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3,22

sur 381 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je suis déçue, voir même plus, parce que j'avais tellement aimé les visages.
Je commence donc jusqu'à la folie impatiente et pleine d'espoir. J'accroche dès le début, je veux absolument savoir... et puis très doucement ça vacille, je commence à me poser des questions, je ne comprends pas où l'histoire va, en fait je ne comprends pas grand chose et je cherche désespérément le thriller, je continue quand même. Mais plus je tourne les pages, plus les 'et sinon' 'et donc' 'mais encore' s'accumulent et moins je me plait à lire, moins je veux savoir la suite, la fin.
Finalement, je referme le livre à la page 224, ça fait une semaine qu'il me regarde sur ma table de nuit et je n'ai même pas envie de le rouvrir.
Dépitée, je laisse tomber.
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Aïe!
J'ai dû me faire violence pour le finir.
Il m'a fallu du temps pour ne plus me sentir obligée de finir un livre mais, avec le temps et de la volonté, j'ai réussi à passer ce cap.
Alors pourquoi m'être fait violence pour terminer celui-là ?
L'espoir, un petit espoir que la fin s'animerait et me ferait oublier les 150...200...250...375 premières pages sur les 376 au total et bien non.
Jusqu'au bout, je n'ai pas accroché.

Pourtant, c'était prometteur.
Tout d'abord, le premier livre de l'auteur, Les Visages que j'avais apprécié.
Raison pour laquelle je souhaitais lire celui-ci malgré la quatrième de couverture assez énigmatique.
Ensuite, en commençant la lecture, l'idée me tentait : un étudiant en médecine sauve une femme qui se fait agresser dans la rue. Après cela, elle décide de le retrouver, ils s'apprécient, une histoire d'amour commence mais cette femme semble cacher quelque chose.

Mais, là où cela se gâte, c'est lorsque je commence à lire les premières pages. Déjà là, j'aurai dû me méfier.
Le style m'a semblée trop fouillis, confus, passant du coq à l'âne sans vraiment de liaison et finalement je m'y perdais.
J'ai eu cette sensation dès le départ et je l'ai retrouvé dans certains passages du livre.
Pourtant, je n'ai pas eu le souvenir d'avoir eu des difficultés de compréhension pour le premier livre de l'auteur.
Deuxième problème rencontré, l'intrigue générale.
Comme je le disais plus haut, la quatrième de couverture reste pour le moins obscure sur l'histoire. Ce n'est pas un problème en soi puisque cela permet d'avoir la surprise pendant la lecture.
Sauf que cette dernière n'était pas à mon goût. Je me suis aperçue que les histoires (jouons le jeu et ne dévoilons pas le thème principale de ce livre) n'étaient pas ce que j'aimais car je trouve que cela prend trop de temps à se mettre en place.
Etant une histoire qui se tisse petit à petit, les choses sérieuses ne commencent vraiment que tardivement dans le livre.
Je préfère quand nous rentrons directement dans le vif du sujet.
Ce qui m'amène à mon troisième point : trop peu d'action, de suspens, de rebondissements.
Je suis arrivée à la moitié du livre et j'avais l'impression que j'en étais encore au début, à la présentation au lieu d'être au coeur des événements.
J'ai continué en me disant que la fin serait peut être surprenante, animée et ça n'a pas été le cas.

Je fais une critique un peu dure peut-être mais, pour finir sur une note positive, en mémoire du bon moment que j'ai passé en lisant Les Visages, je tenterai de lire les livres qui ont suivi celui-ci en espérant retrouvé le plaisir de découvrir les écrits de Jesse Kellerman.
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Quel roman décevant, le résumé de la quatrième de couverture me faisait tellement envie... c'est une grande déception pour ma part, le libraire à qui j'avais acheté ce livre m'avait dit qu'il lui avait beaucoup plût, je l'ai donc écouté, et je l'ai acheté. La prochaine fois, je me méfierais des premières impressions, et je me renseignerait un peu plus sur le livre que je veux acheter.

Le début du livre est long à démarrer, c'est un peu, pour faire un jeu de mots, "la folie" dans les premières pages, tout est embrouillé. On ne comprend pas toutes les scènes, tout ce mélange, s'entrelace et forme un gros bloc d'informations et de descriptions difficiles à retenir. Puis viennent les longs passages barbant et ennuyeux à lire, un flot d'informations qui ne servent à rien pour la construction du livre. Jesse Kellerman a essayé de créer une intrigue, mais il a vraisemblablement échoué, car même si l'atmosphère du livre était assez angoissante,

Ce n'est qu'à partir de la moitié du roman lu, voire aux derniers chapitres, que l'histoire a vraiment commencée à m'intéresser. Puis, la fin est arrivée, avec une nouvelle déception. Ce dénouement n'est pas spectaculaire, il est plutôt prévisible, sans grand intérêt...

Jusqu'à la folie est avant tout un roman psychologique basé sur l'étude des comportement des différents personnages. le protagoniste est un jeune médecin, très naïf, vraiment mou, m'a particulièrement ennuyé... Ensuite, Eve, ne m'a pas effrayé, mais elle inspire la pitié et le dégoût.

Je me suis accrochée pour mener un terme à ma lecture, il a fallu que je me force à finir ce livre. Malgré un style d'écriture qui semblerait plutôt simple à lire, je me suis senti mal à l'aise tout au long du récit, comme oppressée par ma lecture, ou en dehors de celle-ci...

Le thème de ma pas plût et les personnages ne sont pas attachants. Malgré une atmosphère oppressante, l'histoire est plate, sans rebondissements.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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Je suis un peu déçu par ce livre! Après tout le tapage fait autour "Des Visages", que je n'avais pas lu, je m'attendais à avoir un choc. En fait j'ai tout d'abord été déçu par le style, qui, bien qu'efficace, est somme toute très ordinaire. L'histoire ne m'a pas beaucoup surpris et j'ai trouvé les personnages convenus et caricaturaux. On peut donc très facilement passer son chemin sans grands regrets.
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Un titre prometteur mais un contenu qui m'a laissée sur ma faim...
Pas trop crédible à mon goût sans compter quelques longueurs qui rendent l'intrigue pas vraiment folle pour le coup...
Je préfère largement les livres du père, Jonathan Kellerman.
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Jonah, etudiant en médecine surmené par des gardes de nuit qu'il enchaine, se porte au secours d'une jeune fille qui se fait agresser dans la rue devant lui et tue son agresseur.
La victime, qui porte le nom évocateur Eve, éperdue de reconnaissance, lui offre tout son amour et envahit peu à peu sa vie pour s'approprier toute sa personne. Elle lui fait découvrir ses pratiques sexuelles sado-masochistes habituelles et Jonah constate avec horreur que l'homme qu'il a tué ne faisait que prendre part au jeu que Eve lui avait imposé.
L'emprise que Eve exerce sur lui devient de plus en plus pressante et elle finit par s'en prendre à Hannah, amie du jeune homme atteinte d'une grave maladie mentale ...
On ne peut lâcher ce livre avant la fin car il est impossible de ne pas être fasciné par cette description de l'emprise qu'un individu perturbé peut exercer sur une autre personne. Toutefois ce roman est bien loin d'égaler en qualité "les visages" premier roman de Kellerman qui était vraiment excellent
J'ai été plutôt déçue par ce second livre car je trouve que la psychologie des personnages aurait mérité davantage de développement et si cette bonne intrigue avait été présentée avec davantage de finesse , le roman n'en aurait été que plus glaçant et aurait davantage touché ses lecteurs
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de longueur en longueur, je ne sais pas pourquoi je me suis obstiné à le lire jusqu'au bout,pour ma part il ne pas plu ,une histoire qui se déroule sur beaucoup de page pour raconter peu de chose
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Ça a failli être très intéressant ! cette histoire d'un jeune étudiant en médecine, harassé de fatigue, trimant comme un esclave dans un hôpital en tant qu'externe en chirurgie, donc taillable et corvéable à merci pour tous les médecins, qui, en sortant du boulot à trois heures du matin, épuisé, souillé du sang du malade qu'il assistait en salle d'opération, voit ou croit voir en traversant Central Park une scène de violence (une jeune femme attaquée par un type tenant un couteau) et agit en conséquence, c'est à dire en défendant la jeune femme et tuant accidentellement son agresseur, avait tout pour laisser présager un développement alléchant ! Hélas, il n'en est rien....
Et c'est d'autant plus dommage que l'ouvrage contenait plein de promesses !
D'abord la description sans fioritures (et bien documentée) du parcours éprouvant de l'étudiant en médecine et ses rapports difficiles avec la hiérarchie,
ensuite l'évocation d'une jeune femme fragile et schizophrène, dont on ignorera trop de choses !
enfin le portrait d'une Eve manipulatrice, plutôt bien campé, mais inabouti ...
Plein de promesses, donc, et plusieurs pistes, mais aucune dont le développement permette de dire que l'analyse a été, non pas menée à terme, ce qui concernant la folie paraît impossible, mais abordée avec un véritable souci de mise en évidence des paramètres pouvant expliquer le comportement des individus ... et pourtant l'étude de la folie ouvre la porte à tant de spéculations !
Le lecteur reste sur sa faim, ce qui est d'autant plus regrettable qu'il aurait pu y avoir au bout du compte, sinon un chef d'oeuvre, du moins un ouvrage bien documenté sur la folie, ses causes, ses manifestations et ses aboutissements !
Jusqu'à la folie ..... hélas, non !
Dommage ... mais il convient que chacun se fasse sa propre opinion !
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Je connaissais vaguement Jesse Kellerman pour avoir entendu parler de son premier livre, Les visages, que j'ai bien envie de lire. Cependant, c'est Jusqu'à la folie qui m'a interpellée par son titre, mais aussi par son résumé accrocheur.

Jonah Stem, étudiant en médecine, vient de finir son service et rentre chez lui. Il est tard, il fait nuit noire, et il aperçoit au détour d'une ruelle une jeune femme en train de se faire agresser.
En volant à son secours, Jonah tue accidentellement l'agresseur, et devient malgré lui le nouveau héros local. La procureure, elle, se demande si son geste était vraiment dénué de tout intérêt...

Tout ça m'a bien sûr donné très envie de le lire, mais en fait j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. Mon principal problème, ça a été que j'ai trouvé le résumé de quatrième de couverture plutôt mensonger. Mis à part trois ou quatre personnes, personne ne reconnaît vraiment Jonah, pour un héros local, peut mieux faire quand même... J'ai également eu du mal avec tout le vocabulaire médical utilisé dans ce livre. Un peu, ça passe, mais là j'ai frôlé l'indigestion...

A part ça, je ne peux pas nier qu'il s'agit malgré tout d'un bon roman. Certes, pendant un bon moment, je me suis demandée où l'auteur voulait en venir.
Jonah entame une relation intime avec la victime de l'agression, Eve Gones, et je me demandais en quoi cela pouvait bien servir l'histoire. Je ne voyais pas non plus pourquoi c'est ce titre qui avait été retenu, car mis à part la menace d'un procès brandie par la famille de l'agresseur, la vie de Jonah n'a rien d'une descente aux enfers.
Et pourtant, il suffira d'une simple scène pour que tout s'éclaire... Et à partir de là, j'ai littéralement dévoré le reste de ce roman sans plus pouvoir le lâcher (ou presque)...

J'ai aimé découvrir les zones d'ombre de la personnalité d'Eve, l'atmosphère glauque de sa relation avec Jonah, la montée crescendo de la violence... C'est un roman étouffant, sombre, où l'on voit que les plus fous ne sont pas ceux que l'on croit, et que certains mériteraient bien plus que d'autres d'être enfermés!
Ce que j'ai apprécié plus que tout, c'est qu'il s'agit en fait d'un thriller psychologique, sur le thème du harcèlement, tant moral que physique, et sur les ravages qu'il peut provoquer. C'est violent, parfois même sanglant, mais j'ai envie de dire que ce côté m'a paru légitime, au vu de la personnalité d'Eve.

Pour terminer, la fin: certes je m'attendais à l'ultime rencontre, je pensais même qu'elle aurait eu lieu plus tôt dans l'histoire, mais son traitement m'a quelque peu déçue.
Je m'explique: je suis d'accord avec cette fin, je la trouve bien écrite, mais contrairement à l'auteur ce n'est pas le personnage que j'aurais choisi comme acteur principal pour cette scène. Je pensais vraiment que Jesse Kellerman tirerait autre chose de cette confrontation. Mais ça, ce n'est que mon avis personnel!
Lien : http://pinklychee-millepages..
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Suis-je la seule à avoir été déçue par ce second roman ? Bien que la plume de Kellerman reste pointue et aiguisée, j ai trouve l intrigue évidente, le dénouement cousue de fil blanc.c est une lecture agréable dans le train mais qui n arrive pas à la cheville "des visages". C est bien dommage. Par contre j ai grandement apprécié d être plongée dans l univers de la médecine, du cynisme des chirurgiens et de l humour noire que l auteur nous apporte à travers son étudiant en médecine.
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