Le chat du bibliothécaire, tome 1 : Succès mortel

Je suis toujours impressionnée de voir à quel point on peut avoir des avis différents sur un livre. Moi qui suis (je trouve) plutôt bon publique je vois souvent des mauvaise critiques sur des livres que j'ai adoré.
Mais pour celui-ci (et pour une fois) c'est le contraire !
Je n'ai donc pas du tout aimé ce livre, pour moi rien de positif, je n'ai pas aimé les personnages, j'ai trouvé les dialogues pauvre, l'intrigue téléphonée bref je me suis forcée à finir.
Pourtant j'aime les livres et les chats !
Cela me prouve encore une fois qu'on a beau lire toutes les critiques du monde tant qu'on a pas ouvert le bouquin on ne peut pas savoir si on va aimer ou pas ! Alors prenons des risques, il faut tester !

Le chat du Bibliothécaire. Succès mortel, de Miranda James, édité en France en 2021, est mon 11e livre du Challenge ABC 2021/22.
J'ai acheté ce livre et son opus 2 (Inventaire fatal) le 16/12/2021 avec grand plaisir. Les couvertures sont très agréables et attractives. Bibliothécaire « émérite » et « maman » de trois adorables chats, ces livres ne pouvaient que me correspondre et ai commencé la lecture du tome 1 avec empressement, surtout au vu des commentaires de la 4e de couverture : la saga le Chat du bibliothécaire est un véritable succès, dont chaque tome figure, dès sa sortie, sur la liste des best-sellers du New York Time.
Ne connaissant pas du tout l'auteur, dont le véritable nom est Dean James, je n'avais aucun a priori.
Je n'aime pas dire du mal d'un livre, car je ne pourrais pas en écrire un (malgré quelques essais) et je ne vais pas en dire de celui-ci, mais j'avoue avoir eu du mal à le finir.
Depuis quelques temps, pour bien me souvenir d'un livre, je fais le résumé des chapitres, je fais la liste de chaque personnage, des lieux cités, etc, ainsi que mon ressenti et commentaires qui serviront pour la future critique. Ce que j'ai fait consciencieusement pour ce livre. Mais je me suis tellement ennuyée dans cette lecture, que j'ai arrêté au chapitre 8 sur 33,, pour un nombre de pages de 318.
Après avoir lu le chapitre 4, voici mon ressenti : Hier encore, j'étais assez emballée par les 3 premiers chapitres lus avant d'aller me coucher. Ce matin, en lisant ce court chapitre 4, ce qui me saute aux yeux, ce sont les « je…, je…, je… ». C'est bien sûr écrit à la première personne, mais j'avoue que cela devient lassant et presque trop nombriliste avec des descriptions de la vie quotidienne qui n'apportent rien.
Avant de commencer et de finir un livre, j'évite de lire les critiques sur Babelio, mais là, je n'ai pas résisté après la lecture du chapitre 5. Comme l'a bien dit un des chroniqueurs de Babelio, ce genre de roman est plutôt destiné à des adolescents et jeunes adultes. Comme j'ai acheté le second volet, je le lirai pour voir si mon ressenti se confirme.
Voulant quand même terminer ce livre, souvent je me surprenais à m'endormir dans mon fauteuil, tellement il est ennuyeux. L'écriture, très fluide, aurait pu être agréable à lire s'il y avait eu plus de suspens, de rebondissements au niveau de l'intrigue. Trop linéaire, elle n'est pas passionnante et les personnages manquent de profondeur. Après avoir lu un bon thriller « angoissant », mais qui a donné paradoxalement du plaisir, on a besoin de décompresser avec un autre apportant de la détente mais non de l'ennui.
Je ne sais même pas si un jeune lecteur pourrait trouver de l'intérêt pour ce livre. Par curiosité, je prendrai le temps de relire un livre de la collection du Club des 5 et celle des Alice que je lisais entre 7 et 12 ans.

Comment vous dire ... le moins qu'on puisse dire c'est que j'ai trouvé ça mortel.
Je vais commencer par ce que j'ai aimé : la couverture, le format et le résumé en 4ème de couverture.
Un chat, des livres, une petite ville paisible dans le Mississippi, et un meurtre. En somme, un menu sympa. Mais moi, j'ai frôlé l'indigestion.
Il ne se passe pas grand chose, pour ne pas dire rien, sauf quand le chat se dirige la tête haute vers sa litière. L'histoire consiste essentiellement dans la description détaillée des journées de Charlie et de son main coon qui gazouille. Les personnages sont d'un ennui mortel. On repassera pour la consistance de l'enquête policière et je n'ai pas aimé, mais alors pas du tout le style de la narration .
Note à moi-même : se méfier de la liste des best-sellers du New York Times. Ce titre y figure à priori ce qui m'interpelle énormément .
Mais ma déception ne s'est pas arrêtée là et j'en suis venue à me demander si elle ne venait pas tant du livre que du travail éditorial. Je peux encore passer sur des coquilles d'impression. Mais ici on est sur des fautes de grammaire éparpillées ça et là. Quelqu'un relit non ?
J'ai du mal à imaginer autant de maladresses de traduction, et ça a franchement gâché ma lecture.
Et ce décalage entre la 4ème de couverture et le contenu est pour le moins surprenant... On est loin de l'histoire promise.
Ça ne vaut pas les 14,90€ demandés et en tant que lectrice, je me suis sentie flouée.
Du coup, autant je n'ai aucune envie de poursuivre l'aventure en français, autant je suis curieuse de tenter en version originale, malgré tout, histoire de déterminer d'où pourrait venir le problème : de moi, de l'auteur, du traducteur ou de l'éditeur.
Les goûts et les couleurs... Dans une vie de lecteur on ne peut pas aimer toutes les histoires lues, c'est normal, mais là, à priori l'éditeur rajoute une couche. Dommage .

Très séduite par la couverture de ce tome 1 et par le résumé, je l'ai malheursement moins été par le contenu.
Après lecture de la quatrième de couverture, je m'attendais à une enquête trépidante et rebondissante. Mais il s'est avéré que j'ai eu le ressenti d'attendre que quelque chose se passe enfin tout au long de ma lecture. A mon grand regret j'ai donc trouvé ça long... il ne se passe pas grand chose. Beaucoup de descriptions mais très peu d'événements et de réelle action ou suspens à mon goût, une enquête bof.
Les plus : l'ambiance est mignonne et chaleureuse (petit chat Diesel y est pour beaucoup, même s il ne fait qu'office de présence), jolie couverture.
Les moins : l'impression d'attendre quelque chose tout au long du livre qui n'arrive finalement jamais, le manque d'action et de suspens, le peu de subtilité à mon sens concernant le dénouement, le titre qui parle du chat du bibliothécaire qui se révèle en réalité être un archiviste, le petit chat Diesel qui ne fait finalement qu'office de figuration et réconfort pour l'un des personnages, les redites, le nombre incalculable de fois où il est répété les mêmes termes comme "viens mon brave" ou encore "opina du chef", les descriptions ayant peu d intérêt plutot qu une histoire rebondissante (il est allé là, il a fait ça, il a monté les escaliers), la répétition des actions et allers et venues du personnage principal mais on ne sait pas bien pourquoi.
A regret, mais il n'y aura pas de tome 2 pour moi et je ne le recommanderai pas.

Je ne l'ai pas lu mais le résumé me fait terriblement penser aux ouvrages de Lilian Jackson Braun concernant des chats, un (ex) journaliste retiré à 600km au nord de nulle part , une bibliothécaire aussi...des granges
La série des chats : "Le chat qui ....lisait à l'envers,
mangeait de la laine,
qui aimait la brocante
Etc, etc...

En manque d'inspiration, une sorte de reprise , ou bien ??

ps: je les avais tous(ou presque) lu c'était assez délicieux.

Le cozy mystery n'est vraiment pas fait pour moi! Et ce premier de la série du Chat du bibliothécaire n'aura pas réussi à me faire changer d'avis. C'est mouuuuuuu et aussi frustrant que d'être coincée en berline derrière un tracteur dans les lacets de l'Alpe d'Huez. Avec la garantie d'arriver au bout de la route passablement énervée!

Le cozy mystery est par définition un polar plan-plan. Sauf que plan-plan ne signifie pas forcément sans charme et mal écrit… si? Faut-il vraiment aller jusqu'au dégoût Monsieur Miranda James? (d'ailleurs pourquoi prendre un pseudo féminin???)
Des descriptions inutiles à la limite de la nausée qui ne font qu'alourdir une enquête déjà pas vigousse, ajoutées à des considérations sur la race féline qui hérissent le poil (de chat! haha), dignes des pires commentaires gnangnan des réseaux sociaux… Cette lecture tient du cauchemar!

Encore un livre que je vais aller abandonner en foret pour être bien certaine qu'aucun lecteur ne perde son temps…
#jenesuispasgentillemaiscestpourvotrebien
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