AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,66

sur 2817 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Dire qu'un livre comme Extension du domaine de la lutte est brillant est à faire désespérer du niveau culturel actuel, à se demander très sérieusement si les gens sont encore capables d'une once d'esprit critique en dépit du matraquage médiatique et des discours politiques simplistes. Dans un tel climat, il n'est pas difficile de comprendre pourquoi un personnage comme Houellebecq a pu se démarquer, il prétend donner une critique du monde capitaliste, parler de la solitude moderne etc. Peu d'auteurs français osent s'aventurer sur ce terrain. Entre les histoires vides, les pseudo autobiographies égocentriques et les discours ultra-libéraux, il n'y a pas tellement de place pour un contre-point. ça pourrait même sembler très risqué… En enfant rebelle de la littérature, Houellbecq ose courageusement se jeter dans la fosse aux lions. le voilà, nouveau messie d'une génération perdue, prêt à étendre sur papier tous les maux de notre époque, sans compromis ni tabous ! N'est-ce pas merveilleux ? Avec un livre qui tiendrait ces promesses, peut-être. Or, dès les premières lignes, il apparaît très vite (et sans surprise) qu'il s'agit d'une nouvelle arnaque ‘contestataire' comme on aime tant en faire pour tranquilliser le public. le problème de cet homme n'a rien d'inhérent au monde actuel, ce n'est finalement qu'un prétexte pour rejeter sa frustration sur les autres et pleurnicher sur son triste sort. Ah… Quelle pitié.

Quand le livre s'ouvre sur un premier paragraphe à propos d'une fille ivre qui danse en sous-vêtement dans un appartement alors que, à la grande consternation du narrateur, elle « ne couche avec personne », on est en droit de se dire que les quelques 150 prochaines pages seront diablement longues, profondément agaçantes. Cela se poursuit par une réflexion sur ces filles qui osent se mettre en mini-jupe sans vouloir faire de tournantes (absurde !) et une comparaison très vaguement philosophique avec les vaches bretonnes qui restent nerveuses jusqu'à ce qu'un taureau les engrosse. le ton est donné, à grand coup de provocation gratuite. le roman ne se veut pas subtile, il pourra séduire aisément ceux qui pensent que le sexe féminin est devenu complètement détraqué depuis que son destin ne se résume plus à « mère au foyer ».
Ce titre serait donc une fine analyse de notre temps, largement encensé par la critique ? Je m'inquiète. Toutes les pages donnent un nouveau motif à le fermer pour ne plus jamais le reprendre.
C'est pourtant simple, rien d'osé ni de fabuleux là dedans, nous avons le privilège de suivre les tribulations d'un grand adolescent de 30 ans, pas vraiment remis de sa dernière rupture, frustré et gravement dépressif. Avec un cynisme qui s'abstient de tout second degré, l'auteur prend ce prétexte pour faire croire que le narrateur n'est qu'un triste produit de ce monde. Il n'analyse rien, pointe des conséquences du doigt, donne des origines complètement biaisées par ses obsessions personnelles. Il est par exemple très rapidement évident que ses problèmes avec les femmes sont relatifs à une vie sentimentale douloureuse. Victime d'une manipulatrice psychotique, il se donne le droit de poser en victime tout au long d'un texte assez indigeste qui pourrait faire sourire s'il avait été écrit par un jeune garçon de seize ans. Mais, à trente ans, avoir une vision aussi étriquée, une aussi faible capacité de réflexion tout en se prétendant auteur, ne me semble pas acceptable.
La solitude moderne – semble-t-il nous dire – est exclusivement liée à la sexualité. le fait que certaines personnes ne puissent pas vivre l'amour semble lui poser un gros problème. Pour illustrer cela, le narrateur sympathise avec un pauvre type de trente ans, laid et peu intéressant, qui n'a jamais connu de femme (ni d'hommes). Terrible victime du libéralisme social. Un problème se pose pourtant… Il suffit de lire n'importe quel auteur du début XXe, du XIXe et même de l'antiquité pour savoir que cette souffrance là s'est toujours manifestée. Elle était simplement plus taboue, soufflée à demi-mots, mais des auteurs comme Balzac ou Virginia Woolf en savaient quelques chose. Les personnages de la cousine Bette et de Miss Kilman exsudent une souffrance terrible. Mieux avant ? Que l'on regarde du côté d'Edith Wharton et Henry James pour être persuadé du contraire.
Extension du domaine de la lutte révolte autant qu'il met mal à l'aise. Tentation vers la crudité, tension d'une sexualité frustrée à toutes les pages relèvent moins du roman que d'un texte à envoyer à son psy pour une sérieuse thérapie. Définitivement, les lecteurs n'ont pas besoin de lire les pleurnicheries d'un dépressif qui a l'air de se sentir follement subversif en parlant de tuer des nègres et de se faire saigner la main en cassant des miroirs. Tout cela ne mène nulle part. On ne referme pas le livre en se disant « oh, il y a un arrière fond effrayant », on ne se dit rien, sinon que jérémiades et mauvaise foi vont prendre fin.

Houellebecq affirme beaucoup de fausses vérités sans se donner la peine du recul. le style est péremptoire, parfait pour ranger à ses côtés toutes les ouailles – essentiellement masculines je suppose – mal remises de leurs déboires amoureux. le monde tourne mal, certes, mais, sa critique se contente de gratter la surface du problème et en tirer des causes fantaisistes, d'où un livre qui, du coup, aurait bien du mal à dépasser les 150 pages. Notre auteur chahute un peu le libéralisme, mais, que l'on soit tranquille, ses idées sont tellement mal dégrossies que sa critique lui fait plus de bien que le mal. Avec un peu d'humour, il y avait pourtant peut-être quelque chose à faire de cette histoire, mais son narrateur n'en a pas, ou alors bien malgré lui, puisqu'il s'autorise une comparaison hasardeuse avec un Robespierre mort pour avoir dit des vérités censurées. Pas de guillotine en vue pourtant. Extension du domaine de la lutte est tout ce qu'il y a de plus conventionnel. Ah… ce pathos bien français…
Lien : http://unityeiden.fr.nf/exte..
Commenter  J’apprécie          8723
Disclaimer : Je vous propose de lire l'une de mes chroniques qui a failli ne jamais être publiée. Et pour cause, vous le comprendrez en lisant, je n'ai pas forcément apprécié ce roman… Par conséquent, pour les personnes qui l'ont apprécié, je vous prierai d'ouvrir votre esprit afin de comprendre mon ressenti.

De mon plein gré, je n'ai jamais voulu lire du Houellebecq – oui, je me dédouane complètement. Malheureusement, dans le cadre d'un cours de Littérature du XXème – XXIème siècle, trois romans d'Houellebecq faisaient partie des livres à lire et il fallait en choisir un. Après avoir lu les trois résumés ; les thématiques comme la société, la sexualité et l'érotisme revenaient sans cesse… J'ai donc fini par choisir Extension du domaine de lutte avec énormément de dépit, je l'avoue.

Comment vous dire que dès la première page, je me suis dit : « Mon dieu, je vais subir cette lecture ! ». Je l'ai flairé et ce, en lisant seulement quelques mots…

On m'a souvent placé Houellebecq sur un piédestal, malgré les nombreuses polémiques qui l'entourent. Après avoir lu ce roman, j'essaye de comprendre ces nombreux avis positifs, sans vraiment y arriver. La plume simpliste et sans prise de tête n'offre rien d'exceptionnel. La « représentation » de la femme, quant à elle, décrédibilise toute la parole de l'auteur. Tout au long de l'oeuvre, nous suivons un homme frustré, sexuellement parlant, qui n'arrive pas à se défaire de son « mal ». Pauvre Calimero, ai-je envie de dire. À cause de cela, il en devient méprisable et misérable. Il préfère rejeter la faute sur les femmes, plutôt que de remettre en question sa propre bassesse et sa vie sexuelle réduite à néant.

De cette manière, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Je suis restée à la surface de ce roman, sans jamais arriver à rentrer dans cette histoire. L'intrigue plate, sans but précis, n'aide pas non plus. Elle offre un fond complètement vide, sans grand intérêt. Cependant, au cours de ma lecture, j'avais la constante impression que l'intrigue invisible était fixée sur la dégradation de la vision de la femme. le narrateur ne cesse de rabaisser, physiquement comme mentalement, les figures féminines, à base de : « pute », « très grosse, un boudin et même un sur boudin » et j'en passe. Dans ce livre, la femme passe littéralement pour un morceau de viande, sans une once d'intelligence et fortement naïve. Elle n'est juste bonne au pieu et à être matée.

Au début, je voulais dire que ce roman n'avait rien pour lui, mais je trouve cela un poil violent. Il possède, heureusement, des points positifs, comme ses chapitres courts, ses quelques pages et ses rares phrases sympathiques dans tout ce méli-mélo misogyne, qui développe la culture du viol et les agressions sexuelles – en effet, selon le narrateur, si une femme vient au travail en mini-jupe, il ne faut donc pas s'étonner que son patron bande ou se masturbe.

La vision de la femme est purement atroce et l'on sent bien que l'auteur est masculin et âgé. Toutes les femmes dépeintes ont des défauts, elles s'habillent trop court et leurs corps sont passés au peigne fin. Une poitrine tombante par-ci, des fesses bombées par-là. Une infirmière est imaginée en sous-vêtement sous sa blouse, etc. La liste est longue. Décrédibilisation, rabaissement et sexualisation des femmes, mais pas que ! le narrateur arrive même à sexualiser des mineures âgées de 17 et 14 ans et oui, il n'hésite pas à imaginer la vie sexuelle d'une enfant, sous le prisme de son regard et de celui des autres jeunes garçons.

L'auteur, sous le spectre du narrateur, se fait juge et critique. Je ne vais pas vous mentir, cela m'a grandement dérangé. C'est tout ce que je déteste chez les écrivains masculins. Pourtant, je suis objective et peut-être même un peu masochiste sur les bords, alors, j'ai décidé de continuer ma lecture, avec une once d'espoir que cela s'améliore au fil des pages. Ce qui n'a pas été le cas. le narrateur a même réussi à être raciste, en utilisant le terme « nègre ». Ainsi, j'ai gardé une mine dégoûtée tout au long de ma lecture. Bref. Un réel plaisir, n'est-ce pas ?

In fine, j'ai dû me forcer pour terminer ce roman et je pense que l'on peut dire que je l'ai subi. Bien évidemment, il ne s'agit que de mon humble avis, de ma perception des choses et de ma vision en tant que jeune femme.

Au vu des divers avis, j'ai pu remarquer que certains d'entre vous l'adorent… je ne vous jette pas la pierre, mais disons que je comprends mieux les personnes qui ont eu du mal avec ce roman.

En tous cas, en ce qui me concerne, je ne réitérerai pas l'expérience d'ici quelques années, car au cours de ma lecture, j'ai développé une certaine aversion pour l'auteur. Néanmoins, dans un sens, je pense que ce dernier a réussi son coup parce que je peux vous dire que l'extension du domaine de la lutte, je l'ai senti jusqu'au plus profond de mon être…
Lien : https://filledepapiersblog.w..
Commenter  J’apprécie          244
Voici les très (peu) palpitantes aventures d'un cadre moyen analyste-programmeur travaillant pour une boîte d'informatique. Notre héros, on a les héros que l'on mérite, nous raconte sa vie qui est d'un mortel ennui. Nous ne connaissons pas son nom, mais vu sa personnalité, nous pourrions l'appeler « l'homme à peine visible ».

Les femmes le fuient ! Etonnant, non ? Faut dire qu'il a le charme d'une serpillère humide et est beau comme un cadenas même pas rouillé, mais guère brillant non plus.

Notre vedette a tout du dépressif (je ne comprends vraiment pas pourquoi il ne plaît pas aux femmes). Il ne devine pas pourquoi celles-ci ne semblent pas pressées d'avoir des rapports sexuels avec lui… Alors que d'autres hommes obtiennent tout ce qu'ils veulent. Il ne comprend pas la grande mécanique qui anime la gent féminine, en particulier en matière de sexe, la seule chose qui importe, finalement.

L'envie de sexe le taraude, même s'il ne se montre pas très entreprenant. (N'oublions pas que c'est un grand dépressif hyper passif.) Alors, n'étant pas très actif, il observe. Il observe ses congénères qui cherchent un peu d'amour, de fric, une position sociale… Il observe mais toujours avec cet enthousiasme palpitant de limace recalée pour les jeux olympiques des gastéropodes !

Il, notre héros à visibilité déficiente, fait équipe avec Raphaël Tisserand, qui semble être tout son contraire et qui ne rêve que d'une chose : avoir des rapports sexuels avec une femme ! Toutes ses tentatives se soldent immanquablement par des échecs malgré qu'il soit d'un naturel jovial, chaleureux et généreux.

Lorsque notre « homme (très) peu visible » observe ses contemporains qui font preuve d'un dynamisme qui lui fait défaut, c'est pour botter en touche en montrant à quel point ce dynamisme, cette réussite, n'est qu'une façade délabrée prête à s'effriter.


Critique :

Vous n'êtes pas encore dépressif ? Vous avez envie d'essayer ? Ce roman est fait pour vous ! En 156 pages, vous allez être dégoûté de la vie et comprendre que vos frustrations, surtout affectives et sexuelles, prendront toujours le dessus sur votre joie de vivre qui n'est qu'un fard appliqué sur votre visage plus triste qu'une pierre tombale… Et tout le monde est comme vous, même si certains collectionnent les aventures à caractère sexuel ou affectif !

Michel Houellebecq a une très belle écriture, mais pour en faire quoi ? Il m'a fallu des mois pour venir à bout de ce petit livre, et à de multiples reprises j'ai failli faire appel à un kinésithérapeute pour venir me débloquer la mâchoire restée coincée suite à un bâillement provoqué par une lecture des plus "enthousiasmantes".
Commenter  J’apprécie          2420
Ce livre est absolument nul.
Commenter  J’apprécie          93
Bof, bof, bof.... Je ne sais pas quoi dire tellement j'ai l'impression que Houellebecq s'est moqué de moi?
Son personnage est inintéressant, c'est truffé d'idées sur le capitalisme et mal écrit.
Je suis vraiment déçue, je ne sais pas si je relirai un livre de cet auteur. Je ne comprends pas pourquoi il a autant de succès car quand je le lis, j'ai l'impression qu'il se moque de moi......
Commenter  J’apprécie          40
Michel Houellebecq, c'est comme la raclette, on aime ou on n'aime pas ; pas d'entre-deux. Je découvre cet auteur si controversé et je comprends pourquoi ; pas besoin de long discours mais plutôt deux citation très justes (merci Wiki) :
1) « L'oeuvre de Michel Houellebecq donne lieu à des jugements radicalement opposés. Pour certains critiques il serait le plus grand écrivain contemporain, pour d'autres son écriture relèverait de la nullité littéraire. » — Reynald Lahanque.
2) « Houellebecq peut écrire autant de mauvais dialogues qu'il veut, là n'est pas le problème. le problème est qu'on lui attribue le titre de (bon) romancier, et que lui-même parle de « poésie » à propos de son écriture. […] Mais l'effet « je bande ; il pleut » est un peu éculé et facile - en tout cas, pas de quoi revendiquer un style. » — Raphaël Meltz.
Quant à ce livre, je cite la 4ème de couv. "… fait de l'ouvrage un objet messianique : c'est LE livre que toute une génération attendait " - ce doit être la génération des cadres moyens, le cul entre deux chaises, avec d'un coté : le peuple (bien sûr trop pauvre intellectuellement pour voir le désespoir de cette classe) et de l'autre les cadres supérieurs et plus si affinités, qui ne les reconnaît pas comme étant des leurs.
Bref, je préfère la raclette à Houellebecq.
Lien : http://doglivre.blogspot.fr/..
Commenter  J’apprécie          32
Bon ben voilà, je peut dire que j'ai lu un Houellebecq... J'en lirai pas d'autres. le style est pompeux, la critique de la société exagérée... Bref, tout est trop, je ne crois pas à l'écrivain écorché vif et revenu de tout. Ca sent le personnage fabriqué à plein nez.
Commenter  J’apprécie          30
Roman qui suit la déchéance et la dépression d'un informaticien qui prend conscience de la langueur de sa vie; à l'image du livre que j'ai trouvé morne, fade et sans intérêt (mis à part le passage sur le dialogue des animaux).
Commenter  J’apprécie          20
Lu en un peu plus d'une heure, un après-midi de pluie, à la bibliothèque : c'est le genre de roman fait pour être survolé rapidement, le texte est aussi court que le propos. Cela raconte l'histoire d'un type qui fait une dépression nerveuse, sur fond de misère sexuelle, avec en arrière-plan une vague analogie entre libéralisme économique et libéralisme sexuel (d'où le titre). le style évoque plus ou moins Céline : morbide et répugnant. de temps en temps, surtout au début, il y a pourtant quelques passages amusants, sur les personnages qu'on croise dans les bureaux. Ce n'est pas assez pour donner un intérêt à cette oeuvrette qui laisse globalement une impression de répulsion.
Commenter  J’apprécie          22
le roman d'un vide.
Le héros ici est un être qui se laisse balloté par la vie, sans velléité aucune, qui sans doute a passé son existence à se demander ce qu'aurait été sa vie s'il avait été Alain Delon. Et suffisamment lucide pour savoir que même de cette vie là il n'aurait pas fait grand chose.
Car la souffrance permanente ici n'a qu'une raison : la frustration sexuelle.
Voilà un autre malade narcissique qui trouve moins dangereux de se plaindre de sa petite vie misérable que de la vivre, et quoi de mieux alors que de la partager via un roman (du vide pour dire le vide)... La vie d'un type qui n'aura jamais aucun courage, qui n'a comme occupation que de décrire chez les autres toute leur petitesse, leur médiocrité.

Cette écriture du fond du trou a deux buts : provoquer le lecteur ; objectif totalement raté d'ailleurs. Tant il ne ressort de ses écrits que de l'ennui.
Et c'est là d'ailleurs la seule réussite du roman : réussir le portrait d'un ennui le plus total, au point que le lecteur ressente aussi pleinement ce sentiment.
Et deuxièmement s'adresser à l'enfant qu'il a été et qu'il est encore de part cette immense blessure narcissique jamais refermée. Quelque soit la qualité de l'écriture (et l'on trouve ça dans une grande part même de la littérature dite classique, comme chez Maupassant par exemple, mais bien d'autres encore) on est là dans l'infantilité.

Au delà de ce qui se voudrait un regard acéré, ce sont finalement juste les "geigneries" d'un paumé solitaire.

Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (6238) Voir plus



Quiz Voir plus

Houellebecq et son territoire

Dans quelle île est né Michel Houellebecq ?

Martinique
île Maurice
La Réunion
Guadeloupe

10 questions
60 lecteurs ont répondu
Thème : Michel HouellebecqCréer un quiz sur ce livre

{* *}