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3,53

sur 200 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Résumé par moi même :

On suis l'histoire de Joanna qui repars vivre après plusieurs années en ville, à Flinstead. Elle est auprès de sa mère et elle a un petit garçon Alfie. Dans ce village sans problème ce créer une rumeur. Celle d'une femme vivant dans le village sous une autre identité, ayant était accusée dans les années soixante d'avoir assaciné un petit garçon avec un couteau de cuisine lorsqu'elle n'avais que 10ans.

Joanna ne penser pas à mal lorsqu'elle diffuse cette rumeur devant les grille de l'école d'Alfie, car elle essayait en réalité de s'intégrer au groupe des mamans afin que son fils puissent enfin avoir des copains. Car dans son ancienne ville il vivais du harcèlement du au fait qu'il soit metisse. Son père Michael est une personne noire, il est journaliste à New York et c'est un peu le plan cul de Joanna car il n'avais jamais officialiser réellement leurs relation jusqu'à cette fameuse rumeur car celui-ci décide de vivre auprès d'eux afin d'avoir le scoop pour réaliser un livre et monter dans sa carrière.

Finalement cette rumeur par dans tous les sens, créant des problemes dans la vie de Joanna, elle vie même des moments traumatisant et troublant. Elle décide donc d'enquêter sur cette fameuse Sally McGowan. Sans suis une suite d'événement qui changera le cours de la vie de cette petite famille.

Avis :

Ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai tout de même adorée ma lecture. J'ai aimer le personnage de Joanna, un peu mère perdue qui veux tout faire pour que son fils soit le plus heureux. On ressent l'amour maternelle et j'ai adorée. Michael est un vrai journaliste dans l'âme et cela ce ressent néanmoins l'histoire damour entre les deux reste mignonne. L'histoire nous tiens jusqu'à la fin, les événements qui arrivent de toute part nous laisse perdu sur qui est réellement cette Sally, on doute de tout le monde, chacun a des secrets qui pourraient nous faire penser que chaque personne est cette femme rechercher.
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Dans les années 1960, Sally McGowan, 10 ans, tue un petit garçon de 5 ans, Robbie. Elle sera condamnée pour homicide involontaire et non pour meurtre, et une fois sa peine purgée, elle bénéficiera d'un programme de protection – changement de lieu et de nom.

Quelques années plus tard Joanna Critchley et son fils Alfie, s'installe dans une petite ville du bord de mer, Flinstead. Rien de mieux que le calme paisible de cette cité, surtout avec l'absence des contingences de la ville de Londres. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ; quand elle répand une rumeur comme quoi, Sally McGowan serait installée également dans cette petite ville.

Peu importe qu'elle soit vraie ou fausse, et plus la rumeur se développe, plus elle gagne en force. Un danger menace, une meurtrière d'enfant se tapie parmi les concitoyens, il faut l'identifier et la faire partir, pour le moins ! En effet, pour la famille imprégnée de chagrin, d'incompréhension quant au jugement de Sally inadéquat, pour elle : l'injustice perdure depuis des années, à n'en pas douter. Fournir un bon traitement à ces délinquants juvéniles incarcérés restent intolérable. Pardonner l'impardonnable ou crier la vengeance : celle qui nourrit l'âme d'une noirceur infinie, mais qui apaise.

La rumeur qui s'invite, qui enfle, quelle qu'en soit la véracité, peut satisfaire la folie destructrice de la foule : qui s'embrase avec le besoin irrépressible de vilipender, d'annihiler l'autre, de détruire la menace ! Alors la rage de la nuée humaine se calmera dans les effrois de l'injustice. En effet, que faire de la vérité, la rumeur ne suffit-elle pas à elle-même ? Pourquoi attendre les circonlocutions des défenseurs, d'un jury, bref d'un procès, quand la meute hurlante condamne sur le lit de la justice aveugle des on-dit : dotée d'une rage brute et absolue...

En somme, " Lesley Kara " suggère la nécessité d'une tolérance significative afin d'éviter les jugements hâtifs et les conséquences du fanatisme notamment : si tant est que cela soit possible. Un magnifique récit sur un phénomène qui trouve son origine dans la nuit des temps. Enfin, une lecture très agréable, d'autant que le final est vraiment surprenant. En conclusion, " La rumeur " nous délivre le message suivant : il ne faut pas oublier que dans certains cas, les mots ou les paroles peuvent tuer.

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Joanna est la maman du petit Alfie 5 ans, une rumeur cours à l'école qu'une dame Sally McGowan il y a de nombreuses années aurait poignardé et tué un enfant de 5 ans. Joanna décide d'en savoir plus sur cette histoire jusqu'à ce qu'elle soit la cible direct de tweet qui lui sont adressé, la photo de classe d'Alfie est retouché lors d'Halloween de façon à ce qu'il est un couteau en pleins coeur. Joanna devient folle ! Elle va essayé de savoir qui est cette Sally et ce qu'elle est devenue. Mais elle n'est pas au bout de ses peines ! Allant de surprise en surprise, à y risquer sa vie et celle de son fils !
J'ai vraiment bien aimé ce roman, un peu long au début et beaucoup de personnages, j'ai eu du mal à comprendre les liens entre chacun...
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"La rumeur" est le livre idéal à emporter en vacances si l'on est adepte du farniente
. Ce n'est pas mon cas mais étant actuellement dans un état proche de celui de la limace endormie, j'ai voulu soigner mon cerveau avec un livre qui ne réclame pas trop d'efforts intellectuels, celui-ci est donc parfait. il n'en est pas moins intéressant pour autant. J'ai aimé participer à la rumeur alimentée par Joanna.

Sally MC Gowan a été accusée à l'âge de 10 ans d'avoir poignardé un petit garçon de 5 ans. 30 ans plus tard une rumeur est lancée Sally serait venu habiter sous une autre identité bien sûr, sous protection de la police, dans cette petite ville paisible de la banlieue de Londres, Flinstead. Or il suffit d'un tout petit ouï-dire pour que tout s'enflamme.
Joanna, jeune maman revenue depuis peu dans sa ville natale avec son fils de 6 ans s'empare de cette rumeur pour la colporter et ainsi espérer être intégrée dans le groupe des jeunes mères et ainsi permettre à son fils Alfie de ne plus être rejeté par ses camarades. Mais voilà, la rumeur prend des proportions inattendues et elle se retrouve en danger...
Ce thriller psychologique est je me répète, idéal pour penser à autre chose sans trop se fatiguer. On est pris dans l'histoire car nous aussi, on veut savoir qui parmi toutes ces jeunes femmes est cette fameuse Sally. On se laisse porter jusqu'à la fin, fin qui peut en surprendre quelques-uns, moi la première évidemment !
Voilà un petit livre qui va se retrouver dans une boîte à livres et qui devrait circuler aussi vite qu'une rumeur...
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Joanna a choisi de revenir vivre au bord de la mer où elle a grandi, pour soustraire son fils Alfie au harcèlement dont il est la victime dans son établissement scolaire londonien. C'est donc devant sa nouvelle école, en papotant avec des mères d'élèves à la langue bien pendue et à l'imagination fertile que naît la rumeur : la communauté abriterait à son insu Sally McGowan, qui a l'âge de 10 ans fut une enfant meurtrière. Après avoir été condamnée à une privation de liberté de 21 ans, elle vivrait paisiblement à Fleanstead, dans une propriété prêtée par le gouvernement sous la protection de la police, et sous une nouvelle identité gracieusement offerte par la justice pour se la couler douce. Il s'agit d'une information sûre puisqu'elle a été rapportée par l'ami d'un ami qui connaît quelqu'un qui a eu des contacts avec un ancien policier qui a failli avoir le dossier de l'affaire entre les mains, c'est dire ! Par bêtise ou pour se rendre intéressante, Joanna colporte le ragot sans en mesurer les conséquences auprès de ses copines qui s'occupent toutes affaires cessantes de sa mise sur orbite...


Lesley Kara est une nouvelle venue dans le monde du thriller et impose d'emblée son coup de patte personnel. Les mécanismes de la propagation d'une rumeur et les dégâts commis sur sa trajectoire, ainsi que le sort réservé aux enfants meurtriers sont des thèmes peu exploités dans les thrillers. L'auteure réalise un bon travail de dissection et explique bien comment à partir d'une spéculation basée sur l'ignorance et la haine, des justiciers auto-proclamés, des chasseurs de sorcières, projettent ce qu'ils croient savoir d'un pseudo-coupable sur un bouc émissaire, s'appuyant sur une présomption de culpabilité, et déniant à ceux « qui ont payé leur dette à la société » le droit à l'oubli et à la prescription, inscrits dans la législation de tout Etat de droit.


Il s'agit d'un premier roman prometteur qui rappelle que ceux qui sont victimes de ces poisons qui se répandent dans l'air, perdent souvent leur maison, leur emploi, leur réputation, leur tranquillité d'esprit. Ne l'oublions pas : les rumeurs tuent.
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J'ai aimé ce roman, mais certaines incohérences m'ont embêtée. D'abord, comment se fait-il que la rumeur sorte comme ça de nulle part, alors que, par la suite, ceux qui tentent de savoir quelle habitante de la ville est Sally s'en prennent à une personne y résidant depuis longtemps?

La romancière montre l'impact que peut avoir une rumeur, surtout sur ceux qui en sont la cible alors qu'ils n'ont aucun rapport avec ce dont il est question.
[...]
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La fin justifie-t-elle les moyens ?
.
La question se pose à plusieurs égards, dans cette histoire.
Joanna veut que son petit garçon s'intègre à l'école, certes, mais son idée pour se faire bien voir des autres mères n'est pas des meilleures. C'est même carrément con, vu les réactions suscitées.
Michael espère écrire un livre et a une idée de scoop, mais lui aussi, il chausse les gros sabots. Hep, les journalistes qui travaillez sur des faits divers sordides, bonjour ! - même si je ne suis pas la dernière à les lire (mélange de fascination & répulsion, mea culpa, j'ai honte après, je culpabilise même avant, le temps que l'ordi mouline pour ouvrir le lien)...
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Ce thriller manque de subtilité : Joanna apparaît plutôt idiote et gaffeuse, mais ça existe dans la vraie vie, des gens qui vous demandent des comptes alors que vous les connaissez à peine et que vos agissements ne les concernent pas (cf. webcam). L'auteur multiplie les pistes, au risque de nous perdre dans ses personnages. Et la fin action/suspense est bien lourde, aussi.
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Sujets appréciés, en revanche : protection de témoins, identité, mensonges par omission ou révélations que l'on remet à plus tard pour protéger ses proches... Et évidemment, comme l'indique le titre, ravages de la rumeur, proportionnels sans doute à la taille de la ville.
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Si vous pensez que les enfants tueurs sont des monstres qui ne méritent pas d'être réinsérés et protégés, ne tapez ni 1 ni 2, ni sur eux, mais lisez ces ouvrages intelligents & poignants :
'L'Affaire Jennifer Jones', de Anne Cassidy
'Une si jolie petite fille', de Gitta Sereny.
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Joanna s'est rapprochée de sa mère en retournant vivre dans la petite ville de son enfance, mais pas que...
Elle l'a surtout fait pour son fils qui était harcelé dans son école londonienne. Et le résultat, c'est qu'il n'est pas mieux intégré dans celle-ci...
Alors, pour s'attirer l'attention, la sympathie des autres mamans de l'école, faire son "intéressante", Joanna va répéter un truc qu'elle a entendu, à savoir qu'une meurtrière d'enfant, des années 60, Sally McGowan, aurait trouvé refuge dans leur petite ville sous une autre identité , protégée par la police. Et Joanna, réussit son coup, invitée, elle sera obligée de répéter son histoire , et la rumeur va naître.
Et le père de son fils (“son plan Q”), journaliste, va flairer une bonne idée d'article, voire une idée de livre..

Dés le début, on pressent qu'il sera difficile, pour nous lectrices, d'aimer ou de comprendre Joanna... Un personnage qui ne se mélange pas aux autres mamans, qui parle à tort et à travers...
Oui, mais peu à peu , on va la comprendre ; reste que c'est difficile de rentrer dans un roman avec comme personnage principal quelqu'un d'un peu ambigu.

Pour un premier roman, Lesley Kara s'attelle au sujet peu banal des enfants meurtriers, à la façon dont la société va s'en occuper , les réinsérer (centre de rééducation, études, protection, nouvelle identité ).
Et parallèlement, à ce qui est mis en place pour les familles de victimes, c'est à dire : rien....
Sujet pas facile, parce qu'une gamine de dix ans qui tue, et qui a eu jusqu'au drame, une vie affreuse, sans que les services sociaux s'en préoccupent, forcément ça interpelle....
Et la famille de la victime qui subit toutes les retombées juridiques, médiatiques sans soutien, alors que l'auteure des faits, a vu la société lui accorder une deuxième chance, forcément ça touche aussi, de sorte que la lectrice ne sait plus de quel côté va son coeur, et cela est très bien géré de la part de l'auteur .
Et quand là-dessus, se superpose une histoire de rumeurs, puis une enquête, le suspens s'installe.
Dommage que la fin soit aussi rocambolesque. J'aurai préférée une fin différente, une autre Sally McGowan.
Mais je dois dire que je n'ai rien deviné, Lesley Kara m'a bien baladée !

Intéressant, instructif sur les procédures, original , ce roman me laisse une impression de “sables mouvants”, qui n'est pas pour me déplaire...
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Mon avis :

N'avez-vous jamais lu de livres dont la première moitié est un flop total tandis que la seconde moitié est un coup de coeur ? C'est exactement ce qui m'est arrivé avec " La rumeur " de Lesley Kara et je vais tâcher de vous expliquer pourquoi.

Dans ce roman, nous sommes en Angleterre et nous suivons Joanna qui a décidé de revenir vivre dans la petite ville côtière de son enfance avec son fils et de quitter Londres où celui-ci subissait le harcèlement incessant de ses camarades. Un jour, alors qu'elle attend Alfie à la sortie de l'école, elle surprend une conversation d'autres mamans qui évoquent le fait que Sally MacGowan, accusée du meurtre d'un petit garçon il y a des années alors qu'elle n'avait que 10 ans serait revenue vivre dans la région incognito sous un faux nom.

Il n'en faut guère plus pour que, dans une petite bourgade où tout le monde se connaît plus ou moins, la rumeur se répande comme une traînée de poudre. Qui cache donc ce terrible secret ? Quelle femme pourrait correspondre à cette rumeur ? La petite ville s'embrase et tout le monde commence à soupçonner tout le monde. Puis, l'autrice prend un virage et nous embarque sur le sujet passionnant des enfants tueurs. Qui sont-ils ? Sont-ils des psychopathes ? Sont-ils des victimes ? Sont-ils réellement coupables ? Peut-on leur pardonner ?

Comme je vous le disais au tout début de cette chronique, la première moitié de ce roman a été un flop total pour moi. Je me suis ennuyée comme jamais en suivant la rumeur qui se répandait lentement à travers la ville. Je baillais à chaque page. Puis, lorsque l'autrice a opéré son virage à la moitié du roman, j'ai été complètement embarquée et je ne l'ai plus lâché jusqu'à la fin. J'ai vraiment adoré cette deuxième partie qui a même été un coup de coeur. Quant à la fin, je vous mets au défi de la deviner. Pour ma part, je n'ai rien vu venir et je me suis prise une claque phénoménale en la découvrant.

Merci aux éditions Les Escales pour cette découverte.
Lien : https://myleunelectures.blog..
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bonjour petit compte rendu de "La rumeur " de Kara Lesley. Belle surprise lors de cette lecture même si la1ere partie m'a parue un peu longue, mais il fallait faire connaissance avec les personnages et l'histoire de la RUMEUR intrigue bien menée des chapitres courts.
Une personne lance une rumeur et il ne fallait pas plus que tout le monde doute surtout le monde. Et une 2eme partie plus intense et où l'angoisse et la vérité s'installent (j'ai beaucoup plus aimé) Suspens,rebondissements règnent dans ce roman.
Amour,cachotteries,non dits, liens familiaux, ragots, vengeance sont les lignes de ce roman psychologique avec un fin qui ....... mais pour cela je vous laisse lire LA RUMEUR. mais comme je dis tout ceci n'est que mon avis personnel
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