Sur les balcons du ciel

💙Magnifique ! J'ai beaucoup aimé ce roman, et c'était le premier roman de Sophie ROUVIER que je lisais.
Au début de ma lecture, j'étais un peu sceptique, je ne voyais ce que la suite allait donner mais les évènement s'enchainent et tout se met en place.

J'ai aimé cette relation particulière que vont noués Vadim et Alma. Comment, elle va se développer, comment ils vont apprendre à se connaître et s'épauler.

📚 MON AVIS : J'ai acheté ce livre car il est inscrit sur la couverture l'avis de Virginie Grimaldi que j'apprécie énormément comme autrice.
Ce roman de Sophie Rouvier est le premier que je découvre et j'ai eu l'occasion de voir l'autrice à 3 reprises lors de Salon. J'ai donc 3 de ses romans dans ma PAL.
Cette histoire est celle de deux âmes en peine qui n'ont pas été épargnés par la vie. C'est aussi le récit de deux personnages que rien prédestinait à se rencontrer : un ado d'une quinzaine d'année et une femme dans la trentaine. Et pourtant, malgré leurs différences, va naître une belle amitié entre eux qui a pour but de les tirer vers le haut et les sortir de la spirale de la dépression.
J'ai beaucoup aimé ce roman qui est une belle leçon de vie. La plume de Sophie Rouvier est à la fois percutante et drôle ! Je suis donc ravie d'avoir encore 2 livres de cette autrice dans ma PAL et je ne vais pas tarder à en lire un autre !

cette jolie histoire croise deux destins écorchés : Vadim, jeune adolescent qui a perdu coup sur coup son père et sa meilleure amie, et Alma, trentenaire celibataire qu'un amour impossible consume depuis des années.
Le livre est plein de tendresse et de compassion. L'écriture est simple et lègére bien que chargée d'émotions . je dirais que ce livre n'est pas un "top", mais j'ai aimé le lire et avancer vers le hapy end que l'on devine au fil des pages. Je vous invite à le découvrir si vous avez envie d'un moment de detente lecture.

J'ai adoré le personnage de Vadim. le fait que son récit soit écrit à la première personne avec ses mots à lui rend le texte plus percutant et émouvant. En revanche, je n'ai pas accroché avec Alma. Je n'ai pas su me mettre à sa place, pas réussi à la comprendre ni à ressentir d'empathie. J'ai conscience que les drames sont incomparables mais je n'ai pas pu m'empêcher de le faire. La situation d'Alma me semblait risible par rapport à ce que doit traverser Vadim. Ce garçon m'a marquée.

Étant une inconditionnelle lectrice de Virginie Grimaldi, et ayant entendu parler des bertitis, Sophie Rouvier était également sur ma liste des lectures à venir. C'est également au salon du livre de Bondues que je me suis offert un de ses romans, pour le faire dédicacer, et pour me donner l'opportunité de la lire.
Dans ce livre, nous suivons deux protagonistes qui au premier abord, ne semblent pas avoir de points communs. D'un côté un jeune garçon adolescent, de l'autre une jeune femme dans la vie active. La vie va pourtant croiser leurs chemins...
C'est un roman léger avec une lecture fluide et rapide. Les sujets abordés n'en sont pas forcément légers. Les personnages vivent avec des blessures, des cicatrices et des souffrances. On s'attache aux personnages et ressentons une certaine empathie à leur égard.

Je dois admettre que cette lecture n'est pas forcément dans mes favorites. Il m'a fallu un peu de temps pour réellement entrer dans le récit. Mais ça reste néanmoins un livre que j'ai apprécié et qui me donne envie de découvrir d'autres romans de l'auteure.

Une plume fluide, saccadée qui permet (pour ma part) de ressentir davantage les émotions, les douleurs brutes des 2 personnages. La rencontre entre les 2 se fait tardivement mais n'enlève pas le plaisir d'avancer dans la lecture. Ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai beaucoup apprécié.

J'ai pas réussi à être emportée . J'ai trouvé que les personnages n'avaient pas assez de profondeur. On a l'impression d'un roman tronqué dans lequel il manquerait des passages pour véritablement plonger dans l'intrigue . C'est trop survolé à mon goût.
Le titre ne colle pas non plus à l'intrigue: je m'attendais à des discussions cathartiques, philosophiques ou métaphysiques mais il n'en est rien .
Tout cela reste très personnel et subjectif et le succès du livre prouve que mon ressenti est marginal.
Le livre se lit assez vite alors à vous de vous faire votre propre idée 😉.

La lecture est une rencontre. Celle entre le lecteur et l'auteur. Celle entre le lecteur et une histoire. Celle entre le lecteur et des personnages. Cet été, j'ai lu le dernier roman de Sophie Rouvier sorti avec le printemps dernier en poche.
"Sur les balcons du ciel" est un roman a 2 voix. La voix déjà usée d'un adolescent, Vadim et la voix d'une femme, Alma, à l'aube de la quarantaine. Sans le savoir, ils vivent sous le même toit, dans un immeuble que l'on suppose parisien. La vie n'a pas épargné Vadim. L'amour ne fait pas de cadeaux à Alma. Vadim fait partie des victimes collatérales des attentats terroristes. Son papa est mort sous les balles des terroristes dans une salle de concert. Alors qu'il a à peine recollé les morceaux de cette perte, son amie Valentine meurt subitement. le deuil de l'une ravive en lui le deuil de l'autre. Vadim sombre, perd le sens de la vie...et trouve refuge sous la voute céleste, installé sur les toits. Isolé, sa vie solitaire bascule le jour où il chute par accident sur la verrière d'Alma. Plus de peur que de mal! Par contre, le hasard de cette rencontre fortuite va amener Alma et Vadim à se découvrir...
La plume de Sophie Rouvier est déconcertante. Elle peut désorienter le lecteur qui s'attend à quelque chose de plus léger, de plus feelgood. Forte d'intériorité, de maîtrise et de poids, elle mène le lecteur dans un univers intéressant. Chaque mot est pesé, choisi en soutien au récit. Certains moments sont pesants malgré une touche d'humour. Lire un roman de l'autrice est s'autoriser un voyage à l'intérieur des personnages. Leurs ressentis, leurs états d'âme, leurs colères et leurs doutes, rien ne nous est épargné. Avant de démarrer cette lecture, il faut le savoir et se sentir prêt à accueillir ce package vibrant.
Au coeur de l'été, cette lecture fut pour moi en décalage complet avec la légèreté estivale. Je n'en ai pas pour autant moins apprécié le récit et l'écriture offerte.
Durant le lecture de ce roman, je suis passée par une multitude d'émotions. de véritables montagnes russes, entre incrédulité face à la situation de Vadim, désarroi de le savoir si seul, compréhension, empathie, crainte de le savoir en danger seul sur les toits, plaisir d'accompagner amitié naissante ou de découvrir l'avis de Vadim sur la vie amoureuse d'Alma.
"Sur les balcons du ciel" sera une très bonne lecture à glisser dans une pile à lire cet automne. Sous un plaid réconfortant et une boisson chaude au creux des mains, tu pourras te laisser emporter sur les balcons du ciel, le coeur en vrac mais le nez dans les étoiles.
Lien : http://lire1X.com

Un roman court et rempli de bons sentiments, d'habitude pas ce que je lis, mais je me suis laissée emportée par l'écriture hâtive et saccadée de la partie concernant Vadim l'adolescent. J'avais envie de connaître son histoire, Sophie Rouvier laisse tomber les indices tout doucement au fil de son écriture. J'ai aussi aimé le changement de ton quand l'auteure parle d'Alma la trentenaire. Des grosses fêlures de vie pour ces deux personnages qui deviennent la bouée l'un de l'autre.
Au final une histoire très jolie et bien construite, je n'ai pas trop aimé la fin mais ce n'est que mon ressenti !

Vadim est un jeune adolescent perturbé par la mort de son père et de Valentine. Associable et discret, il s'isole sur le toit de son immeuble dès qu'il le peut, approchant ainsi ses démons encore plus intimement.

Alma est dentiste, tout à fait normale en dehors de chez elle, mais une fois entre ses quatre murs, elle se renferme sur elle-même, rongée par les remords de ses échecs amoureux qu'elle essaye de rejeter en courant des heures durant jusqu'à ce que son corps n'en puisse plus.

Tous les deux ont une vie semblable, mais n'ont pas la même manière de la gérer, ni de la combattre. Ils vont se trouver et s'aider mutuellement à passer à autre chose sans vraiment se connaître.

Dans les deux cas, c'est l'absence d'un être cher qui prédomine, l'un par la mort, l'autre par le déni. Comment se débarrasser des fantômes du passé lorsque l'on est pas soi-même dans son présent? La chose n'est pas aisée, mais nos deux protagonistes ont une partie d'eux-mêmes qui a la tête hors de l'eau pour les ramener à la réalité.