Darynda Jones. Charley Davidson. Tome 6. Milady. 429 p.
Du lourd. Toujours de l'humour mais les emm…continuent. Les ennuis avec son père, sa belle-mère qu'elle déteste royalement…Le fait de savoir qu'elle est sur la liste d'entités de plus en plus puissante qui veulent la voir morte.
1er client : une personne qui a vendu son âme au diable et qui veut la récupérer…
Le mécontentement de Reyes qui la pousse à arrêter de s'occuper d'affaires impossibles à résoudre. le ton est donné. Ça va barder…
Le niveau d'humour n'atteint plus celui des tomes 1 à 4 mais il reste assez haut pour nous arracher quelques sourires aux moments les plus prenants du suspense. Comme des bouées dans un maëlstrom d'émotions.
Charley : Tu ne prévois pas de porter ça se soir n'est ce pas ?
Cookie : « - Qu'est ce qui ne va pas avec ma tenue ».
« - Rien si tu as l'intention de t'enfuir pour rejoindre un cirque ».
Ou les fameux Tee-shirt. « J'ai perdu ma virginité mais j'ai gardé l'emballage,… »
P 92 un 1er moment « hot » entre amoureux interrompu par Oncle Bob…Bref on ne rigole plus 😊 😊.
Un excellent tome dans lequel il arrive des problèmes « vitaux » à Reyes, le mec le plus sexy de la terre et de l'enfer réunis.
Cela reste de la bit-lit. Je suis un grand amateur de Dumas – essayez « Ascanio » par exemple pour comprendre, Mesdames et Messieurs, quels sommets émotionnels cet auteur est capable de nous faire atteindre. Mais de toute la bit-lit que j'ai pu lire, cela reste la meilleure série qui m'ait été donné de lire. Et la qualité se maintient au moins jusqu'au tome 10…