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3,28

sur 1351 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le théorème des Katherine de John Green est un roman parfait pour s'évader. C'est un roman qui reste très drôle, même si les sujets abordés sont assez sensibles.
Dans ce livre, l'amitié entre Hassan et Colin m'a énormément touché. Ils sont très différents l'un de l'autre, mais ça ne les empêche d'être meilleurs amis. Hassan aide Colin comme Colin aide Hassan, et cette complicité entre eux m'a vraiment émue.
Je ne compte plus les moments où j'ai rigolé, où j'ai eu les larmes aux yeux, et où j'ai carrément éclaté de rire.
Vous allez pleurer, vous allez rire, vous aller rêver...
Love Always.
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Beaucoup d'humour dans ce roman, bien que complètement décalé, pour ma part j'adore, mais je comprends parfaitement que ça ne plaise pas à tout le monde. Les surdoués sont des personnes ayant des réflexions très étonnantes, souvent gênantes pour l'entourage, il faut prendre cet humour au 3ème degré (minimum !).
L'introduction du théorème mathématique dans le coeur du récit et la présence d'une multitude de notes de bas de page qualifiées par l'un des personnages de "pas intéressantes" sont pour moi au contraire d'un grand intérêt. Il faut dire que, comme Colin, j'adore apprendre tout et n'importe quoi, tout le temps, même lors d'une lecture loisir. J'ai d'ailleurs lu l'appendice rédigé par l'ami mathématicien de l'auteur avant d'aller me coucher. Vous avez dit bizarre ? J'ai l'habitude ;-)
Merci
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J'ai lu ce livre pendant les vacances , il fallait que je rende une critique de ce livre pour le cours de français. Au début, vu que je n'aime pas trop lire, je n' étais pas trop inspirée de lire un livre assez long. Et j'ai donc commencé à lire , et j'ai été absorbée. Quand j'arrivais à la fin de chaque chapitre, il y avait souvent un petit suspense pour nous encouragé à lire la suite et entamer le chapitre suivant. Donc le livre fut absorbant et j'eus l'envie de savoir la continuité de l'histoire.
"Colin est tombé dix-neuf fois amoureux. Dix-neuf fois il s'est fait larguer. Mais dix-neuf fois la fille s'appelait Katherine. Et Katherine avec un K et pas autrement. Tombera t-il une vingtième fois d'une fille qui s'appellera elle aussi Katherine? Lisez le livre et vous le saurez."
C'est l'été et ils partent son ami et lui en virée en voiture pour se vider l'esprit. Surtout celui ce Colin. Mais leur virée s'arrêtera a un endroit ou plusieurs choses vont se passer. C 'est un livre assez drôle. J'ai oublié de vous dire que Colin est un surdoué.
J'ai bien aimé ce livre, même pour ceux qui détestent lire. Une fois qu'on accroche à l'histoire et qu'on est absorbé dans le livre de 289 pages.
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Colin vient de se faire larguer pour la dix neuvième fois par une Katherine. Il décide d'écrire un théorème qui lui permette de comprendre ce phénomène et d'anticiper toute rupture, voire d'espérer un retour de sa dulcinée.

Son ami Hassan, lui propose de partir en voiture afin de se changer les idées. Ils arrivent tous les deux dans un étrange petite ville du Tennessee qui fait commerce en faisant visiter la tombe supposée de François-Ferdinand.

Ils y rencontrent Lindsey qui elle sort avec Colin que notre héros s'empresse de renommer LAC, pour l'autre Colin ! Et se retrouvent rapidement embaucher afin de recueillir le témoignage des habitants sur leur ville et la seule usine du coup qui fabrique des cordons pour tampons.

Colin trouvera-t-il la solution à tous ses déboires ? Résoudra-t-il l'énigme des Katherine ?

Un roman très vivant qui bouscule le lecteur français en l'embarquant dans la vie d'un surdoué plongé dans l'Amérique profonde, à la recherche d'une recette pour le bonheur.

Un récit qui irradie d'humour et de clins d'oeil. La différence que porte le héros, son intelligence qui est en réalité une marque d'inadaptation, amène un regard décalé sur les différentes situations qui vont survenir, certaines comme la formidable scène de chasse, sont dignes d'un vaudeville !

Palme d'or au personnage d'Hassan, qui à la manière de Jacques le fataliste avec son maître, porte une parole juste et philosophique. Ses célèbres répliques : "Pas intéressant" visent à empêcher Colin de mener trop de digressions et de s'égarer sur le chemin de la vie.

Un roman du célèbre auteur de "Nos étoiles contraires" qui offre dans ce livre hors norme une autre de ses facettes ! A découvrir !

Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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J'ai été très touchée par "Nos étoiles contraires", je sors apaisée de cette lecture. J'ai découvert cette histoire en livre audio qui est très bien racontée. L'histoire est simple mais originale avec ce fameux "théorème". Colin veut démontrer grâce à son expérience qu'il peut "prédire" ce qu'il va se passer et en l'occurence combien de temps va durer sa prochaine relation avec une Katherine, car il n'est sorti qu'avec des filles se prénommant ainsi. L'histoire évolue autour de personnages très attachants. C'est un joli roman avec une jolie morale. Rien de transcendant mais j'ai passé un bon moment.
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Ce roman pour adolescents dénotera des autres à plusieurs titres, pour son orientation masculine, son écriture et ses situations à tribulations extravagantes comme la littérature américaine peut en apprécier le genre. "Le théorème des Katherine" est un roman écrit par un homme et présentant le monde amoureux masculin dans l'adolescence, ce qui est rare. Les garçons dévoreront plus facilement des oeuvres de l'imaginaire que des textes sur ce sentiment amoureux. Et bien là, ils auront enfin une proposition qui leur ressemble si besoin est, et ça, c'est original. Aussi les filles pourront apprécier de jeter un oeil curieux "aux vestiaires" de leurs petits coeurs et s'attendrirent de leurs questionnements les concernant.



Certaines lectrices ne seront pas forcément séduites par cette écriture potache- bienvenue dans le monde des garçons, mesmoiselles!, surfant sur les clichés communautaristes tant appréciés des caustiques Stand-Up Outre-Atlantique, l'association d'un juif et d'un arabe dans cette escapade atteste de la marque de fabrique. Cependant, l'ambiance est loin d'être lourde et nous profitons réellement sans déplaisir de ce duo improbable qui se "piquent" de répliques ironiques et s'apprécient à la vie à la mort. C'est aussi une histoire d'amitié longue et solide.



John Green a su proposer une alternative valable face à la recrudescence de romans pour filles du genre. L'auteur imagine un pauvre "loser", à l'instar de beaucoup de jeunes adolescents "boutonneux" et "puceaux", vous me le pardonnerez, qui à cet âge attendent aussi de décrocher leur bonne étoile avec la fille de leur rêve (mais n'en parle pas!). L'approche est en effet très masculine dans la façon de percevoir la relation, plus cérébrale et théorique qu'émotionnelle, crédible, même si le trait est forcée volontairement avec la nature surdouée de Colin, afin de présenter cet angle de vue des garçons "in Love". John Green expose la difficulté des garçons a comprendre les filles dans l'acte même de ce génie désespéré qui cherche l'astuce qui pourrait le rendre irrésistible auprès de ses futures conquêtes.



Dans sa singularité, Colin Singleton ne comprend pas ce qui l'isole du monde ( attention jeu de mots voulu!! singularité, single=célibataire, Singleton), ce qui a échoué dans toutes ses dix-neuf approches de la relation amoureuse. Une incompréhension dans laquelle nombres de jeunes tout court se retrouveront probablement dans l'échec et l'assumation d'une image de vilain petit canard aux yeux des autres comme à cet âge. Hassan fait d'ailleurs référence à ses complexes sur ses excès de poids et sa gêne à se montrer torse nu devant ses copains. Cela ne l'empêchera pas non plus au final de trouver l'amour grâce à sa personnalité enjouée et caustique.



Cela offre une perspective réaliste et moins fantasmée de la relation. Exit les princes charmants et adonis aux corps parfaits, pour faire connaissance avec un duo de copains vraiment sympathiques, tels que les jeunes filles pourraient en rencontrer dans la vraie vie du lycée, pour qui saurait se laisser séduire par des personnalités naturelles et attachantes. Non, le terme "attachant" n'est pas uniquement réservé qu'à l'usage de la race canine mais aussi à l'amour vrai, celui qui fait fi des apparences et embrasse l'imperfection comme un charme. Colin "Roméo" trouvera sa "Juliette" -pas une Katherine"- en la personne d'une jeune adolescente qui aimerait au contraire se tenir dans l'ombre par réserve. Comme quoi la vie est bien faite!



Colin se révélera finalement l'homme charmant et exceptionnel qu'il rêve d'être, apprenant enfin à s'aimer lui-même et cessant de vouloir impressionner son entourage de peur d'être abandonner. Une assurance donc à la clé! Il mettra un peu son ordinateur de cerveau de côté et poussera son instinct vers l'inconnu, inconnue avec un e"" puisqu'elle s'appelle Lindsay. Un joli calcul qui séduira au final les deux lectorats, filles et garçons.
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J'ai offert ce livre à mon fils car j'avais beaucoup apprécié Nos étoiles contraires. Mon fils a été emballé, moi, un peu moins. le récit, sorte de road movie, ne m'a guère intéressée jusqu'à la moitié du roman. le personnage d'Hassan est pourtant excellent et m'a fait beaucoup rire. le monde des surdoués m'a rappelé le roman E=mc² mon amour.
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J'adore John Green depuis que j'ai découvert "Nos étoiles contraires". Je trouve son style d'écriture poétique et parfois très drôle comme dans ce roman.
Colin est un surdoué fan d'anagramme qui voudrait avoir lui aussi sa minute "Eureka". Il va entrer à la fac à la rentrée mais le problème c'est qu'il vient de se faire larguer par sa petite amie, Katherine XIX. Pourquoi XIX me direz-vous. Et bien parce que Colin n'est sorti qu'avec des Katherine et que 19 fois il s'est fait larguer.
Pour le consoler son ami Hassan lui propose un Road Trip en voiture. Colin accepte.
Lors de ce voyage il essaiera d'inventer un théorème pour définir les relations amoureuses.
Ce roman est un peu long à commencer mais on se retrouve rapidement aspirer dans l'histoire et on rit des déboires des deux amis (et plus).
Ps : Toutes les notes de bas de page sont à lire !
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Un livre qui parle d'un théorème d'un surdoué s'appellant Colin largué par son ex Katherine qui part dans le genre road trip aux USA entre Chicago et le Tennessee avec son seul ami Hassan, très agréable à lire avec des anecdotes peu communes qui ne manquent pas d'intérêt.
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C'est parce que j'avais adoré "Nos étoiles contraires" que certains autres livres de l'auteur ont atterri dans ma pal par la suite. "Le théorème des Katherine" en faisait partie.
C'est un livre fort différent et beaucoup moins triste. Sympathique, cocasse dans certains passages, drôle, qui fait facilement sourire et met de bonne humeur.
Colin, jeune homme surdoué venant tout juste d'obtenir son bac, vient encore une fois de se faire larguer (par K-XIX), et pour lui faire oublier son chagrin, se voit embarquer par son pote Hassan (qui n'est pas un terroriste) dans une sorte de road trip qui tournera court et qui les amènera tout deux dans la petite ville de Gutshot, Tennessee. S'en suivent des (més)aventures plus ou moins rocambolesques, qui permettront à chacun des protagonistes de se remettre en question.
Les personnages sont attachants, bien qu'un peu centrés sur leur petite personne (ce sont des ados, ne l'oublions pas), et bourrés d'humour chacun à leur manière et/ou bien malgré eux.
J'ai passé un bon moment. C'était très sympa, bien qu'un peu trop "d'jeuns" pour moi.
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