Dans
Arabella et le libertin, Georette Heyer prend le temps de présenter les personnages, de les installer dans un contexte bien développé, celui de la saison londonienne au 19ème siècle. Cependant, à force d'en rajouter, j'ai fini par trouver ce roman un peu trop bavard pour être vraiment agréable à lire.
A part cela, la trame du récit est assez classique, bâtie sur les quiproquos résultant d'un petit mensonge de l'héroïne qui perd bientôt le contrôle de la situation. le roman datant de 1949 la psychologie des personnages s'en ressent un peu : le "héros" apparaît comme le sauveur de la jeune fille qui est beaucoup plus "passive" que dans les romances historiques rédigées actuellement.
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