Au risque de répéter ce qui a déjà été dit sur ce livre, j'ai vécu cette lecture comme si je regardais Grey's Anatomy. Cette série que j'ai tant aimé. Tout y était : passer du rire aux larmes (coucou la Dame au manteau rouge 💔); le coeur qui se serre pour ensuite se gonfler d'amour; le souffle qui se suspend; le soulage qui te prend; l'effarement qui te saisit.
Bref , j'ai ressenti un une multitude d'émotions avec l'histoire de Cléo et Carter.
Une romande doudou qui fait du bien, mais qui accroche le coeur néanmoins avec certains sujets abordés... 🥺
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Cléo et Carter se cherchent, se trouvent, se frôlent, s'attirent et se repoussent dans le ballet des brancards et la symphonie des bips qui rythment les urgences. Ils se débattent avec leur vie personnelle, celle passée et présente, et se battent pour sauver, guérir, maintenir, préserver la vie de leurs patients.
Leur rivalité-amitié ambiguë avortée, par le passé, reprenant de plus belle dès lors qu'ils retrouvent à travailler ensemble. Une attirance qui se réveille et s'amplifie à mesure qu'ils se côtoient, mais aussi des questions et des doutes qui entravent leur relation.
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Cléo est touchante dans sa quête de vérité, d'acceptation et de reconstruction.
Carter, lui, fait partie de la team good guy. Un book boyfriend parfaitement attachant qui m'a fait fondre dans sa manière d'être, sa façon de penser, sa prévenance et ses taquineries envers Cléo.
J'ai adoré également le noyau dur de sa famille. D'ailleurs, je ne dirais pas non à une histoire sur un certain Roméo, ni même sur Luka... A bon entendeur!
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Ce qui nous rend vivants n'est pas seulement une histoire d'amour entre Cléo et Carter. C'est une histoire sur la vie et la mort, et sur tout ce qui peut se passer entre. C'est une forme d'hommage aux personnels soignants, quels qu'ils soient, sur leur quotidien aux allures de luttes âpres et permanentes.
C'est sans aucune hésitation que je vous recommande de lire ce livre, si ce n'est pas déjà fait!