Loin d'être lassant, ce roman déborde de péripéties et d'imprévus du début à la fin ! Sur un groupe de pagayeurs hétéroclite de 12 personnes (ajoutons à cela 3 guides), les risques que tous ne s'entendent pas sont plus que probables. D'autant plus que le groupe de touristes partent pour un périple en rafting d'environ une dizaine de jours. On ne peut pas dire que l'on voit les événements venir à l'avance. Je dirais que ce roman se lit très bien, c'est léger et souvent drôle. Tous ne sont pas expérimentés dans le groupe et c'est comme si nous y étions. Les événements sont réalistes et nous avons l'impression que toutes ces personnes pourraient être réelles. Comme dans un vrai voyage de groupe organisé ! C'est bien et je l'ai lu assez rapidement. Cela donne envie de faire un petit périple en rivière, mais pas d'avoir les responsabilités des guides, oh mon Dieu non, haha ! Si vous avez envie de vous éloigner de thrillers et de changer de paysage, ce livre d'aventures au coeur de la nature sauvage pourrait être pour vous ! À conseiller.
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Ce roman se lit très facilement : il raconte le séjour d'un groupe de vacanciers qui fait la descente de la rivière du Grand Canyon. le sujet est donc intéressant, dépaysant. Malheureusement, après les premiers chapitres, on se rend compte que l'histoire ne décolle pas. Pas de drame, pas de suspense, pas de vraie intrigue. En fait, le sujet tourne uniquement autour des relations entre les personnages : untel et untel se lient d'amitié, d'autres s'embrouillent... ils trouvent un chien abandonné, qui sème un peu la pagaille... et voilà. A la toute fin seulement, il y a enfin un peu d'action. Dommage.
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Pas de la grande littérature mais j'ai aimé me replonger dans l'ambiance des descentes du colorado en rafting . Cela m'a rappelé d'excellents souvenirs.
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Regarder les gens découvrir de nouvelles facettes d’eux-mêmes. Les plus timorés prenaient des risques ; les plus réservés s’ouvraient aux autres ; parfois (mais pas toujours), les grandes gueules apprenaient à se taire. Des egos étaient meurtris, des vies chamboulées.
Il n'y a pas d'inconnus, seulement des gens dont nous n'avons pas encore fait la connaissance.
Quand on perd confiance en soi, on perd tout.
Pendant ce temps, le fleuve coulait, tantôt rapide, tantôt calme ; constant, vivant.
Comment se faisait-il qu’à l’âge de cinquante ans, personne ne l’écoutait.