Bonheur de découvrir une voix unique, un univers énigmatique porté par une langue sèche comme les collines de Judée mais d'une mystérieuse puissance onirique. Si Paul Celan avait écrit des romans, se prenait-on à penser, sans doute auraient-ils ressemblé à ceux de Yoel Hoffmann.
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Oncle Arthur considérait que le chocolat et la vanille étaient les seuls parfums acceptables. Ce jour-là, oublieux des convenances, il lui acheta un cône vert fourré de différentes sortes de noix.