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3,54

sur 311 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai d'abord vu le film avec Daniel Radcliffe. Je ne suis pas très fan des films d'horreur, mais j'avoue que j'avais hâte de voir le jeune acteur jouer dans un autre registre. Je suis donc allée voir La Dame en noir. Et comme très souvent quand je vois un film ayant été adapté d'un roman, je me penche sur le dit roman.

Là encore, les romans du style horreur/terreur ne sont pas ma tasse de thé habituellement. Mais j'avais trouvé le film plutôt intéressant sans être trop effrayant. Et je dois dire que ma lecture finie, je trouve que les deux oeuvres sont au final très différentes. le fond reste le même, bien entendu, mais je ne pourrais pas les comparer, ni dire si l'un est meilleur que l'autre. En un sens, ce fut plutôt une bonne chose, car je n'ai pas eu l'impression de revivre l'histoire dans sa globalité. Et j'avoue que La Dame en noir, le roman, m'a aussi beaucoup plu.

Nous savons dès le départ qu'Arthur, le héros, est vivant et qu'il a surmonté, ou du moins essayé de surmonter, son histoire. Il nous narre donc sa mésaventure de jeunesse comme il se la rappelle. C'est toujours assez "rassurant" de savoir que le héros de l'histoire que l'on est en train de lire est toujours vivant. Même si l'on se doute que comme dans Dracula, le héros ne s'en tire pas sans séquelle. Je ne dirais pas que j'ai commencé ma lecture plus sereine pour autant. le récit commence donc doucement mettant en place la vie actuelle d'Arthur, puis les événements qui vont nous situer son histoire, sa rencontre avec La Dame en noir. Tout est très bien mesuré. On s'enfonce petit à petit dans les fins fonds de la campagne anglaise, trouvant l'atmosphère et les habitants de ce coin reculé différents, hantés en quelque sorte. Mais rien ne nous présage le reste. Ce sont des petits détails tout d'abord, insignifiants, puis angoissants car en fin de compte incompréhensibles, étranges, irréels. C'est d'ailleurs ce que j'ai apprécié. Il n'y a pas d'horreur. Un ressenti, des émotions, des faits inexplicables, mais rien de terrorisant en soi. Pas de "gore", de giclées de sang et autres réjouissances. Si vous n'êtes pas téméraires mais que vous voulez tester le genre, le roman est fait pour vous.

Arthur, notre héros, est un personnage auquel on s'attache très rapidement. D'abord par compassion, je pense, puis ensuite quand on le rencontre plus jeune pour son histoire, sa personnalité, sa simplicité. J'ai apprécié le suivre. Son discours, sous la plume de son auteur, est très posé, calme, apaisant, mesuré. Très britannique en quelque sorte. Il n'est pas plus courageux qu'un autre, du moins c'est comme cela que je l'ai perçu, mais il veut aller au bout des choses. Ce côté téméraire aide bien sûr l'histoire, mais donne aussi au personnage une certaine prestance, surtout en comparaison des habitants du village. Spider et Monsieur Daily sont aussi deux personnages que j'ai grandement apprécié. C'est sans aucune doute les personnages secondaires que l'on voit le plus, mais aussi pour leurs relations avec Arthur.

L'intrigue en elle-même se déroule petit à petit, monte crescendo. On devine certaines choses avant Arthur, mais c'est avec lui que l'on découvre l'essentiel. Car au final, nous voulons savoir le pourquoi du comment, tout comme Arthur, et son enquête est très précieuse à l'histoire. Tout réside principalement dans l'ambiance, et le schéma de l'intrigue n'est pas forcément original, mais il n'en reste pas moins qu'on est pris dans l'histoire sans aucune difficulté. Les dernières pages sont les plus intenses et la fin est un peu abrupte, mais tellement parfaite pour ce genre de roman.

J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, je me pencherais donc sur d'autres de ses oeuvres avec le plus grand plaisir. Une bien jolie découverte.
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La dame en noir de Susan Hill publié en 1983 n' a été publié en VF qu'en 2012 à l'occasion de la sortie du film éponyme réalisé par James Watkins avec Daniel Radcliffe dans le rôle principal d'Arthur Kipps.
Tout d'abord je tiens à remercier Mylène la bonne fée des éditions de l'Archipel grâce à laquelle j'ai pu me plonger dans ce roman à l'atmosphère étouffante et angoissante.
Au nord de l'Angleterre, au début du XXè siècle, en bord de mer, au mois de novembre un jeune clerc de notaire débarque de Londres pour assister aux obsèques d'Alice Drablow la propriétaire du Manoir du Marais.. à priori une mission sans problèmes mais c'était oublier la Dame en noir.
Si ce registre littéraire ne m'attire pas outre-mesure, je reconnais que ce roman est une pure merveille du genre.
Un manoir désert, isolé en plein milieu des marais, la brume qui s'épaissit d'un instant à l'autre, les bruits, les lumières qui vont et viennent, la présence fantomatique de cette femme au regard halluciné et malveillant.. tout y est. Il faudra attendre la dernière page pour...
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Avec ce roman de Susan Hill on est vivement placé dans le suspense, l'atmosphère est bien rendue, le champ lexical du fantastique et paranormal est extrêmement développé. On peut dire que l'auteure a bien travaillé sur ce sujet.
J'aime beaucoup cette écriture, les descriptions sont finement exprimées, les ressentis bien détaillés et le personnage semble bien effrayé par les mystères du manoir du marais et tout ce qui l'entoure.
Cela dit j'ai tout de même trouvé que l'intrigue était bien fade malgré la profondeur de l'écriture qui relève bien le niveau du roman.
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Alors que toute la famille est réunie pour une veillée de Noël les beaux-fils d'Arthur Kipps décident de raconter des histoires de fantômes. Alors qu'arrive son tour Arthur sort précipitamment, sans explication, cette ambiance faisant ressurgir des événements douloureux de son passé.

Quelques décennies plus tôt alors âgé de 23 ans il est expédié par le notaire chez qui il travaille au Nord de l'Angleterre à Crythin Gifford pour représenter l'étude notariale lors de l'enterrement de Madame Drablow qui vivait au Manoir du Marais accessible seulement à marée basse. Il est également chargé de faire des recherches au manoir quand à la succession de la dame.

Nous suivons son histoire alors qu'il la couche sur le papier.

Au début du roman l'auteure nous plante le décor, les explications sont très visuelles, mais cette mise en contexte est très longue pour un si court roman. En effet il faut attendre plus du tiers du roman pour que la dame en noir nous apparaisse.

L'ambiance au début qui se veut lourde et plutôt glauque ne monte pas assez en intensité par la suite, les événements qui se déroulent dans la maison sont plutôt simples, pas assez exploités, et l'auteure ne travaille pas assez les sentiments ressentis par Arthur lors des phases qui devraient être plus angoissantes.

L'auteure aurait pu aussi se servir des villageois pour faire monter la peur au contraire ils se montrent trop fuyants bien qu'on en comprenne au dénouement la cause.

La plume de l'auteure est bien adaptée à ce récit, et elle parvient malgré les remarques ci-dessus à bien nous plonger dans l'époque.

Une impression mitigée pour ce trop court roman où il manque de l'action, où les descriptions sont parfois un tantinet répétitives, et où le côté psychologique du personnage central aurait pu être plus profondément exploité.

Lien : http://imaginaire-chronique...
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On en parle depuis déjà quelques mois, et maintenant que la date de sortie au cinéma se rapproche, il sera bvientôt impossible de passer à côté.
Cette Dame en noir est en effet surtout connue grâce à son adaptation cinématographique avec, dans le rôle principal, Daniel Radcliff, ce cher Harry Potter.
Je dois dire que moi-même j'attends ce film avec impatience, et les bandes-annonces me font saliver depuis pas mal de temps.
L'Archipel (qui a eu l'excellente idée de choisir cette couverture, belle et inquiétante) saute sur l'occasion pour sortir la version française du livre de Susan Hill, à l'origine de cette adaptation sur grand écran.
Qu'en est-il donc de ce livre ?

Et bien, je dois bien avouer que je m'attendais à autre chose, et cette lecture m'a apportée de petites déceptions, malheureusement.
La première chose que j'ai envie de dire, c'est que c'est bien trop court ! Ce n'est pas fréquent de trouver un récit d'épouvante aussi bref. D'habitude, les auteurs aiment se perdre dans de longues scènes flippantes et des descriptions à faire frémir.
Ici, nous avons l'introduction, où on nous présente Arthur et comment/pourquoi il arrive dans la demeure d'Alice Drablow. Ensuite, l'ambiance se fait plus pesante et certains indices nous font frissonner. Puis, boum ! ça fait peur, on a de gros instants de trouilles ... et la conclusion arrive déjà, sur un plateau d'argent.
Fin.
Heu ... Plaît-il ?
J'ai été assez déçue de ne pas avoir l'occasion de chercher les explications moi-même. Je n'ai pas eu le temps du tout de faire travailler un minimum mon imagination que l'auteur me disait déjà la raison d'être de tout ceci.
C'est vraiment dommage, car dans les histoires de fantômes, c'est quand même une grosse partie du plaisir, d'essayer de deviner qui est-ce, et pourquoi il hante tel ou tel endroit.
Voilà donc les points négatifs qui ont, pour moi, un peu altérer la qualité de cette lecture. Mais à côté de ça, j'ai beaucoup aimé me plonger dans cette histoire !

Bien que le personnage d'Arthur ne soit pas hyper développé, franchement, on s'en fiche un peu, car ce n'est pas le plus important.
En effet, le jeune notaire n'est au final qu'un fil conducteur, une excuse pour nous présenter le vrai héros de ce livre : la Dame en noir.
Dès les premières pages, on sait qu'on va avoir affaire à elle, et sa présence se fait sentir très rapidement, rendant l'ambiance lourde et sombre.
Les scènes où elle fait véritablement son apparition sont vraiment effrayantes. Je peux vous assurer que je ne faisais pas ma maligne, alors que je lisais la nuit, dans mon lit !
Ce ne sont pas des scènes pleines d'effets en tout genre, remplie d'horreur dramatique et d'évènements chocs. Mais c'est justement parce qu'elles sont bien plus sobres qu'elles sont plus effrayantes. Comme rien n'est "too much", on a beaucoup plus de facilité à s'imaginer tout ça se dérouler réellement.
Quand je lisais certains passages, j'avais vraiment l'impression de voir les phénomènes se dérouler devant mes yeux.
Flippant, je vous le dis !

Servi par une écriture fluide élégante, fleurant bon l'Angleterre Victorienne, c'est un récit qui se lit très (trop ?) facilement, et qui tient ses promesses sans aucune prétention : nous faire frissonner et nous offrir un bon moment de divertissement.
Lien : http://archessia.over-blog.c..
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Un petit retour de lecture du roman "La dame en noir" de Susan Hill

Un fait intéressant : le roman n'a été publié en version française qu'en 2012 à l'occasion de la sortie du film avec l'acteur Daniel Radcliffe dans le rôle principal d'Arthur Kipps,Alors qu'il est sorti, en langue originale, depuis 1983.

J'ai bien aimé l'ambiance que l'auteur parvient à nous faire ressentir à travers sa description incroyable des paysages étouffantes, voir carrément angoissante. On peut largement imaginer, la campagne anglaise, les marées entourant le Manoir.

La construction de l'histoire avec ce jeu de passé / présent que parvient à nous happer dans l'histoire. On sent cette tension naissante, qui s'accentue au fil des pages. On se prépare à la chute bien entendu ce qui nous procure ce petit sentiment d'angoisse.

Cela a été un moment plaisant de lecture, la preuve étant, je l'ai lu quasiment d'une traite..Après cela n'a pas été un livre de « grands frissons » mais ce n'était pas le but recherché à travers cette lecture. Donc je dirai un bon roman qui me change de mes registres habituels et qui me prépare à la future lecture d'un roman beaucoup plus marquant dans le même registre.
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Comme beaucoup de personnes j'ai découvert la Dame en Noir par son adaptation au cinéma avec Daniel Radcliffe dans le rôle principal. le film m'avait terrifié à l'époque (je n'étais pas une habituée des films d'horreur comme aujourd'hui). Lorsque j'ai vu cette jolie réedition aux éditions de L'Archipel je l'ai acheté sans me poser de question. J'aime beaucoup découvrir les oeuvres originales suite à des adaptations.

Le roman est très court et pourrait pratiquement passer pour une nouvelle. le style gothique ressemble vraiment aux romans d'époque et pourtant celui-ci a été écrit en 1989! Au final je l'ai lu très rapidement mais j'en ressors plutôt mitigé.

Forcément j'avais encore en tête les images du film et j'ai donc trouvé que le roman était plutôt léger par rapport à son adaptation. Il ne se passe pas grand chose dans le roman et les scènes d'horreur sont très peu nombreuses et pas forcément mémorables. le roman reste néanmoins très sombre et l'histoire tragique mais je n'ai pas eu peur une seule fois.

J'ai apprécié les descriptions de l'autrice sur ce village entouré de marais et de brume. On sent bien l'humidité et le froid de l'hiver. Concernant les personnages, je ne les ai pas trouvé très marquant. le personnage principal est surtout là pour faire office de témoin sans marquer le récit par sa personnalité.

J'ai beaucoup aimé la fin qui est peu ou prou la même que celle du film sauf que dans le roman elle m'est apparue beaucoup plus claire que dans son adaptation. Dans le roman il y a vraiment une explication et le côté malédiction est bien représentée contrairement au film qui ne cherchait qu'à faire sursauter sans explication.

En bref : La Dame en Noir est un court roman assez sympathique dans son genre mais qui ne marque pas tant les esprits que ça. Il se lit bien mais si vous cherchez vraiment à avoir peur, ce roman risque de vous décevoir. Une référence dans le genre du roman gothique mais clairement pas la meilleure.
Lien : https://repairedeslivres.wor..
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La Dame en noir est un digne héritier de la gothic novel : apparitions ectoplasmiques, vieille demeure réputée hantée, nature envahissante et inquiétante... Les Mystères d'Udolphe d'Ann Radcliff ou le Château d'Otrante d'Horace Walpole ne sont vraiment pas loin ! Susan Hill soigne ses descriptions afin de permettre à la tension de s'installer progressivement.Le jeune Arthur Kipps est témoin de phénomènes paranormaux assez inquiétants, et leur apparition dans un tel lieu accroît le suspense du roman.
Si j'ai aimé l'ambiance digne d'un excellent roman gothique - cette maison chargée de passé, isolée par la marée, théâtre d'un drame familial qui hante les esprits - je n'ai malheureusement éprouvé aucune surprise en lisant ce roman. Susan Hill ne parvient pas à surprendre son lecteur et reste trop proche de ses dignes prédecesseurs. Largement inscrit dans la lignée des grands noms de la gothic novel, son roman ne parvient ni à les égaler ni à émerger singulièrement et son intrigue reste assez superficielle. Peut-être est-ce parce que je me suis plongée dans les romans terrifiants d'Ann Radcliff et ses semblables pour mes études que je suis si dure avec cette lecture ? Peut-être aurais-je été séduite si je n'avais pas étudié les mécanismes de la gothic novel ?
J'ai passé un bon moment, certes, mais rien de mémorable pour un roman de ce genre...
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Début du 20e siècle. Un jeune avocat est envoyé dans un village perdu du nord de l'Angleterre pour organiser la succession d'une vieille femme qui vivait recluse. A peine arrivé sur les lieux, il est confronté aux apparitions effrayantes d'une mystérieuse dame en noir qui hante les lieux.

On est ici dans un roman d'ambiance: il n'y a pas vraiment d'action, il s'agit de confronter un jeune homme ordinaire, au pragmatisme tout britannique, à des évènements surnaturels qui vont lui faire perdre son sang-froid et ses certitudes.

L'autrice nous décrit les lieux solitaires et déprimants, les voisins rendus muets par la peur du fantôme, les frayeurs de son héros, les conséquences de sa rencontre avec la Dame en noir. le rythme est assez lent et la mise en place un peu longue, mais ça fonctionne, on a envie de savoir ce qui va se passer et de comprendre les origines de la hantise. La plume est agréable, c'est fluide, ça se lit facilement.

Si ce court roman m'a semblé efficace malgré le manque d'action, j'ai été assez déçue sur un point: la couverture nous annonce « la plus terrifiante histoire de fantôme de notre époque ». J'étais impatiente de frissonner avec les personnages! Or je n'ai pas trouvé que c'était même un peu effrayant. D'accord ce n'est pas Casper le gentil fantôme, des gens sont blessés ou tués et tout et tout, mais à aucun moment je n'ai ressenti la moindre petite angoisse, c'était assez frustrant. Je m'attendais à bondir de mon fauteuil au moins un peu et ça n'a pas du tout été le cas.

Si vous avez lu ce livre, je compte sur vous pour me dire si c'est moi qui suis insensible ou si vous n'avez pas été effrayé-e-s non plus 😉

Bonne lecture malgré tout, mais qui ne m'a pas apporté les frissons j'en attendais.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Je pensais emprunter un thriller mais La dame en noir n'en est pas un, contrairement à la mention sur la couverture, c'est un roman gothique, tout droit dans la lignée de Rebecca du Daphné du Maurier.
Arthur Kipps, jeune clerc de notaire londonien, est chargé par son employeur de régler la succession d'une de leurs plus vieilles clientes qui vient de rendre l'âme et qui est sans héritier. Mme Drablow habitait un vieux et sombre manoir isolé, cernée de marais, un décor idéal pour un roman gothique, et il doit donc se rendre sur place pour trier les papiers et mettre la maison en vente. le jeune homme, tout heureux de quitter Londres pour quelques jours, veut s'installer dans la vieille demeure car celle-ci est seulement accessible à marée basse mais il est tout de suite mis en garde par les habitants. La demeure est réputée maudite mais Arthur n'y croit pas jusqu'à ce qu'il y voit un fantôme, celui d'une jeune femme défigurée. Il prend néanmoins son courage à deux mains et après une nuit à l'hôtel, s'installe dans La maison du marais.
Cette trame est effectivement parfaite pour un film angoissant mais la lecture est toute autre. Je n'ai malheureusement pas ressenti la peur de notre héros, pauvre Arthur, bien attachant par ailleurs, qui doit faire face aux apparitions, aux meubles qui bougent tout seuls et aux cris dans la nuit, ceux des morts revenus hanter les lieux de leur décès, le marais qui borde le manoir, etc.
Je ne suis pas experte en romans gothiques mais j'ai l'impression que Susan Hill a oublié de mettre de la de tension psychologique dans son roman, là où ont su le faire ses ainés.....
Lien : http://deslivresdeslivres.wo..
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