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3,64

sur 1445 notes
Quelle déception !
Je n'ai pas du tout réussi à entrer dans l'histoire. J'ai trouvé le rythme lent et ennuyeux. J'ai abandonné cette lecture à la moitié. Dommage :-(
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Difficile de ne pas apprécier ce polar islandais qui nous emporte dans une petite ville paisible Siglufjordur où la mort vient pointer le bout de son nez.
Ari Thor va devoir se séparer de sa petite amie et abandonner le confort de la ville pour découvrir un endroit perdu et isolé qui l'angoisse par moment.
Thomas l'accueil dans sa nouvelle ville et ils travailleront ensemble sur une enquête très complexe.
Il fait froid, sombre et il neige beaucoup, il va devoir commencer ses recherches sur ces gens mystérieux, qu'il découvre et petit à petit, il va vite s'apercevoir que certaines personnes dans ce théâtre cachent bien leurs jeux.
Comment l'auteur le plus célèbre de l'Islande Hrolfur est-t-il tombé dans cet escalier ?
Pourquoi une femme est-t-elle retrouvée presque morte ?
Il va rencontrer une femme très attachante Ugla qui le charmera et elle le guidera vers la vérité mais elle lui fera par moment douter de ses sentiments, quelques doutes lui feront garder méfiance.
Ari Thor est un jeune policier très attachant et perspicace qui suivra son instinct et il saura prendre des initiatives afin de mener à terme sa première mission.
Ce qui est très bon dans cette histoire, c'est que l'auteur nous balade jusqu'à la fin, ce qui pour moi fait de ce polar un très bon moment de lecture.
du suspense et une ambiance très sombre et glacée qui ne m'a pas laissé indifférente.
Je vous conseille vivement de lire les polars de Ragnar Jónasson, pour mon cas c'était mon premier et le premier de l'auteur que je trouve très réussi, j'aime beaucoup c'est à vous de découvrir maintenant.
Lien : https://sabineremy.blogspot...
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Snjòr est le premier épisode d'une saga en plusieurs tomes (3 pour le moment). J'ai été attiré par ces couvertures plutôt sobres mais très attractives, et il faut également avouer que le titre attise la curiosité, la mienne en tous cas.

On découvre petit à petit l'Islande, son froid, sa neige et ses hivers rudes. On fait la connaissance, dans de courts chapitres, de Ugla, une jeune femme pianiste en pleine études universitaires vivant avec un vieil écrivain célèbre, et de Ari Thor, un jeune flic qui trouve du travail dans le Nord du pays et dont la compagne refuse de le suivre, préférant rester à Reykjavik. Et il y a également une femme dont on ne sait rien mais qui est en danger, elle nous raconte son calvaire, sa peur... Tout ce petit monde va être lié par un évènement inattendu... Il y a tout de même beaucoup de personnages qui gravitent autour de ces personnes mais elles sont toutes très utiles et surtout, elles ont chacune un rôle important. Seuls leurs noms sont compliqués, mais c'est normal, c'est de l'islandais...

L'ambiance est glaciale, le titre est parfait, il signifie "Neige" en islandais et il correspond parfaitement au thème de l'intrigue. J'adore cette impression de lourdeur, de sombre, de pesant qui règne tout au long de l'histoire. le personnage principal se trouve également lui aussi très souvent dans un état d'étouffement causé par la neige qui l'entoure. Ça m'a même donné l'envie de découvrir cette région, ce pays si froid dont on ne parle que rarement. Pas d'y vivre, j'aime bien trop le soleil, mais de passer un peu de temps dans une de ces maisons l'hiver, d'y être au chaud avec un bon bouquin...

Concernant l'intrigue, elle est simple et complexe en même temps. Dans ce petit village de Siglufjördur, tout le monde se connait, tout le monde à confiance en tout le monde et surtout, il ne s'y passe jamais rien de bien intéressant. Alors pourquoi Ari Thor, un jeune flic, vient-il démarrer sa carrière ici? Il se sent comme un étranger dès le départ et cette impression restera encore longtemps visible. Les journées sont calmes jusqu'au jour où un vieil homme plutôt connu dans la région tombe dans l'escalier et meurt sur le coup. Accident ou agression? Ari Thor va devoir faire front fasse à son chef qui n'est pas du tout de son avis et les habitants qui lui cachent beaucoup de choses importantes. J'ai adoré ce personnage (et ça tombe bien, c'est lui qu'on retrouve ensuite dans les prochains tomes), il est jeune et débutant mais il a un très bon sens de l'analyse et surtout, il suit son instinct quoi qu'on lui dise. Il est très perspicace et c'est super intéressant de le suivre dans son raisonnement. J'ai beaucoup aimé suivre son histoire...

Un grand bravo à l'auteur également qui sait tout à fait nous présenter chacun des personnages en profondeur sans nous donner trop de détails qui pourraient nous ennuyer.. On a même l'impression de les connaitre. L'intrigue est bien ficelée et j'aime son dénouement. J'ai hâte de lire la suite!
Lien : http://leslecturesdemaryline..
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Un polar islandais , un peu dans la lignée d'Indridason pour ce qui est de l'atmosphère urbaine et des rapports psychologiques entre les différents personnages.
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« Snjor (huis clos à l'islandaise) ». Ragnar Jonasson (335 pages, Points La Martinière).
Bof. Un jeune flic tout frais diplômé est nommé dans une petite ville de la côte nord de l'Islande, où tout le monde se connait, et où « il ne se passe jamais rien », comme lui dit son chef en l'accueillant. Un accident étrange puis un quasi-meurtre avéré plus tard, en pleine tempête de neige qui bloque la ville dans un mois de janvier nocturne (un peu convenu comme ressort dramatique dans un polar nordique), notre inspecteur, jeune homme bien sous tous rapports malgré ses phobies et ses crises de conscience (tromper son amoureuse éloignée ou pas ?) va prendre ses marques, et tirer les fils inextricables de quelques histoires sordides. Bon, pourquoi pas ? Je ne suis pas spécialiste de polars, mais j'ai trouvé tout ça assez facile. D'autant que l'auteur nous montre son héros découvrant des indices qu'il cache au lecteur, qu'il glisse des scènes non datées qui s'éclaireront aux dernières pages… bref, Jonasson construit un suspense dont il nous montre qu'il en cache les ressorts, ce que je n'ai pas trouvé le plus habile ni le plus accrocheur dans ce « snjór » (qui veut dire « neige » si j'en crois mon traducteur).
Moins bon que Mankell ou même qu'Indridason, mais j'ai lu quand même jusqu'au bout, sans doute parce que je n'avais que cela à lire durant un voyage en train.
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Je ne suis pas une grande fan des thrillers venus du grand Nord, que je trouve en général très glauques et trop sanguinolents pour la petite chose sensible que je suis. Ceci dit la quatrième de couverture m'a plu, et ne sachant pas quoi prendre à ma bibliothèque préférée, j'ai opté pour Snjor.
Pour tout dire très vite et très franchement je suis très loin du coup de coeur. L'intrigue est faiblarde, la résolution m'a laissé pantoise (pouf juste une réflexion et ça y est, le héros comprend tout), aucun personnage ne m'a interpellé ou plu, et en particulier le héros principal qui a autant de charisme qu'un poisson pané...du coup ses angoisses et ses questionnements, comment vous dire...m'ont laissée de glace (sans mauvais jeux de mots). C'est dommage parce que l'ambiance, l'atmosphère de ce village placé non loin du cercle polaire mérite l'attention, et l'auteur a un vrai talent pour planter le décor (en plus pour la bonne française pur jus que je suis, c'est exotique et dépaysant). Mais bon voilà quoi. J'ai lu dans la biographie de l'auteur qui avait été le traducteur d'Agatha Christie. Il aurait du s'en inspirer pour nous concocter une bonne intrigue, avec une petite touche d'humour qui aurait fait du bien.
Las ! Ce n'est pas le cas, et je crois que Ari Thor va continuer sa brillante carrière sans moi.
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une bonne atmosphère malheureusement le texte est ancré dans de nombreuses platitudes. La 1 ere phrase du roman a failli me faire arrêter de suite
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Snjór, neige en islandais. De la neige, il y en a bcp à Siglufjördur! Siglufjördur, c'est cette toute petite ville à l'extrême nord de l'Islande qui est née et a connu ses instants de gloire grâce à la pêche au hareng. C'est ce coin perdu entre montagne et fjord, cet endroit où il ne se passe jamais rien, où tout le monde se connaît et où tout se sait, où un étranger reste un étranger même après y avoir vécu 40 ans.

Snjór, un huis clos à l'islandaise. Siglufjördur  est une toute petite ville, isolée, paisible et sans histoire. En apparence. Deux événements inquiétants viennent en effet troubler la quiétude hivernale et le quotidien des habitants. Alors qu'une tempête de neige et une avalanche isolent la ville, un célèbre écrivain aujourd'hui nonagénaire chute dans les escaliers du théâtre de la ville puis une femme est retrouvée nue dans la neige, agressée mais tjrs en vie. Fraîchement promu de l'école de police à Reykjavik et débarqué à Siglufjördur pour sa première affectation, Ari Thòr va devoir s'adapter au plus vite à la vie dans cette petite communauté s'il veut élucider ces deux affaires.

Ragnar Jonasson signe avec Snjór son premier roman. Si les paysages hivernaux sont sublimes, l'atmosphère et l'ambiance propres à une petite ville perdue au milieu de nulle part très bien dépeintes, la lenteur d'une enquête  qui s'enlise ainsi que les longueurs dues à la description de (trop) nombreux personnages m'ont par moments ennuyée et ont bien failli avoir raison de ma patience. Ceci dit, je lirai quand-même la suite mais j'attendrai qu'elle sorte en poche.
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Ari Thór, jeune flic sortant tout juste de l'école de police quitte du jour au lendemain Reykjavík et sa fiancée pour son premier poste dans un village au Nord du pays. Siglufjördur. Village de pêcheurs du bout du monde, coupé du reste de la civilisation, auquel on accède quand les conditions météo le permettent, par un étroit tunnel creusé à même la montagne. Il se retrouve seul dans ce village, bercé par la nuit polaire et tempêtes de neiges qui le coupent chaque jour qui passe un peu plus du reste du monde. Ici tout le monde se connait, personne ne ferme sa porte clé... Il ne se passe jamais rien, le prévient Tomas, son collègue.
Et pourtant. Un vieil écrivain à la gloire passée fait une chute mortelle dans le théâtre local, une femme est retrouvée à demi-nue, agonisant dans la neige, baignant dans son sang.
Ari Thór, en proie à une claustrophobie de plus en plus oppressante va devoir faire face aux mensonges, vieux secrets qui habitent ces habitants, et qui se méfient de celui qui n'est pas des leurs.
Snjór, "neige" en islandais, est un roman qui se lit vite, et qui donne envie d'aller se perdre au fin fond de l'Islande. On voit Ari s'affirmer dans son uniforme avec plaisir, le suivant dans son enquête, et le découvrant succombant aux charmes de la mystérieuse Ugla.
Ragnar Jonasson a selon moi du chemin à parcourir avant d'arriver à la hauteur d'Arnaldur Indridason, mais cette série me semble prometteuse, et je la poursuivrai avec je pense beaucoup de plaisir.
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Un pays couvert de neige, un meurtre dans un théâtre, un décor similaire au roman "Neige" de Pamuk lu précédemment.
Sauf qu'au lieu de la Turquie, cela se passe en Islande. Et l'histoire est toute autre.
Ce roman est facile, lecture rapide et je trouve que l'auteur traîne un peu avant d'en arriver au fait, sûrement pour camper les personnages de ce qui semble être une nouvelle série avec un jeune policier débutant fraîchement arrivé de la Capitale pour travailler dans cette bourgade du Nord loin de tout.
Le contexte de la crise économique évoquée est intéressant même si de cette province on n'en ressent pas les effets.
J'ai relevé quelques fautes d'orthographe qui n'ont pas manqué de m'agacer (il disparu...).
Peut mieux faire!
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