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3,16

sur 112 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Boulotte, disgracieuse et maladroite, Clothilde Daquin d'Arsac a grandi sans amour, délaissée par un père trop lâche pour aller à l'encontre du mépris teinté de haine que lui vouait sa mère. Après une énième humiliation, elle s'est enfuie, très jeune, du domicile familial pour trouver refuge dans l'anonymat de la capitale et une ‘'carrière'' d'employée de maison. Mais à Paris comme partout, son physique ingrat et son surpoids dérangent et, après une agression dans le métro, elle décide de rentrer à Bordeaux, vingt ans après son départ. Hébergée dans l'immeuble d'une vieille tante, Clothilde va tenter de se reconstruire et de goûter un peu au bonheur, aidée par sa parente et par les habitants de l'immeuble. Une autre vie commence.

‘' « Oui, … je suis venue sur terre comme une tortue, encombrée d'une carapace. Qui rentre la tête quand le monde extérieur est trop douloureux.''
La vie n'a pas épargné Clothilde qui n'a jamais trouvé sa place dans un monde où la différence est mal acceptée. Mais il va lui falloir sortir de sa carapace, apprendre à s'accepter et à faire confiance. Claudie va lui apprendre l'amitié, les deux S vont faire bouger son corps, le petit Léo va l'aimer sans la juger. Et la carapace va se fendiller et laisser découvrir une jeune femme cultivée, une amoureuse de l'art, un être doux et bon, capable de grandes choses.
Quelques clichés, une tendance à la mièvrerie mais un livre doux et reposant qui se lit tout seul. La fin est surprenante et décevante. On aurait espéré un destin plus clément pour Clothilde…
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Clotilde, enfant, était lourde et maladroite. Elle ne correspondait pas au rêve de ses parents. Mal-aimée, voire humiliée, harcelée à l'école, elle grandit tant bien que mal dans son monde intérieur. Un dernier incident familial la fait fuir. Elle fugue et disparaît du monde de ses parents. Silence. Fin d'enfance.

Pendant des années, elle est employée de maison, nettoie la crasse des autres, dort sous un escalier. La boule qui grandissait dans son ventre a disparu et elle frotte, frotte ces malheurs pour qu'ils disparaissent.

C'est une agression qui va remettre tout en question des années plus tard, Clotilde a trente ans. Elle téléphone à sa tante, propriétaire d'un immeuble à Bordeaux, pour lui demander de l'aide. La vieille femme accepte avec plaisir, lui réserve un petit appartement et lui envoie l'argent pour le billet de train. Paris-Bordeaux, retour aux sources. Thérèse a tout prévu pour sa nièce. Souffrant d'obésité morbide, elle ne peut bouger de son lit médicalisé mais invite ses locataires pour leur présenter Clotilde. Parmi eux, Claudie qui deviendra la meilleure amie de Clotilde. Sa première amie. Il y a aussi Léo, petit garçon traumatisé qui s'attache et vit pratiquement chez Clotilde, et les autres qui vont aider cette jeune femme à reprendre confiance en elle.

Clotilde trouve du travail, une fonction non dégradante où elle a un petit rôle à jouer dans la vie des gens, perd du poids grâce à un entraînement sportif de haut niveau avec les séduisantes Sarah et Sophie, apprend à s'habiller avec Claudie. Elle prend goût à la vie.

Le récit est agréable la plupart du temps. Les phrases courtes vont à l'essentiel. Je voulais lire une petite histoire sympathique et bienveillante entre deux lectures difficiles. Je ne sais pas si c'est mon humeur du moment ou la réalité du livre mais j'ai eu du mal à le finir et j'ai surtout retenu les malheurs, les drames, le désastre de la vie de ces gens.

J'ai laissé le petit Léo sur sa septième marche avec son chat et je n'apprécie pas du tout de rester sur cette image.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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« La carapace de la tortue » : la jaquette m'évoque les couleurs d' « Ensemble c'est tout » d'Anna Galvada, la photo « les macarons de Baillardran », la célèbre enseigne bordelaise et le titre « Les yeux jaunes des crocodiles » de Katherine Pancol. C'est Noel et cette année encore le père de ma fille m'a offert un livre qu'il a choisi religieusement, cherchant un thème évocateur qui montrera que malgré les disputes, le divorce, les remariages, il est le seul à me connaître et à savoir choisir un livre qui me ressemble. Je jette ce midi un oeil sur la quatrième de couverture : « lorsque Clotilde décide de venir s'installer à Bordeaux, sa ville natale, elle ne sait pas encore que sa vie va en être bouleversée … C'est dans un musée en quête de création et d'esthétisme que Clotilde va s'épanouir… » Juste avant un extrait « je suis venue sur terre comme une tortue, encombrée d'une carapace. Qui rentre la tête quand le monde extérieur est trop douloureux… » L'introversion, le goût de l'esthétisme, les musées, une certaine renaissance, oui effectivement c'est un peu moi. Ca m'agace, je le remercie par sms en lui disant que c'est à cause du côté difforme de l'héroïne qu'il a pensé à moi, il me répond que « non c'est le côté musée ». Mauvaise blague de ma part qui évoque le fait qu'il ne m'a pas toujours vraiment valorisé. Purée de lien à la con qui te ramène toujours vers le passé, il serait peut-être temps de créer un nouveau lien, celui de l'avenir et d'arrêter la nostalgie perverse qui vous ramène au plus bas de votre vie. Je résiste à l'ouvrir ce livre, hier soir j'ai commencé « La princesse de Glaces » de Camilla Lackberg, que je rêve de dévorer depuis que ma copine Céline m'en a vanté les mérites pendant nos gouters ravageurs, parenthèse de douceur, quand elle rentre de Bruxelles. Alors pourquoi j'ai flanché… Parce que Noel n'est plus tout à fait Noel quand vous avez mis fin à l'ilot familial et que malgré la liberté, Noel reste un des meilleurs moments de la vie de couple, comme une normalité sociale qui a cessé à jamais. Va donc pour « la carapace de la tortue », en plus il pleut, je suis crevée, la lumière tamisée qui se diffuse dans ma chambre rouge sera un cocon idéal pour m'y plonger. Page 73, je suis déçue, l'héroïne vit recluse dans un immeuble huppé et s'épanouit peu à peu auprès de ses voisins, faune atypique ou caricature du bourgeois bordelais. L'auteur s'attaque sans concession au physique lourd et maladroit de Clotilde et en rajoute encore en tonnes de graisse sur sa tante impotente, sorte de reine autoritaire régnant depuis son lit médicalisé. Les chipies sont de pauvres femmes riches asservies à leur mari et courant après une éternelle jeunesse. Page 82, l'auteur enfin apporte de la nuance à ses personnages et derrière la caricature on aperçoit la douceur, la fêlure. Page 147 Clotilde nous livre son journal, parle de l'art qui lui a permis de survivre et le plaisir qu'elle a à vivre aux Entrepôts lainés, temple de l'art contemporain, voilà les plus jolies pages, et encore plus belles, celles ou la jeune Clothilde raconte ses ballades à pied ou à vélo sur les quais de Bordeaux. Madame Marie-Laure Hubert Nasser, voilà bien votre talent dans ce journal intime si justement écrit. Pour le reste on oscille entre « l'élégance du Hérisson » pour l'intrigue et un petit quelque chose d'« ensemble c'est tout ». Compagnon agréable de mon insomnie, je l'ai fini aux aurores pour me rendormir au matin. Bon ok t'as gagné, tu l'as bien choisi ton cadeau.
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Pour le défi mensuel, il me fallait lire en ce mois de mai un livre d'une petite maison d'éditions. Il m'aura fallu farfouiller jusqu'au fin fond de ma pal pour en ressortir "La carapace de la tortue", livre que, je l'avoue, j'avais oublié. Trouvé dans une boîte à livres il doit y avoir un sacré moment, c'est sans doute sa couverture appétissante qui m'avait attirée.

Publié chez Passiflore, maison d'éditions aquitaine, et se déroulant à Bordeaux, c'est donc à côté de chez moi que je me suis retrouvée durant ces 256 pages. Ayant fait mes études et exercé mon tout premier travail à Bordeaux, y vivant actuellement à une vingtaine de minutes (quand ça circule bien sur la rocade ... ...) mais n'y mettant plus les pieds (je préfère ma campagne !), j'ai revu bon nombre de lieux que je fréquentais plus jeune (les quais et son miroir d'eau, le jardin public, la rue Sainte-Catherine, etc). Ça fait tout drôle d'être en même temps si loin et si près de tous ces endroits...

Le point névralgique de l'histoire est Clothilde Daquin d'Arsac, jeune trentenaire mal dans sa peau depuis toujours à cause de tous ses kilos en trop, du rejet de sa famille, des moqueries et du regard des autres. Elle vient de quitter Paris pour retourner dans sa région de naissance. Elle s'installe au 7 rue Ferrère à Bordeaux, dans un immeuble situé en face du musée d'art contemporain. Gravitent autour d'elle tous les habitants de son immeuble, ses voisins : sa tante surnommée "la Vilaine", Claudie la bimbo, Léo l'enfant perdu, Sarah et Sophie les inséparables, etc.

Ce roman m'a tout de suite fait penser à "L'élégance du hérisson" de Muriel Barbery. Par son titre pour commencer. Par les similitudes du contexte dans lequel se déroule l'action (des protagonistes habitant le même immeuble, un personnage principal pas attrayant physiquement et sous-estimé intellectuellement). Et par son dénouement également, et c'est là que c'est le plus flagrant... C'est en revanche nettement moins philosophique, on est là davantage dans une ambiance à la "Desesperate Housewives", avec le mari du second qui couche avec la nana du premier, la femme du troisième qui couche avec le mari de sa meilleure amie, alors que le mari d'une autre en est éperdument amoureux, etc. À moins que je confonde avec Les Feux de l'Amour ?!?

J'ai eu du mal avec les protagonistes. L'autrice en fait trop, on est trop dans l'exagération, il s'en passe de trop dans cet immeuble pour que j'y croie et que je m'attache à eux. Pourtant, les liens et les relations entre certains d'entre eux sont parfois touchants. La notion de solidarité et d'entraide est également bien placée. le personnage principal a un certain potentiel.

Seulement, tout est trop superficiel, pas assez développé ou exploité, que ce soit les caractéristiques des personnages, leurs relations, les sujets abordés (obésité, art contemporain). Même les lieux sont trop décrits dans leur globalité (si je ne les connaissais pas, je ne suis pas sûre que j'aurais pu les imaginer).

Quant à la chute finale, elle n'est pas du tout en adéquation avec le reste du récit. Non seulement, elle arrive trop brutalement, mais également comme un cheveu sur la soupe. Elle est inattendue d'accord (enfin, sauf si on ne fait pas le rapprochement avec Renée de "L'élégance du hérisson", en ce cas on peut s'attendre à un truc du même genre), mais c'est là encore "trop gros".

Marie-Laure Hubert Nasser a une plume plutôt attractive et entraînante. Ce sont ses phrases courtes et/ou sans verbes qui donnent le rythme. Moitié narration à la troisième personne, moitié sous forme de journal intime, la lecture est fluide, plutôt agréable.

Je ne pense pas que je garderais ce roman longtemps en mémoire. Je lui ai trouvé bien des défauts, ou en tout cas des éléments qui ne me correspondent pas ou qui manquent d'approfondissement. Mais il a également de bons côtés. Ce n'était pas désagréable, plutôt sympathique dans l'ensemble malgré tout, ça se lit plutôt vite, mais je n'en ressors pas du tout convaincue.
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Cette brave petite Clotilde se sentait mal dans ces baskets. C'est d'ailleurs l'une des raisons qui l'a faîtes quitter Paris pour Bordeaux. Et elle a bien fait, car proche de sa tante surnommé La Vilaine, elle va retrouver goût à la vie et à l'amitié. Il existe des gens singuliers qui par leur gentillesse touche sincèrement des personnes pour qui cela peut changer la vie. Prêt pour une rencontre tout en sourire et en larme ?

C'est sous une carapace de tortue que vit Clotilde. Grosse et moche, elle essaie de passer inaperçue. Elle évite les contacts avec les gens pour se défendre d'entendre des moqueries. Car elle en a entendu toute sa vie des railleries. La maison n'était pas un refuge car sa mère l'a rejeté et son père ne pouvait trop lui donner d'attention par jalousie de son épouse. Alors il essaya de survivre au jour le jour, sans vraiment d'amour et d'attention des autres. Une réflexion maternelle de trop, l'incita à quitter le domicile familial pour ne jamais y remettre les pieds.

Elle devint bonne dans de riche maison sur Paris. Un jour, la solitude, la peur l'a poussa à appeler sa tante à Bordeaux pour savoir si elle pouvait l'héberger. Dès l'accord, elle monta dans le train et une nouvelle vie s'annonça à elle. Car sous ces airs de Vilaine, la tante cache une vraie gentillesse et tendresse envers les gens. Ce n'est pas par hasard que les habitants de l'immeuble viennent lui raconter leurs bobos. Les femmes de l'immeuble vont toutes au fur et à mesure rentrer dans la vie de Clotilde et lui insuffler du bonheur. La douceur de Clotilde va également toucher les filles qui vont lui faire des confidences et passez des moments avec elle. Un rayon d'espoir commence à naître entre les marches à chaque étage. Mais il y a un moment où tout s'arrête, est-ce pour mieux recommencer ?

J'ai beaucoup aimé la légèreté des mots qui donne au récit une douceur surprenante. le premier roman de Marie-Laure Hubert Nasser est très bien écrit. Il ne m'a fallu que trois jours pour le lire. J'avoue m'être retrouvé dans son personne de Clotilde sur de nombreux aspects que je ne vais pas aborder. Son rapport au corps, trop gros, trop gras qui est un autre en plus de son esprit. Il est là sans être présent jusqu'au jour où grâce aux voisines il change. Et le regard de l'héroïne sur elle-même aussi va changer. Elle va porter des vêtements adaptés à sa taille, va porter des lunettes pour mieux voir, va mettre des bijoux pour se mettre en avant. Une acception de soi qui permettre de s'épanouir au travail et d'oser aussi. Les descriptions sont précises sans tomber dans la vulgarité ou l'observation malsaine.

Il ne faut pas oublier que c'est un roman car dans la réalité, rencontrer de tels gens dans un immeuble est assez peu probable. Et sympathiser avec autant de gens différents, semble assez improbable mais cela contribue à s'attacher aux gens. C'est le côté bisounours en moi qui parle dans ces moments-là. Puis tout aurait pu aller de mieux en mieux et donner une bonne dose d'optimisme. Mais voilà, l'auteure en a décidé autrement. Déjà, du récit avec du détail d'étage, on passe au journal de Clotilde sans jamais le quitter. Et cette fin qui m'a laissé totalement sur le cul. Pourquoi choisir un message que les gens différents ne peuvent pas avoir le droit à être heureux ou au bonheur ? L'oiseau à la fin à bon dos. Pourquoi me laisser sur mon émotion ainsi ? Les pages se tournent avec sourire pour qu'à une dizaine de pages de la fin tout est fait pour que le livre m'en tombe des mains. L'auteure n'avait-elle plus d'idée ? Avait-elle eu un évènement malheureux à la fin de l'écriture du livre ?

J'ai beaucoup aimé l'écriture ainsi que le personnage de Clotilde avec ceux qui l'entoure. C'est une bouffé de bonne humeur qui reste nuancée puisque la fin est moins joyeuse.
Lien : https://22h05ruedesdames.wor..
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Un roman qui m'a fait passer un bon moment.
Une caricature bien sympathique d'une jeune fille qui n'est pas du grande beauté
La morale de l'histoire qui que nous soyons beau moche gentil il y a une place pour tout le monde et le soleil finit par briller pour chacun avec un peu de volonté bien sûr
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Une jeune femme, Clotilde, très mal dans sa peau car obèse, réapprend à vivre et à sourire à la vie qui jusqu'à présent ne l'a guère épargnée. Alors qu'elle vit esseulée à Paris, en tant qu'employée de maison, un événement la décide à rejoindre sa province et à se réfugier à Bordeaux, hébergée par une vieille tante propriétaire de tout un immeuble. Clotilde va donc commencer une nouvelle vie en ayant « un petit chez elle » où se terrer… Mais, elle, qui a toujours rasé les murs, cherché les coins d'ombre pour ne pas être vue, silencieuse et cachée comme une tortue dans sa carapace, va être débusquée par les habitantes de l'immeuble. Nous allons au fil de l'ouvrage découvrir des personnages haut en couleur avec chacun ses failles, qui sont mandatés par « la vilaine », la tante, plus humaine qu'elle n'y parait. A chaque étage, Clotilde trouvera de l'aide, du réconfort… pour se réadapter à la vie et pour être mieux dans son corps. Avec certaines elle fera du sport, avec une autre elle fera les boutiques, une suivante la conseillera pour chercher un emploi et rédiger une lettre de candidature… Sa vie commence à prendre du sens. le style de Marie-Laure Hubert-Nasser : des phrases courtes, oralisé, dans un registre familier parfois, nous invite à faire partie de l'immeuble. On participe à la transformation de Clotilde, de très près car de la narration, on passe au journal de l'héroïne pour entrer dans son intimité et ses ressentis … Quelle joie de voir qu'elle décroche un job au musée d'art contemporain, elle si férue de culture, qu'elle s'ouvre aux autres et en particulier à un homme ! J'ai lu avec énormément d'enthousiasme ce livre très original mais la chute du récit m'a précipitée dans une espèce de déception, d'incompréhension. A croire que l'auteure ne trouvait pas de sortie elle-même et qu'elle s'en est débarrassée en quelques pages… Voulait-elle éviter une fin à l'eau de rose sucrée et réconfortante comme pouvait le laisser présager l'illustration de la couverture ? une photo de Jamie Macfadyen, fort réussie.
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J'ai voulu lire ce livre car sa couverture m'attirait et qu'il était à donner dans une cabane à livre.
Je ne m'attendais pas à une lecture très palpitante mais qui me ferai passer un bon moment. Quoi de mieux qu'un livre relatant la vie d'une jeune femme pour ça ?
Malheureusement je n'ai pas réussi à accrocher à ce roman et je l'ai abandonnée à la moitié.

L'auteure accentue sur le fait que la protagoniste, Clotilde, soit grosse, disgracieuse, mal-aimée etc… mais n'a jamais (ou du moins jusqu'où je suis arrivée…) décrit ses cheveux, ses yeux ou bien encore sa taille. Cela donne l'impression que la jeune femme est simplement en surpoids…

Le fait que les « 2 S » commencent par un S (logique me direz vous) et que leur prénom soit de même longueur (Sarah- Sophie) m'a fait les confondre. Peut-être que cela ne tient qu'à moi car je ne lis pas les prénoms en entier…

Certaines phrases étaient bizarrement faites, sans pronom au début. (exemple inventé mais du style: Clotilde s'allongea. Etait fatiguée de sa journée. )
C'est peut-être qu'un détail, mais accumulé au reste c'est épuisant…

Cependant, si vous faites abstraction de ses détails, je pense réellement que ce livre peut être agréable.
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J'ai eu du mal à y entrer puis je me suis laissée entraîner par l'histoire de cette jeune femme en souffrance qui retrouve goût à la vie. L'histoire d'une naissance ou d'une renaissance.... J'ai trouvé de la poésie dans cette écriture mais la fin ne m'a pas plu... Dommage
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