dans un sens, puis non, dans un autre, avec des rebondissements dégoupillés de manière quasi chirurgicale,
Des personnages forcément ambivalents et donc forcément intéressants dans un univers noir: SM, bondage, du porno à tous les étages.
Sauf que rien ne prend au moment de la lecture…
La terre des morts est un vrai naufrage polardeux. Je me suis ennuyée comme rarement. Dès les 100 premières pages, j'étais certes aguerrie en matière de shibari (noeuds japonais) et j'avais eu ma dose de porno gratuit et sans intérêt mais la magie de l'intrigue n'opérait toujours pas.
L'intrigue :
Grosso modo, si je devais imager ma lecture, je dirai que j'ai eu l'impression d'être montée dans une Ferrari FXX-K avec ces 860 chevaux sous le capot pour avancer... à 30 km/heures sur une autoroute ennuyeuse et faire un trajet sans frisson et sans surprise.
L'intrigue semblait pourtant assez prometteuse : des femmes retrouvées mortes, ligotées et fendues d'un sourire jusqu'aux oreilles avec un flic qui plonge dans un univers inconnu fait de porno et de BDSM. Simple et efficace comme intrigue! Patatras, les 100 premières pages sont soporifiques et s'appesantissent sur des techniques de noeuds SM et des scènes de porno sans intérêt pour l'intrigue. Par la suite, le même ennui m'a accablé lorsque j'ai fait la connaissance de Philippe Sobieski, peintre débauché et amateur de bonne chair façon gigot bien ficelé…
L'intrigue prend une direction ou plutôt une autoroute longue, plate, ennuyeuse où défilent des pages de platitude pour ensuite prendre une sortie de route (rebondissement !!!) qui m'a laissé dubitative. La surprise est certes bien là, mais je n'y croyais déjà plus depuis longtemps et l'auteur m'avait assommée par les 2/3 de roman déjà lu péniblement.
Les personnages :
Aucune surprise sur ces personnages. Dommage!!! le commandant Corso est le prototype du flic aguerri, borderline sur les procédures, prompt à dégainer, coincé affectivement et sexuellement. C'est monobloc, sans réelle introspection et cela manque cruellement de nuances. Ses déboires judiciaires pour obtenir la garde de son fils aurait pu le rendre attachant mais même pas, j'en garde une impression d'homme lourdaud et rustaud.
Quant aux autres personnages : ils m'ont glissé dessus tant je me suis ennuyée, les secondaires comme les méchants….
Le style et l'univers:
J'ai eu du mal à reconnaître le Grangé du début des années 2000 caractérisée par une plume fulgurante et directe. Là j'ai eu le sentiment que l'auteur voulait nous raconter des grosses horreurs (sexuelles ou sanglantes) mais qu'il en éprouvait une certaine gêne, voire un peu de honte. Je me suis dit après coup que c'était peut-être pour ne pas trop choquer le grand public et ratisser large dans le lectorat. L'écriture est aseptisée et sonne parfois faux, notamment quand il est question du commandant Corso et de ses relations avec les femmes quelles qu'elles soient dans le livre (collègue, épouse, effeuilleuses ou personnages secondaires…)
Quant à cet univers fait de déviances, de perversité et de plaisirs extrêmes, il aurait pu être savoureux et faire une toile de fond subversive impeccable… Mais non !!!
C'est souvent lourdingue et j'ai eu le sentiment que l'auteur voulait étaler sa science pour épicer son intrigue poussive et tenter de faire triper la ménagère de moins de 50 ans. C'est en cela que je qualifie ce thriller d'opportuniste.
Bref, dire que je n'ai pas aimé est un doux euphémisme…
Mon avis ne compte pas face aux très nombreuses critiques positives et je vous invite à vous faire votre avis personnel en le lisant.
Je ne suis sans doute pas faite pour lire CE Grangé là, tout simplement…
Commenter  J’apprécie          50
Ce qui m'a souvent énervé chez Molière, quand on était obligés de le lire aux Collège et Lycée (il n'y avait pas d'autres écrivains de France, en ces années), c'est que fréquemment, on découvrait aux fins que l'un des personnages présents dans le final, à la façon Hercule Poirot qui convoque tout le monde pour désigner l'assassin, était la fille ou le fils disparu du vieux de l'histoire ("Oooooh, ma fille", "Oooooh,mon fils", on croyait entendre de Funes !).
Chez J.C. Grangé, dont j'avais bien aimé en son temps "Les cigognes" et "Le concile", le modèle est identique et redondant.
Un immeuble énorme et d'architecture moderne, dans la neige et on y va, on balance : tout le monde est frère et soeur et père, mais les mères sont presque toujours balancées en quelques lignes.
C'est lassant, d'autant qu'on met six cents pages à y arriver.
Le coté positif dans tout ça, c'est qu'il n'y a pas de chien dans cette histoire : d'une part, la pauvre bête ne meurt pas après cinquante pages comme dans tout livre de ce genre et d'autre part, cela aurait été gênant d'apprendre, vers la page 625, que le chien est le fils de la cousine du canari.

Sinon, message personnel pour les gens qui rédigent la célèbre "quat'-de-couv' : "les mecs, ça serait gentil de ne pas évoquer en guise de coupable potentiel un personnage qu'on rencontre page 225" !!!
Commenter  J’apprécie          30
Vraiment bof,
je m 'attendais a un super bouquin et quelle déception.
Des les 50 premières pages, j'en ai déjà une indigestion.
Un fonctionnaire de Police qui tire avec son arme de service lors d'une opé des stups, qui n'est inquiéter en rien par l'IGPN alors qu'il y a deux morts, ça part mal en crédibilité.
Un commandant de Police suicidaire et dépressif, sa collègue alcoolique, bonjour les clichés.
Ce roman se rapproche plus du roman fantastique que du roman policier.
Dommage j'avais adoré les rivieres pourpres.
La seule de bien dans ce livre, son épaisseur, je vais pouvoir caler mon armoire avec.
Commenter  J’apprécie          10
Je suis désolée, je vais à l'encontre de certaines critiques mais ma déception est à la hauteur de la joie que je me faisais de renouer avec Jean Christophe Grangé.

Ses œuvres, lues avec délectation, garnissent ma bibliothèque alors l'annonce d'un nouvel opus me ravissait.

Comprenez : on nous a vendu du gore, du sexe hors norme, de l'insoutenable.
J'en voulais pour mon "argent", je voulais me perdre dans la lecture, rester scotchée, l'estomac au bord des lèvres, les palpitations au rendez-vous mais rien, si ce n'est un mal de tête et l'envie récurrente de fermer définitivement l'ouvrage sans le terminer.

De l'insoutenable je n'ai eu que les descriptions cliniques dignes d'un médecin légiste sur la fin, quelques bribes brossées comme regardées de loin. Par contre j'ai trouvé insoutenable surtout le manque cruel de cohésion, d'empathie avec les personnages, l'impossible crédibilité des faits, de l'histoire et surtout de son dénouement, tellement évident qu'il vous donne envie de dire : "tout cela pour cela ????"

Rendez-moi l'auteur de Kaiken, de Miserere, s'il vous plaît !
Commenter  J’apprécie          12
Dans une interview Grangé expliquait qu'il avait voulu s'intéresser au monde du porno avec cet ouvrage et plus particulièrement à ce qu'il avait de plus pervers.
Les premières pages, avec les meurtres de strip-teaseuses font illusion un petit temps avant que tout s'effondre pour devenir une enquête totalement grotesque. Pourtant il y avait beaucoup à dire sur le monde du porno, exploitation d'êtres humains, affaires de gros sous...plein de choses à dire, mais non, au final on a juste droit à une enquête farfelue au final hilarant tellement il est ridicule.
Et je ne parle même pas des tics d'écritures particulièrement agaçants.

Bref, La Terre des morts est une parfait réussite du roman raté. A oublier. Je ne sais pas ce qu'il se passe dans le petit monde du thriller français, représentés par des figures comme Thilliez ou Grangé, mais il est grand temps que ces auteurs se réinventent parce qu'on est pas loin d'avoir toucher le fond.
Commenter  J’apprécie          10
Alléchée par les critiques élogieuses, et lectrice assidue de Grangé, j'attendais avec impatience la lecture du dernier opus.
Arrivée à la fin, j'ai conclu que j'allais finir par ranger Grangé parmi les auteurs de polars que j'ai beaucoup aimés, puis un peu moins, puis définitivement abandonnés.

A la lecture du 4e de couverture, c'était loin d'être gagné : le porno SM. Je préférais quand même la françafrique et les ors de la République de Lontano (que j'ai trouvé raté quand même, mais imaginer le fantôme de Jacques Foccard à chaque page m'avait encouragée à terminer). le héros, une fois de plus ( de trop?) est un superflic doublé d'une gueule cassée qu'on imagine invariablement interprété par Jean Reno ou Vincent Cassel, qui patauge dans son enquête ET dans son divorce.
L'histoire : à Paris, un meurtre sauvage de prostituée jette le héros sur la piste d'un tueur repenti devenu un peintre célèbre. Forcément, les chose ne sont pas si simples qu'on l'imagine, les rebondissements s'enchaînent, jusqu'à la révélation finale.
Je n'ai pas trouvé dans la Terre des Morts le petit quelque chose qui rendait les livres addictifs : ni la géniale noirceur du Vol des Cigognes, ni les quêtes rocambolesques, pleines de rebondissements et de sang des Rivières Pourpres ou du Serment des Limbes. Après une enquête menée tambour battant et un procès bourré de fantômes dans le placard et de chausse-trappes, la conclusion finale est un brin rocambolesque et, à mon avis, complètement bâclée.
Ce livre est à ranger dans les loupés de Grangé, et ils s'accumulent : j'ai surtout pensé à Kaiken, qui se passe à Paris et que j'ai trouvé incompréhensible. A une autre époque, Grangé m'a parfois déçue par des conclusions de livre un peu loupées (L'empire des loups ou le Concile de Pierre), mais elles faisaient suite à des enquêtes nerveuses, originales et documentées. Car c'est ça qui faisait le charme de Grangé autrefois : on sentait le journaliste qui avait bien bossé son sujet. Là, non.
Commenter  J’apprécie          10
Roman trop noir et abject. de plus, une fin totalement invraisemblable.
Commenter  J’apprécie          10
Grangé a écrit d'excellents thrillers, mais plus le temps passe, plus il s'enfonce dans l'ignoble. C'est le cas ici ou les descriptions des meurtres et autres pratiques provoquent des hauts de coeur. Et sans que cela apporte vraiment un plus à l'intrigue. On dirait un concours avec d'autres auteurs, à celui qui pataugera le plus dans la fange. Pour ma part, j'ai renoncé à mi récit puis j'ai été lire les 10 dernières pages qui ne m'ont pas vraiment réconciliées avec ce livre. Il va se passer un bon moment avant que je reprenne un Grangé...
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (2996) Voir plus



Quiz Voir plus

Jean-Christophe Grangé et qqs uns de ses titres (polar, thriller)

Année de naissance de Grangé ?

1941
1951
1961
1971

8 questions
254 lecteurs ont répondu
Thème : Jean-Christophe GrangéCréer un quiz sur ce livre

{* *}