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3,85

sur 719 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
On a bien aimé ce livre car il y a des découvertes inattendues, des révélations incroyables et du suspens, mais on ne comprend pas toujours très bien tout ce qui se passe. de plus le fait qu'il y ait plusieurs point de vue est bien mais le fait qu'il ne soit pas au même moment nous embrouille un petit peu et nous force à nous souvenir, ce qui nous empêche un peu de s'arrêter là où on veut, c'est ce qui nous a déplu.
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J'ai trouvé ce livre bien car en plus de l'histoire qui nous accroche bien, il y a une morale qui nous fait réfléchir.
Puisque même si on se fait enlever la douleur, ça ne devrait pas nous empêcher de ressentir les choses.
R.A.


Moi j'ai adoré !
C'est plein de rebondissements, il y a une belle histoire d'amour, c'est aussi triste. J'ai même pleuré car le garçon est en colère contre lui et veut savoir ce qu'il se passe et on ne lui répond pas.

Stache


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Imaginez une vie sans douleur. La C.E.D.E. (Cellule d'Éradication de la Douleur Émotionnelle) en a fait une réalité. Les prouesses technologiques permettent de remonter à la source de la douleur pour l'effacer définitivement. Rentrer dans les moeurs, c'est même devenu une mode et un moyen d'ascension sociale pour certain. Pour Silas c'est un passage obligé après la mort brutale de sa petite amie dans un accident de voiture. C'est totalement détaché de cette horrible événement qu'il reprend sa vie d'avant, un point bleu sur le poignet comme seul vestige d'une douleur évitée...

Ne plus souffrir suite à une rupture ou un deuil. Sur le papier, cela pourrait être sympa mais Florence HINCKEL nous présente des gens devenus apathiques. Pire, Silas sent ses souvenirs lui échapper. L'auteure fait un parallèle intéressant entre la mémoire et les sentiments. Outre le sujet principal déjà très bien mené, il est aussi question de l'omniprésence du gouvernement et des réseaux sociaux mais aussi de résistance. La deuxième partie du roman nous donne le point de vue d'Astrid, une ado assez casse-cou, éprise de liberté. C'est certainement pour ça que je l'ai trouvé plus attachante que Silas. Sa relation avec sa grand-mère atteinte de la maladie d'Alzheimer et avec son père, «collectionneur» de points bleus, lui ouvre les yeux et l'incite à se rebeller...

Un roman bien écrit, intéressant et intelligent!


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Je recommande ce livre car il est vraiment bien et simple à lire. J'ai beaucoup aimé le fait que l'on veuille empêcher les gens de souffrir et de vivre avec la douleur, mais que sommes-nous sans cela ? On a le droit d'être heureux et de souffrir pour être heureux. C'est une histoire futuriste un peu, pourvu que la CEDE n'existe jamais !... Comment l'auteure, Florence Hinckel parle du réseau, l'importance des statuts et le fait que dès que l'on se déconnecte, tout le monde s'inquiète, du moins les amis virtuels, prouve que l'on est dépendant de cela, on ne vit plus sans. Et ceux qui le peuvent ou le veulent sont bloqués et enfermés dedans. Ce livre, c'est également une histoire d'amour compliquée mais c'est un très beau livre, très bien écrit. J'aimerais que mon avis donne envie de lire ce livre qui est génial. Les personnages principaux, Astrid et Silas, sont attachants, le livre se lit vite et bien, il n'y a pas de mots trop compliqués.
Léane, 3ème
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Astrid et Silas vivent dans une société où la douleur tend à être éradiquée. Ceux qui ont "bénéficié" des services de la CEDE (Cellule d'éradication de la douleur) suite à une blessure ou un deuil arborent un point bleu sur le poignet. Ils vivent par la suite sans émotion, ni postive ni négative.
Quand Astrid meure, Silas dévasté est embarqué par la CEDE mais petit à petit ses sentiments vont resurgir et il va découvrir l'envers du décor.

Un excellent roman finalement philosophique sur les sentiments et la douleur où les personnages sont travaillés et font réfléchir à notre condition d'humain.
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Astrid et Silas sont deux lycéens très amoureux. Ils vivent dans une société où la tristesse est bannie. Pour vivre sereinement, sans éprouver de douleur psychologique, la CEDE, Cellule d'Eradication de la Douleur Emotionnelle, oblitère les personnes repérées comme souffrant moralement et efface ainsi tout souvenir douloureux. Les parents de Silas et la mère d'Astrid sont toutefois des résistants au système. Mais tout bascule lorsque Astrid est renversée par un camion et décède.
Un sujet épineux et très intéressant traité toutefois de façon un peu longue; beaucoup de répétitions dans l'évocation des sentiments des personnages. cela peut paraitre ennuyeux.
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Supprimer une émotion est-ce supprimer notre humanité ? C'est la question que pose se livre avec son thème qui nous amène à réfléchir tout le long de notre lecture.

Dans cette histoire, on suit la vie de Silas et Astrid, deux jeunes adolescents qui s'aiment et qui ont en apparence une vie comme les autres mais qui à cause d'un accident va changer. On est ici dans un monde ou pour éviter de souffrir on efface notre douleur. On pourrait croire que c'est l'idéal car après tout personne n'aime souffrir… Mais la souffrance fait partie de notre existence, c'est ce qui nous rends humain.

J'ai beaucoup aimé ce livre, l'histoire est vraiment intéressante et nous fait réfléchir sur notre avancée technologique. Quand je vois parfois des personnes à longueur de temps connecté sur internet, que les personnes ne se parlent presque plus je me dis en lisant ce roman qu'au final on se rapproche de plus en plus de ce monde. Ce livre est vraiment bien fait, sous couvert d'une histoire d'amour entre deux adolescents, on se retrouve à réfléchir sur notre monde, notre environnement, et au final toutes cette technologie nous rend elle vraiment plus heureux ? Cette histoire nous montres également à quel point c'est facile pour le gouvernement de manipuler les personnes, qu'au final on ne sait que ce qu'on veut bien nous dire et nous montrer…

Bref, tout ça pour dire que j'ai beaucoup aimé ce tome, je trouve qu'il est très intéressant à lire.
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Dans un futur pas si lointain, la souffrance est devenue inadmissible. Une unité spéciale est chargée d'éradiquer la douleur ressentie suite à un traumatisme, un drame, un accident. C'est ce qui arrive à Silas, quand sa petite amie est tuée dans un accident de la route. La CEDE le "soigne" et il porte désormais le petit point bleu au poignet, signe de son passage. Peu après cet épisode douloureux Silas découvre que tout le monde ne s'accorde pas à dire que l'éradication de la douleur doit aller de soi.
J'ai beaucoup aimé ce roman, qui nous fait vivre l'aventure comme un journal intime, ceux de Silas et d'Astrid, la petite amie trop tôt disparue. Enfin, c'est ce qu'on croit.............. !!
Il permet aussi de s'interroger sur l'intérêt d'une trop grande implication de l'Etat dans la vie privée.
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C'est lors d'une visite à La Mare aux Diables, ma librairie dunkerquoise préférée, que j'ai acheté ce roman d'anticipation. C'est la libraire elle-même qui me l'a conseillée, et parce que je lui fais absolument confiance et qu'en plus c'est un one shot, j'ai cédé à la tentation.

Silas est un jeune homme ordinaire, il a ses amis, sa famille et surtout sa copine Astrid dont il est très amoureux. Très rapidement au début du roman, Astrid est renversée par un camion et décède sur le coup, Silas est alors profondément choqué est emmené au CEDE, un centre hospitalier où l'on efface toute forme de souffrance, mais Silas ne veut pas, il a peur d'oublier Astrid.

Ce roman est coupé en trois parties, dans la première nous découvrons cette histoire du point de vue de Silas, et dans l'autre c'est Astrid qui est la narratrice, enfin dans la dernière partie nous retrouvons Silas. C'est un roman jeunesse qui se lit très vite, et que j'ai pris plaisir à dévorer.

Dans ce livre, nous sommes dans un monde où la souffrance est bannie. Pour votre bien, au moindre symptôme de souffrance qu'elle soit physique ou psychologique, on vous emmène pour effacer cette douleur, que vous soyez d'accord ou pas. Au premier abord, on peut penser que ça peut être un monde merveilleux, mais l'auteure arrive à démontrer que la vie n'est pas faite que de bonheur, et que la tristesse ou les malheurs font eux aussi partie intégrante de la vie de chacun.

En bref, ce roman est une lecture que je vous recommande d'une part parce qu'il se lit très vite, et surtout parce qu'il traite d'un sujet intéressant et qu'il amène une certaine réflexion.

Vous pouvez retrouver ici les avis de mes copines blogueuses : Lizouzou et Lea(chronique de Penny).

Ce roman est disponible depuis le 29 janvier 2015 aux Editions Syros (Soon).
Lien : http://milleetunepages.com/2..
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