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Le scénarion tient sur un ticket de métro.
Un loup chasseur de dot veut épouser un beau parti que son berger de père veut protéger quitte à la rendre malheureuse. La tante de la jeune femme joue les entremetteuses en y gagnant le sel de sa vie.
Il ne s'agit donc que de l'étude des âmes.
3 des 4 personnages passent leur temps à ne rien faire.
Cela leur laisse du temps.
On ne peut qu'admirer la science de l'auteur pour décortiquer les tenants et les aboutissants des stratégies mises en oeuvre pour que chacun des personnages fasse triompher son point de vue.
Un peu désuet, lmais agréable á lire, parce que le sujet reste universel, et que nous connaissons tous des héritiers de ces 4 protagonistes.

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La guerre des fortunes! Des sujets à la Jane Austen! Que peut attendre un père qui sait déjà sa fille laide, bête, passive et riche en même temps, si ce n'est de poser des gardes fous autour d'elle afin que l'extérieur n'en profite pour la manipuler! le meilleur moyen pour y parvenir, le docteur Slopper, le père de Catherine, accorde une entière liberté à sa fille, tout porte à croire que c'est une liberté quelque peu piégée, tout au moins, elle permet à la fille d'avoir entièrement confiance à son père et de ne pouvoir se rebeller contre lui quelque soient les circonstances...

Et cette méthode a porté ses fruit lorsque le jeune Morris, paresseux et dilapidateur de fortunes, exprime le désir d'épouser Catherine.Celle-ci respectera la volonté de son père, celle de ne pas épouser Morris malgré l'amour sincère qu'elle porte sur le jeune homme...même vingt ans plus tard, après la mort de son père, elle ne baissera jamais la garde...

Cette histoire aurait pu simplement faire l'objet d'une nouvelle ou d'une pièce de théâtre vu le nombre vraiment restreint des personnages...que l'auteur reconnait lui-même à un moment que l'histoire par moment est restée stagner...

C'est quand même étonnant qu'un roman aux personnages tout bonnement naïfs et appartenant à une histoire très passive soit agréable à lire!
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Henry James est une figure majeure du réalisme littéraire du XIX ième siècle, né aux U.S, il a ensuite pris la nationalité britannique.
Ce roman de 1880 est un huis clos avec 4 personnages principaux et, c'est pour lui l'occasion de faire une analyse psychologique acérée d'une famille bourgeoise New-Yorkaise qui au cours du récit va se déchirer, faute de s'aimer !
Austin Sloper est un médecin réputé et reconnu, il a perdu son épouse et son bébé lors de couches, mais il lui reste une fille : Catherine. Pour l'élever, il a fait appel à sa soeur Alvinia Penniman, veuve sans enfant d'un clergyman, mais il est déçu par cette jeune fille qui est laide, peu intelligente car il la compare toujours à sa défunte épouse qu'il adorait !
Il est tyrannique, sarcastique, voire méprisant avec elle et avec la tante Alvinia qui est rêveuse, écervelée.
Lors d'un bal chez une soeur du docteur, Catherine rencontre un beau jeune homme, élégant et charmant, mais quand ce dernier émet le désir de courtiser Catherine : le docteur commence à s'inquiéter car Morris Towsend a une réputation de dépensier, il n'a pas de ressources, pas de métier et il le soupçonne de s'intéresser à sa fille pour la fortune laissée par sa mère et éventuellement à la sienne ! le docteur Sloper va tenter de la dissuader d'envisager quelque relation que ce soit avec ce coureur de dot, mais la tante Alvinia encourage sa nièce et Morris car elle est éprise du jeune homme et va favoriser le développement de cette idylle, les pousser à se fiancer secrètement et même à fuir la maison paternelle ! le docteur menace de laisser sa fortune à des oeuvres caritatives, mais Catherine résiste !
Morris est sournois, rusé, intelligent et prêt à temporiser avec le père pour épouser une héritière ! Attendre, mais pour mieux cueillir une fortune !
Catherine est déchirée entre l'égoïsme de son père et celui de son prétendant, plus le soutien imbécile de sa tante niaisement romantique, frustrée, écervelée qui aggrave la tension entre les deux hommes qui se déchirent le coeur de la tendre ingénue !
Dans ce roman : on retrouve la société bourgeoise, chère à Jane Austen et l'analyse acerbe d'Honoré de Balzac pour décortiquer les personnages !
L.C thématique de septembre 2022 : un LIEU dans le titre.
Challenge ABC des titres 2022/2023.
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La diffusion récente, sur Arte, du film de William Wyler "L'héritière" (1949) avec la regrettée Olivia de Havilland, m'a donné envie de redécouvrir le livre dont est tiré le film: "Washington Square" de Henry James, grand auteur américain de la fin du 19ème siècle, début 20ème siècle.

Certainement l'auteur le plus "européen" de la littérature américaine d'ailleurs, puisqu'il avait voyagé beaucoup en Europe, et est mort en 1916, à Londres, après avoir obtenu la nationalité britannique.

Cette lecture a été un véritable plaisir, de retrouver une langue "classique" et de voir évoluer des personnages dignes de ceux De Balzac, auteur que Henry James admirait tout particulièrement.

Une intrigue simple mais développée avec beaucoup d'habileté et le rythme plutôt lent de l'oeuvre permet à Henry James de réaliser un très beau développement psychologique des personnages.

Catherine Sloper est une jeune femme de la grande bourgeoisie new-yorkaise à l'aube du 20ème siècle.
Son père est un médecin de grand renom qui a perdu sa femme et son fils plusieurs années auparavant et qui se retrouve seul avec sa fille. Il partage sa grande maison de Washington Square à New-York (d'où le titre du livre) avec sa soeur, l'inénarrable Lavinia Penniman, femme extravertie et intrigante.

Lors d'une réception, la tante de Catherine, Lavinia Penniman donc, lui présente un jeune homme, le beau Morris Townsend, jeune homme fringant et très agréable mais hélas dépourvu de fortune et de "situation", ce qui était rédhibitoire dans la bonne société de l'époque.

La jeune Catherine Sloper va littéralement s'enticher de ce jeune homme, malgré les avertissements répétés de son père qui flaire en Morris Townsend le "coureur de dot".

Les avertisssements de son père n'y feront rien. Rien ne fera renoncer Catherine qui aura pour projet d'épouser le beau Morris, projet soutenu d'ailleurs par la redoutable tante intrigante Lavinia plus soucieuse de vivre une sorte d'histoire d'amour par procuration que veiller au bonheur de sa nièce...

Une intrigue simple mais qui met en lumière avec éclat la "bonne" société américaine de l'époque.
Le livre a été publié en 1880 mais se lit très bien, même de nos jours!

On voit donc se développer une relation quadrangulaire ("square" en anglais) entre la jeune Catherine, son amoureux Morris, la redoutable tante Lavinia et le père de Catherine, le docteur Sloper.

Ces personnages sont très intéressants de par leurs interrelations justement.
Le docteur est un médecin compétent mais plutôt dur avec sa fille, jeune fille timide et effacée, qui manque de confiance en elle. Il ne voit pas ses qualités et lui reproche une soi-disant "médiocrité".
Catherine, prise en étau entre ce père sévère qui malgré tout a raison! et cette tante horriblement manipulatrice, va devoir développer des qualités de force intérieure dont on la croyait absolument dépourvue au début du livre....

C'est un très beau livre qui aborde plusieurs thèmes, l'amour filial, la révolte face au père, la manipulation, l'intérêt, le renoncement, la construction de soi....

Catherine va se découvrir des qualités qu'elle ignorait précédemment et va finalement avoir une vie de femme libre et indépendante, bien en avance sur son temps....
Un livre court et percutant, une grande oeuvre de la littérature classique...
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Il faut toujours écouter son Papa.
Maxime qui s'applique également dans la bonne société new yorkaise de 1850, qui voit le riche Docteur Sloper s'escrimer sans succès à détourner les regards de sa fille Catherine d'un mercenaire de passage. Efforts vains, la jeune Catherine est tenace, et entretenue dans son entêtement par sa tante, l'excentrique Lavinia, qui vit prolonge son éternelle jeunesse dans cette aventure.

Ce court roman vaut tant par l'évocation d'un univers bien connu de l'auteur que par la qualité de ses dialogues, incisifs et pointus, gorgés de cynisme et de misogynie. Je connais mal Jane Austen, mais quelque chose me dit que ce roman d'Henry James, dans lequel pour ma part j'ai retrouvé l'atmosphère de ceux de son amie Edith Wharton, plairait à ses admirateurs.
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Quand une vieille tante veuve décide de jouer les marieuse avec sa nièce les choses ne se passent pas toujours comme elle le désire.
Une riche héritière sans grande beauté particulière sauf peut être sa grandeur d'âme tombe amoureuse d'un jeune homme ambitieux et vénal. Mais c'était sans compter sur la clairvoyance du père de la jeune fille.

Un beau livre avec une belle leçon de vie..et une plongée en apnée dans le romantisme victorien

Merci (encore une fois) a Gwen pour ses beaux conseils de lecture

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Il ne fait pas bon être un personnage d'Henry James ! Dans le New-York des années 1880, le trio du vieux barbon et des deux amants est cruellement revisité. le père est riche, puissant et sourcilleux. La fille terne, obstinée et entière. Et le jeune premier beau, désargenté et sans scrupule. Si les motivations du père à éloigner son oie blanche de filles des mains avides de l'amoureux peuvent s'entendre au début du roman, la mécanique qu'elles déclenchent mène à une aridité désespérante. Personne ne lâchant rien dans cette histoire, les personnages se figent dans leur obstination qui, les années passant, ne rime plus à rien. Là où l'humour du bon docteur et la bêtise de sa soeur apportaient un peu de légèreté, ne restent que l'âpreté des illusions perdues et la solitude de celle qui n'aura ni transigé, ni vécu.
C'est naturellement délicieusement bien écrit, on rit souvent des travers, des scrupules ou des petits arrangements de personnages somme toute pathétiques. Reste que cette écriture piquante ne fait que cruellement saccager et que je ne vois pas trop qui, hormis un narrateur puissamment sarcastique, sortira grandi de cette histoire. C'était peut-être le seul but de l'affaire.
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Catherine Sloper, jeune fille riche, ni très jolie, ni vive d'esprit, vivant dans le quartier très huppé de Washington Square à New-York, est courtisée par Morris Townsend, un séduisant jeune homme qui a dilapidé le peu de fortune qu'il avait et vit au crochet de sa soeur. le Dr Sloper, son père, veuf et éminent médecin, voit rapidement en Morris un coureur de dot et s'oppose, d'abord prudemment, puis catégoriquement à cette union. Catherine, soutenue en cela par sa tante, devient elle de plus en plus résolue à épouser son soupirant, quand bien même elle serait déshéritée par son père. Son père décide alors de l'emmener faire un voyage de plusieurs mois en Europe.

Je n'ai pas été enthousiasmé par ce roman qui m'a paru abstrait, comme une étude de cas autour d'une maladie humaine qu'on présenterait en faculté de médecine ou de psychologie. Les caractères me semblent stéréotypés et les situations caricaturales. Franchement, j'attendais mieux.
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Tous les bienfaits de la relecture sont concentrés dans ce moment si excitant que celui où l'on rouvre un livre déjà deux fois lu en gardant la même impatience que la première fois.

J'ai lu Washington Square une première fois à froid si je puis dire, je ne connaissais pas Henry James du tout et ce fut une découverte époustouflante, tant de finesse et de noirceur rassemblées !
Puis une de mes filles l'a lu et là c'est tout le charme des échanges, le partage d'un plaisir.
Et pour cette relecture j'ai vraiment pris mon temps, je me suis délectée, avançant en terrain connu et pourtant redécouvrant encore des passages oubliés.
L'histoire ? Au départ c'est une anecdote racontée à James par une actrice à propos de son frère, James transforme l'anecdote en un roman situé au XIXe siècle à New-York.

Catherine Sloper a été élevé par son père praticien très respecté par la bonne société, elle a perdu sa mère très jeune, une mère adulée par le Dr Sloper. C'est Lavinia Penniman, sa tante, qui a assuré la présence féminine indispensable.
Autant sa mère était belle et avait non seulement « dix mille dollars de revenus » mais surtout « les yeux les plus charmants de l'île de Manhattan. », autant Catherine est terne, soumise, timide, pour tout dire banale. Lorsqu'elle rencontre Morris Townsend les antennes du père se mettent à vibrer et malgré les encouragements de Mrs Penniman et l'immédiate passion de Catherine pour ce beau jeune homme, Sloper n'est pas prêt à faire confiance à cet intrus et à le laisser disposer de la fortune de sa fille.
Une histoire mille fois lue et mille fois racontée du séducteur intéressé mais l'art d'Henry James transforme cette banale histoire, chez James rien n'est jamais acquis, ni la naïveté d'une héroïne, ni la noirceur d'un prétendant, ni la sévérité d'un père.

Tout est en demi-teinte laissant toujours le lecteur un rien frustré. Catherine est naïve certes mais aussi résolue voire têtue, Townsend est intéressé certes mais il a des élans sincères, Mrs Penniman est plus bête que méchante et ne comprend pas qu'elle va être la cause d'un malheur.
Les personnages se revèlent chacun à leur façon incapables d'aimer et vont s'en trouver profondément affectés.
On retrouve ici la même dérision que chez Edith Wharton, le même cynisme vis à vis de cette société rompue à l'hypocrisie et critiquant sévèrement tout comportement qui sort un peu du moule.
Le roman ne présente aucun suspense, ce qui fait sa force c'est la somptueuse analyse des sentiments, l'observation aigre-douce de cette société, l'ironie qui n'est jamais loin.




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A Washington Square, le docteur Austin vit avec sa fille unique, Catherine dont la mère est morte en couche, et une soeur vieille fille, avide de commérages et d'actes romantiques. Intelligent, curieux et sensible, le docteur porte un regard désabusé sur les deux femmes avec lesquelles il partage sa vie. Sans aucune illusion sur les capacités intellectuelles de sa fille, malgré ses efforts pour l'éduquer et lui inculquer quelques notions, il doit bientôt se rendre à l'évidence : sa fille n'est ni intelligente, ni belle : “Catherine n'est pas immariable mais elle n'a aucune séduction”. Mais elle a un avantage considérable lorsque l'on songe aux mariages de l'époque : elle est riche.

Quelques temps après ses vingt ans, Catherine rencontre Morris, qui semble tomber fou amoureux d'elle. Ici encore, le docteur ne se fait aucune illusion : il est persuadé que Morris ne peut courtiser Catherine que pour sa fortune. Aussi va t-il tendre tous ses efforts pour séparer les deux amoureux, malgré le soutien que leur apporte la vieille tante.

Finalement, ils se voient sans son accord, Catherine ayant passé l'âge d'obéir à son père (mais il la menace de la déshériter). Au final, ils parviennent à un point de non-retour et de non-communication. « Catherine ne parlait pas à son père de ces visites, rapidement devenue la part la plus importante, la plus absorbante de sa vie. La jeune fille était heureuse. »

Le roman est donc organisé autour de quatre figures :

le père, les pieds sur terre, à l'ironie mordante, dont j'appréciais l'intelligence mordante. Il veut le bonheur de sa fille, malheureusement il s'y prend très mal et s'aliène son amitié et perd toute autorité, tout en conservant un certain respect. Mais il n'a lui-même aucun respect pour elle, il la méprise malgré un amour paternel, et n'a pas vraiment cure de ses sentiments. On le décrit comme quelqu'un qui ne veut pas « faire de l'argent avant tout mais d'apprendre et agir. »
Face à lui, la figure de Morris est celle de l'aventurier, qui paraît brillant mais n'est intéressé que par l'argent pour ne pas avoir à travailler. Lorsque le docteur va rendre visite à la soeur de Morris, pour en savoir plus sur celui qui veut devenir son gendre, il le résume en quelques mots :

“Le type auquel appartient votre frère a été créé pour votre plus grand malheur et vous-mêmes avez été mises au monde pour être ses servantes et ses victimes. le signe distinctif de ce type est la détermination – parfois terrible dans sa tranquille intensité – d'accepter de la vie ses seuls plaisirs et de se les assurer le plus souvent grâce à l'aide de vos complaisantes soeurs.”

Finalement, alors qu'il est la figure centrale du roman, c'est peut-être celle qui est la moins développée par Henri James.
En regard de Morris, enfin, il y a Catherine. La pauvre Catherine, bringuebalée entre le jeune homme qui lui a fait perdre la tête, alors qu'elle est pourtant très rationnelle, et son père au cynisme aiguisé. Deux hommes qui déterminent son monde, qui se la déchirent et qui pourtant la méprise : « Savez-vous que je vous trouve parfois décevante ?

- ça ne m'étonne pas. Je déçois tout le monde : mon père, tante Penniman ». Cette lucidité m'a fait mal au coeur, car elle résume tout son mal-être : l'incompréhension de ses parents, son propre dilemme. “Son dilemne est doublement cruel. Comment pourrait-elle choisir entre son amoureux et toi ?”

Elle est déchirée, et et sa nature rationelle finira par lui faire choisir la voie où elle sera le plus tranquille, avec le moins de passion.
Enfin, l'agent catalyseur de ce drame est la tante Penniman. Vieille folle aigrie et détestablement romantique, c'est elle qui permettra le rapprochement de Catherine et de Morris, sans se rendre compte qu'il n'est qu'un escroc. Sans amour dans sa vie, elle n'a rien trouvé de mieux que d'en imaginer chez les autres, ce qui provoquera la perte de Catherine, et le malheur de plusieurs vies.

C'est un roman remarquable que ce premier texte que je découvre par Henri James. L'intrigue tient sur rien mais nous maintient en haleine durant 250 pages, des pages de huis clos, qui tournent autour de ces seuls personnages. Des personnages qui finissent leur vie tranquillement, sans que jamais soit réglé la question de ce mariage râté, qui hantera leur vie à tous les trois.

« [Le docteur] aurait donné cher pour découvrir l'exacte vérité; mais ne jamais savoir fut sa punition : je parle de la punition encourue pour avoir perverti, à force de sarcasmes; ses relations avec sa fille. ».

Ce roman est finalement moins une histoire d'amour ratée que celle de relations houleuses entre une fille, obéissante et pleine de qualités, et un père prompt au cynisme, au jugement et à la dépréciation de sa descendante. Les tensions ressurgissent, et ne se règleront finalement que dans le silence …
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