Je reviendrai avec la pluie

Takumi est un papa un peu spécial (peur de l'enfermement, de la foule ou d'autres petits trucs assez embêtants) qui doit élever son jeune fils Yûji depuis la mort de sa femme, partie selon lui sur l'ile d'Archive (Archevie pour Yûji).
Sur cette ile, lui raconte-t-il, elle écrit un livre, celui de ses souvenirs sur Terre, et sur eux, forcément. Mais elle a promis qu'elle reviendrait, avec la saison des pluies.
Pendant ce temps, c'est lui qui écrit un livre, ou en tous les cas qui le commence dans cette vie un peu chamboulée (et que ne le sera que plus dans les jours à venir !). Un livre qui raconte sa vie à eux, mais aussi sa vie à elle, son départ, sa mort et cette absence douloureuse difficile à tenir malgré les promesses faites sur le départ ...
Puis il parlera de ce retour surnaturel, au coeur d'une forêt où ils allaient se balader ensemble en des temps plus anciens, un jour en début de saison des pluies ...

Un livre sympa qui joue sur deux tableaux : le réel et le songe, l'au-delà, l'irréel ... Et malgré l'invraisemblance de l'épisode, nous le suivons avec intérêt ; et le temps se suspend pour nous aussi.

Pour finir je serai moins élogieuse que la couverture tapageuse de ce livre déniché dans ma médiathèque "le livre phénomène, 3 millions d'exemplaires vendus au Japon" mais je dirai néanmoins que ce fut une lecture sympa pleine de poésie !

Un papa veuf élève seul son fils de 4 ans. Il veut écrire l'histoire de maman qui vit désormais sur la planète « Archive », façon d'expliquer au petit qu'elle les a quitté pour toujours.
Mais la maman a dit qu'elle reviendrait à la saison des pluies, pour vérifier si tout se passe bien.
Ce bref retour parmi les siens est l'occasion de connaître l'histoire de ce couple. Un roman d'amour tout en nuances japonaises…
Ce roman évite toute mièvrerie. Roman poétique, entre rêve et réalité, agréable à lire

akumi a perdu sa femme depuis un an, il élève donc seul son fils Yûji, du mieux qu'il peut, malgré ses problèmes de santé. Sa femme lui a promis qu'elle reviendrait avec la pluie, et elle tient sa promesse.

C'est un très beau livre, écrit de manière onirique, prenante, touchante. Les personnages sont hyper attachants, et vraiment particulier. Les problèmes de santé de Takumi sont pour la plupart étranges, inexplicables un peu. La perte de Mio est très dure pour lui, pour Yûji, son fils, également, ils sont un peu perdus tous les deux. Et puis Mio revient comme promis, et on va voir se dérouler leur histoire d'amour sous nos yeux. Une très très belle histoire d'amour, douce et hyper touchante, qui commence avec un crayon oublié dans un cahier.

J'ai donc bien aimé ma lecture, j'ai trouvé l'histoire très belle et je voulais savoir ce qui allait se passer, je ne m'attendais pas à la révélation de fin. Même si c'est triste, c'est un peu nostalgique et doux et je n'ai pas pleuré. le seul petit bémol, c'est que j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et que je même si j'appréciais, ce ne devait pas être le bon moment pour moi et ce livre. Ça reste une superbe histoire je trouve, j'ai beaucoup aimé l'écriture et la douceur qui se dégageait de cette histoire d'amour.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..

Je ne m'étalerai pas longtemps, je me suis ennuyée. le thème m'avait pourtant l'air original, à la fois sentimental et fantastique, un peu inhabituel.
J'ai trouvé l'ensemble mièvre et sans intérêt, les manies du narrateur complètement insupportables, et le tout un peu bâclé, ça manque de profondeur. Je vais l'arrêter là avec cet auteur.

J'ai trouvé l'idée de départ intéressante. Une femme regagne le monde des vivants à la saison des pluies.

Takumi est veuf depuis un an et vit avec son fils de 6 ans. Ils vivent suspendus au retour de Mio.
Takumi n'assume pas la vie sans sa femme. L'appartement est crasseux. Ils portent des vêtements tachés, mangent des plats préparés. de plus, le père a la mémoire qui flanche et des problèmes de santé psychosomatiques.
Enfin, Mio réapparaît aux portes d'une usine désaffectée à la limite d'une forêt où le père et l'enfant ont l'habitude de faire du vélo. Mio ne se souvient plus de rien. Pendant six semaines, la famille est à nouveau réunie et redécouvre l'amour.

Je me suis ennuyée. Je n'ai pas senti le dessein de l'auteur. le thème du souvenir est disséqué mais ceux de la mémoire et du deuil ne sont pas assez approfondis. Les descriptions des lieux et les manies des personnages sont touchantes.

Très belle romance, l'auteur nous fait partager son univers merveilleux et poétique tout en douceur.
Se lit très vite, très émouvant. Les rencontres d'âme soeur et la peur de la perte de l'être aimé. Et surtout la conclusion de l'auteur qui indique que seuls les éléments vraisemblables sont fictifs... et inversement.
Un roman à découvrir...

Je n'avais jamais lu de littérature japonaise.
Cette première expérience est mitigée.
J'ai apprécié la poésie de certains moments du livre et les mystères de cette poésie
Déjà le titre Je reviendrai avec la pluie contient tout ce mystère et nous ouvre à un monde étonnant.
Par contre j'ai trouvé que dans certains passages Takuji Ichikawa a une écriture automatique,froide.

Ce fut un moment de lecture agréable mais qui ne m'a pas transporté.
L'histoire de Takumi,Mio et Yuji est pleine de poésie , d'amour de souffrance mais je n'ai pas su entrer dans leur personnages.
Je suis resté un lecteur sur le chemin , peut être un lecteur trop cartésien et pas assez imaginatif ou peut être pas assez romantique ou fleur bleue

Qu'est-ce au fond qu'un bon livre ?
Doit-il répondre à des critères précis d'écriture, de style, d'inventivité ? ou plus simplement justement, susciter l'émotion, les réflexions de son lecteur ?
« Je reviendrai avec la pluie » est ou aurait pu être une simple histoire de fantôme à l'écriture dépouillée mais, à y regarder de plus près, l'ouvrage véhicule tellement plus qu'une petite histoire fantastique.

Qu'est-ce que tomber amoureux ? Est-ce un phénomène purement hormonal ? Ce phénomène peut-il se reproduire hors du contexte où il est né ?
Qu'est-ce que « la normalité » d'un individu responsable ? Un être submergé d'angoisse peut-il élever seul un enfant sans lui infliger ses multiples peurs ?

Il n'est pas facile de répondre à tout cela sans tomber dans la mièvrerie ou le pédantisme intellectuel le plus froid. Ce livre trouve le ton juste avec cette douceur et cette simplicité qui ont fait les très grands romans japonais contemporains.

Une merveille de poésie, de douceur, de tendresse.

Je suis plutôt du genre à couler une larme dès que c'est un peu triste. Mais ce roman est écrit avec une telle délicatesse, une telle pudeur, qu'on ne peut pas pleurer, que ce ne serait pas décent.

Un petit bijou. Sans doute pas une sucrerie car ce roman n'a rien de mièvre ni de sucré. Ou alors une mousse au citron très légère, avec une légère pointe d'acidité. Juste ce qu'il faut pour donner les larmes aux yeux. Mais non, on ne pleure pas ...

C'est un magnifique livre, un coup de coeur !
Si vous êtes des romantiques comme moi, vous ne pouvez qu'être enthousiastes à la lecture de ce récit, happés par la douceur, la tendresse que l'écriture de l'auteur déploie.

Tak-kun doit veiller sur son fils depuis que sa femme Mio est décédée un an plus tôt. Cependant, il souffre de phobies ce qui le paralyse dans sa vie et dans l'éducation qu'il peut donner à son fils. Il est dépassé par tout ce que le quotidien implique. heureusement pour lui, il a un patron compréhensif, un ami au parc -le professeur Nombre avec son chien muet Pooh et surtout il se raccroche aux derniers mots de sa femme qui lui a dit qu'elle reviendrait avec la pluie. Et elle tient cette promesse, mais pas de la manière que l'époux imaginait. Il s'agit d'une histoire d'amour intemporelle et forte.
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