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Ce tome 4 de la série "Orcs & Gobelins" nous raconte et nous montre la vie de Sa'ar qui officie en tant que Scarface peau-verte (en sachant que Scarface est un personnage cinématographique inspiré d'Al Capone IRL ^^)
Gnar la Gargouille est l'étoile montante de la truanderie mais il se fait choper par la Garde-Ruelle qui le remet pieds et poings liés au maître sans nom et sans visage de la Cité des Sang-Mêlés qui par nostalgie raconte à son compatriote l'accomplissement de ses ambitions (et ce n'est sans doute pas un hasard si la gouvernance de la Cité des Sang-Mêlés ressemble peu ou prou à celle Waterdeep / Eauprofonde, la cité des splendeurs des Royaumes Oubliés de AD&D^^). Sa'ar était un gobelin des mangroves destiné à devenir comme tous ses ancêtres un pêcheur quand un banni traître à sa patrie ramena avec lui la ruine et la désolation incarnées par des négriers orcs. Longtemps esclave dans une pêcherie industrielle à voiles, il finit par suivre deux camarades d'infortune en se faisant la malle avant d'apprendre la truanderie d'en bas avec le dénommé Ursr et la truanderie d'en haut avec le dénommé Goborgal. Les forts agissent et les faibles subissent : Sa'ar apprend à la dure les vertus de l'ambition, et à chaque fois qu'il veut tout plaquer la destinée s'acharne à le rééduquer... Il finit par devenir prêt à tout et au reste, et de guerres des gangs bien dosées en trahisons bien orchestrées il finit par se frotter au Maître de la Cité et Traëzor de Farand l'exécuteur de ses basses oeuvres !
Un Scarface fantasy bien troussé certes, mais pas que car au-delà du la tragédie gangsta on développe une autre philosophie : tout pouvoir à son prix et le narrateur ne cesse de répéter qu'il faut absolument tout sacrifier à son ambition pour s'élever, mais au final il passe son temps à torturer horriblement celui qui lui a tout pris, regrette avec nostalgie toutes les pertes qu'il a subies, et invoque les mânes de celui qui dans sa vie a été son seul ami...

On retrouve la signature de Nicolas Jarry dans les choix narratifs, car Sa'ar nous raconte son ascension avec les succès et les échecs qui y sont liés dans une structure en analepse (et c'était génial de nous faire croire que le narrateur était Gnar la Gargouille alors qu'en fait ce dernier a toujours été Sa'ar ^^)... Pourtant j'ai retrouvé beaucoup d'Oliver Peru : dans la série "Médicis" la cité de Florence s'adressait autant aux lecteurs qu'aux personnages qui ne l'entendaient pas, alors qu'ici Sa'ar s'adresse autant aux lecteurs qu'à la cité des Sang-Mêlés qui ne l'entend pas... J'ai un peu honte de ne pas lâcher les étoiles, mais le travail conjoint de Bojan Vukic et de Paolo Deplano aurait être davantage optimisé, et ici force est de constater qu'on s'est lancé dans des twists à la "Usual Suspects" qui auraient eu plus d'effet dans une mini-série que dans une stand alone...
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♪Ah Sa'ar ira, Sa'ar ira, Sa'ar ira,
les aristocrates à la lanterne !♫

Finalement, des arisocrates, Sa'ar n'en a cure.
Ce qui le fait avancer, c'est ce leitmotiv lancinant : devenir calife à la place du calife.
Faire tomber le maître de la cité à son seul profit.
Ce récit est celui d'un arriviste patenté, d'un jusqu'au-boutiste persévérant à l'intelligence aiguisée et à la détermination absolue.

Quatrième opus de la série Orcs et Gobelins, ce Sa'ar séduit sauvagement.
Un parcours de vie (de mort serait plus adéquat) résolument volontariste à grands coups d'amitiés opportunistes, d'alliances de circonstance et de bains de sang périodiques, signe d'une hygiène de vie irréprochable, voilà le secret de tout courtisan aux dents longues qui se respecte.
Et Sa'ar se respecte plus que tout.

Récit trépidant faisant la part belle à une quête du pouvoir sanguinaire sur fond de partie d'échec de haute lutte.
Si Machiavel recherchait un fils spirituel, Sa'ar pourrait facilement y prétendre.
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Toujours plus haut.
Cela pourrait être la devise de Sa'ar, ce gobelin, grenouilleur des mangroves, issu du plus bas de l'échelle, élevé dans la bauge et la misère, encaissant les coups des plus forts et des puissants.
Jusqu'au jour où il décide de saisir une brindille de chance pour affermir sa volonté de tous les supplanter et de venir le maître de la cité des sang-mêlés.

Cité ô combien emblématique de par son architecture vertigineuse qui n'est pas sans rappeler la Tour de Babel. Véritable allégorie de l'ambition et du désir de Sa'ar à atteindre le sommet, en gravissant les étages du pouvoir un par un, à n'importe quel prix !

Le graphisme est merveilleux et à la hauteur du scénario, comme à l'accoutumée, mais j'avoue que j'ai eu du mal à m'attacher aux pas de Sa'ar, héros qui n'inspire pas la sympathie !

L'album est réussi mais ce ne sera pas mon préféré ! Loin de là !
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La Cité des Sang-Mêlé est le lieu où se côtoient toutes les races, tous les croisements improbables, la plupart étant des êtres sans foi ni loi. Au départ, ce n'était qu'un trou puant où s'agglomérait la fange de tout ce qui parlait et marchait sur deux pattes dans ce coin du monde. Un lieu bien trop malodorant et inquiétant pour la noblesse aux narines si délicates qu'aucun de ses membres n'osait venir s'en emparer.

C'est de cet enfer que va surgir une nouvelle noblesse qui s'est extirpée de la bassesse du lieu pour bâtir la cité, imposer un code, un garde-fou contre le chaos. le pire des traîne-savates connaît les règles qui nous empêchent de nous entre-dévorer.

Je m'appelle Sa'ar et je suis parvenu au sommet de la tour qui domine la cité. Je suis le Maître, celui qui veille au code. C'est la Cité qui m'a choisi. Personne ne m'a désigné. Je n'ai pas été élu. Je ne suis pas roi. Je resterai le Maître tant que la Cité voudra de moi. Aujourd'hui, un jeune gobelin ambitieux et virevoltant, Gnar la Gargouille, issu des mangroves comme moi, rêve de prendre ma place. La Cité a peut-être décidé de me remplacer…


Critique :

Nicolas Jarry est un extraordinaire scénariste et il le prouve une fois encore avec ce quatrième album de la série « Orcs & Gobelins ». Un album très « bavard » pour la bonne cause. Il permet de retracer en un livre de 56 pages la vie d'un gobelin qui a souffert tant et plus pour s'élever tout en haut de la Tour qui domine la Cité des Sang-Mêlé. Sa'ar en a bavé depuis qu'un immonde gobelin issu de son village de pêcheurs a été épargné après un crime. L'infâme est revenu avec des esclavagistes qui ont trucidé tous les villageois qui ont tenté de résister. Sa'ar a été vendu comme esclave à des marchands de poisson. Il croupissait dans les sinistres caves d'une fortification bâtie sur un récif perdu au milieu de l'océan. Des centaines de ses congénères s'y activaient, dans des conditions épouvantables, à trier les poissons, à les vider, les saler et les mettre en caisse. Là, il va apprendre que ce sont les plus forts qui décident et les plus faibles qui subissent. Il y perdra toute innocence et retiendra la leçon.

Deux dessinateurs, au talent fou, l'Italien Paolo Deplano et le Serbe Bojan Vukic, donnent vie à cette improbable cité et à des personnages d'un dynamisme fulgurant. Les moindres détails de la Cité ont été peaufinés.

Digikore Studios démontre une fois de plus le savoir-faire de son personnel dans cette brillante mise en couleurs.

Même si le vert a tendance à vous faire gerber, même si vous n'éprouvez aucune sympathie pour les peux-vertes, ne passez pas à côté de ce magnifique thriller rebondissant.
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Sa'ar est un gobelin qui est parti du bas de l'échelle sociale et qui est monté au plus haut titre dans la ville des sang-mêlé. Au départ, il n'était qu'un grenouilleur des mangroves, innocent. Il ne savait rien de la dure vie et de sa loi du plus fort. Quand son clan a été réduit en esclavage, il a compris qu'il n'y avait pas de cadeaux à attendre de la vie, il fallait provoquer son destin.

Ce tome 4 de Orcs et Gobelins est le récit d'une ascension sociale inattendue pour un gobelin mais aussi à une évolution progressive du caractère de notre personnage central. La psychologie et l'évolution du personnage sont particulièrement travaillées.
C'est Sa'ar lui même qui nous raconte son existence, il en a bavé et il en a fait baver les autres. Une sacré revanche sur la vie, une ambition démesurée qui lui a fait atteindre une position élevée dans la hiérarchie de cette ville remplies des pires canailles d'Arran. Un personnage très intéressant à défaut d'être sympathique même si les auteurs ont mis de la nuance dans son personnages qui n'est pas seulement ambitieux, cruel et sans scrupules. Bien ce cela soit tout de même dominant!!
Le dessin est appliqué, on est complètement plongés dans l'univers.
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— Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, j'ai le grand plaisir honorifique de présenter à vous ce soir, n'est-ce pas, tout à fait exceptionnellement dans le plus simple appareil, une beauté qu'on vient d'arracher, à on ne sait pas à quoi d'ailleurs !

De vous présenter le Sar Rabindranath Duval, qui est le descendant authentique des grands Sars, des grands visionnaires de l'Inde, n'est-ce pas ! Votre sérénité…

Ben non, raté, le Sa'ar dont il est question dans cet album n'est pas celui du sketch cultissime, drôlissime de Pierre Dac et Francis Blanche (1).

Le procédé narratif de commencer à l'envers n'est pas nouveau dans cette saga et il a l'avantage de créer de la surprise pour le lecteur qui ne s'y attend pas du tout. Boum, dès les premières pages j'étais déjà alpaguée, surprise et complètement dans mon récit.

Sa'ar va donc nous conter son histoire, depuis son enfance dans une mangrove vivant en paix, à sa mise en esclavage, à sa fuite, à son apprentissage avant de commencer son ascension fulgurante dans l'entreprise du crime organisé.

"L'esclave qui défia un empire" pourrait être le résumé de cet excellent album, qui, avec un scénario connu mais bien narré, va nous montrer comment on peut devenir Calife à la place du Calife dans la cité du crime.

Sa'ar, c'est un Napoléon du crime qu'il va devenir et malgré toutes ses exactions, malgré le sang sur ses mains, et bien, il va être difficile de le trouver salopard. Jusqu'au bout, il a conservé ma sympathie.

Cet innocent gobelin, suite à un événement tragique dont il n'est que la victime, ainsi que tout son village, est arrivé à trouver la force en lui de s'en sortir et tout le sel de l'album sera dans sa manière de passer du côté méga supra obscur de la Force.

Les dessins sont, une fois de plus, au top et j'ai longuement hésité entre les approfondir ou continuer ma lecture afin d'éviter une cassure dans le rythme. J'ai tranché : je lirais tout et puis je m'attarderai ensuite sur les dessins de ses bas-fonds où grouille une faune de coupes-jarrets, le tout régit par un Maître qui prélève sa dîme sur chaque transaction.

Les scènes de combat sont bien rendues, le rythme de l'album fait que nous ne nous ennuyons pas une seule seconde et la psychologie de notre gobelin n'est pas celle de comptoir. Une véritable intelligence et un sens de la stratégie se trouvent en lui, combiné à une bonne méthode pour manipuler les esprits plus lents et lourds.

La guerre des gangs version culs-verts… Scarface chez les Gobelins… Moriarty au pays, non pas de Candy, mais de celui des non repentis… Napoléon qui triomphe dans son Austerlitz de la cité du crime grâce à une stratégie impériale.

Anybref, une fois de plus je ne verrai plus les Gobelins ou les Orcs à la manière de ceux du Seigneur des Anneaux ou de Bilbot car ici, la plupart possèdent un cerveau et savent s'en servir. Et ceux qui n'en avait pas, c'est simple, ils ont fini en nourriture pour les poissons ou pour les rats.

Sa'ar, un Gobelin qui fut esclave, puis évadé, puis bras armé d'un autre et qui défia ensuite l'Empire du Maître, même si l'Empire contre-attaqua…

Une belle histoire de brigands sans foi ni loi, hormis celle de la Cité, une bédé sombre, noire, remplie de trafiquants en tout genre, de voleurs, de coupe-jarrets et autres magouilleurs, comptables et gens d'armes (gardes-ruelles).

— Et il surveille également de très près son alimentation… Quelle est votre alimentation ? Qu'est-ce que vous prenez pour votre dîner ?
— Uniquement de la cuisine à l'huile.
— La cuisine des Sars ?
— La cuisine des Sars, oui !
— Oui, mais pourquoi?
— Parce que les Sars dînent à l'huile ! (1)

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Orcs & Gobelins est une bonne série qui surfe sur la tendance par des tomes uniques pour une seule série.
Le petit plus c'est les personnages à la moralité discutable. Ca évite des personnages trop lisses. Sa'ar n'y échappe pas. Il reste attachant avec une vraie psychologie. Sans être complètement noir, il est retors et n'hésite pas à comploter et à trahir.
L'histoire est assez classique mais rudement efficace. Avec des petits secrets, complots, retournements de situation... Sans oublier des thèmes comme l'évolution sociale, la vengeance, la volonté... On est très vite pris dans l'univers.
Les dessins sont très soignés, avec un beau rendu et des couleurs lumineuses.
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Et voilà qu'arrive le tome 4 de cette série issue de l'univers des Terres d'Arran. Et ce n'est pas moins que la très talentueuse équipe Jarry, Vukic, Delplano, qui s'y colle.
Et bien, encore une fois, je ne suis pas déçu. Je retrouve le style de Nicolas Jarry qui choisit ici une narration à la première personne, comme c'est souvent le cas dans la série nains. J'ai l'impression que cela devient sa marque de fabrique, à tel point que ce choix définit désormais son style. C'est loin d'être un choix déraisonnable car cela permet au lecteur une immersion immédiate. On voit l'histoire à travers les yeux de Sa'ar, le personnage principal, un cul vert, un Gobelin, qui en a bavé toute sa vie pour arriver là où il est. mais cela ne lui suffit pas, il veut monter plus haut. Comme il l'explique très, " être tout en bas ou presque en haut... ça fait aucune différence". Sa'ar veut plus, il veut devenir le maître incontesté, quite à faire sortir ce qu'il y a de pire en lui. Il est prêt à tout pour grimper les échelons et au vu de son histoire, on ne peut que le comprendre.
Nicolas Jarry nous conte donc là l'ascension d'un Gobelin, parti de rien, du plus bas de l'échelle, vers les sommets qu'il ambitionne. Et ce n'est pas un hasard si Jarry a choisi ce cul vert, à peine plus haut que 3 pommes pour nous raconter son histoire d'ascension. Ce choix n'en rend que plus attachant le sort de Sa'ar, lui qui se frotte à plus grand que lui, par la taille mais également par la "position sociale". Lui qui n'est qu'un vulgaire assassin et voleur aspire à être plus que cela.
Nicolas Jarry nous parle ainsi d'une ascension fulgurante, toutes proportions gardées bien entendu, mais il nous dit surtout que tout est possible si l'on s'en donne les moyens, si l'on ne recule pas face à l'adversité ou aux difficultés, si on s'accroche à ses rêves et si l'on avance intelligemment. Oui Jarry nous dit que même un être misérable et insignifiant peut devenir quelqu'un pour peu qu'il ne se suffise pas de sa maigre situation, de sa condition.
Sa'ar est un personnage qui gagne à être connu et dont on espère qu'il montera encore plus haut.
Seule petite remarque par rapport à ce tome; je parlais du "style Jarry" qu'on reconnaît immédiatement, tant il est marqué, c'est justement que j'ai eu l'impression de lire un volume de Nains. Un vocabulaire un peu plus spécifique et un peu moins commun avec l'univers des nains eût été de bon goût. Mais bon je chipotte et me console en me disant qu'après tout, j'ai sous la main une bd de Nicolas Jarry, plus qu'un tome supplémentaire dans une série...
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Ce quatrième volume de la série "Orcs et gobelins" dans les Terres d'arran pourrait s'intitule de façon brechtienne "La resistible ascension "de Sa'ar dit Gnar la gargouille. Et il s'agit bien de cela quand un vulgaire gobelins des mangroves ambitionne de devenir le boss de la Cité des Sang mêlés. Mais celui qui trône au sommet de cette verticale et pouilleuse Cour des Miracles ne sera pas facile à éjecter. Et d'abord, qui est-il ?C ette histoire de Sa,argentins qui veut être calife à la place du calife,offre des perspectives sur un univers impitoyable où ne triomphe que le plus retors,traître et san pitié aucune,gravissant les marches vers la domination sur les cadavres empilés d'ennemis et d'ex alliés. Excellent album..
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Le quatrième tome de la série "Orcs & Gobelins" est une autobiographie à la Scarface de Sa'ar, gobelin minable pêcheur naïf devenu le maître suprême de la Cité des Sangs-Mêlés.
56 pages dans lesquelles il raconte à l'étoile montante de la cambriole, son ascension dans l'empire du crime. 56 pages au cours desquelles il perd peu à peu son âme, son innocence. Son coeur s'endurcit au fur et à mesure des sacrifices (lire ici meurtres) et des trahisons qu'il se voit contraindre d'effectuer pour continuer à survivre...

Cet album est aussi un exploit graphique de la part du duo Bojan Vukic-Paolo Deplano. Ils ont créé une extraordinaire cité typique médiéval-fantasy avec sa fange grouillante de vices et de crimes en tout genre tout en bas, ses quartiers spécialisés qui deviennent plus fréquentables au fur et à mesure qu'ils sont proches du sommet, et enfin une tour où loge le Maître. Ils l'ont peuplée de toutes les races et demi-races des terres d'Arran qui s'y volent, escroquent, s'étripent joyeusement au surin dans de grandes batailles sanglantes. Et surtout, toutes les cases sont extrêmement fouillées, même si parfois trop de détails embrouillent le propos particulièrement lors des batailles.

Au final, un très bon album comme les trois précédents, et j'espère que cette cité sera réutilisée dans l'avenir.
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