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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Nous voici donc a la fin des aventures d'Alice Burns, fin temporaire si l'on en juge par la mention « à suivre» qui vient refermer ce troisième tome.

La période Irlandaise s'est tragiquement terminée et Alice devra faire un deuil en ne comptant que sur elle même et surtout pas sur sa mère qui a bien des problèmes à résoudre et pour laquelle il est même dangereux de se pencher sur ceux de sa fille sans la blesser, sans compter sur son père, ni sur l'influençable Adam, son jeune frère, ni sur Peter l'aîné, qui n'a pu qu'observer ce dont les hommes sont capables, et s'est trouvé confronté à la violence, la torture, la perte d'êtres chers.

Malgré quelques longueurs parfois, ce troisième volet amène le lecteur à poursuivre la route auprès d'Alice, à côtoyer les acteurs de sa reconstruction, à analyser les relations qu'elle entretient avec les personnes qu'elle rencontre et la façon dont elle communique dans une société dont le principal souci est l'argent et le pouvoir par l'argent. On y retrouve comme dans les autres romans de Douglas Kennedy, une critique de la société américaine.

Ce troisième tome m'a malgré tout moins emballée que les deux premiers, lenteur dans l'action sauf peut-être à la fin. J'attends tout de même le quatrième tome par curiosité pour savoir ce que deviendra Alice et son entourage.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Des trois livres, au final, c'est le second que j'aurais préféré, peut-être parce que l'action se déroulait en Irlande. J'ai été peu enthousiasmé par la première moitié du tome 3 mais la seconde moitié est forte, prenante et rattrape l'ensemble. Ça reste, tout de même une saga que je conseille.
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À mi parcours du volume trois, je m'ennuie un peu. Alice se reconstruit à son insu, à son corps consentant en couchant avec un vieux et en tombant amoureuse d'une occasion ancienne. Sinon rien, de la cigarette à gogo, de l'alcool à flots comme d'habitude et de l'homosexualité bien pensante. Trop américain faussement relax, j'espérais mieux après une tome deux d'excellente facture. Je reviens pour confirmer ou infirmer cette impression half time. La suite vire au mélo guimauve dans le dernier quart de cette chronique familiale désastreuse. L'obsession de la réussite, le fric, le sexe, la superficialité, en toile de fond, composent un portrait lucide et moche des États-Unis, pays de natifs déboussolés. Dommage que le talent de l'auteur se dissolve dans le manque de ressorts narratifs.
J'ignore si je m'intéresserai au quatrième épisode, par curiosité peut-être, en feuilletant le volume dans une bonne librairie.
Lien : http://cinemoitheque.eklablo..
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Cette trilogie , avec des hautes et des bas, est tout de même interessante, elle permet, entre autres, de rafraîchir notre mémoire sur des pages importantes de l'histoire ( Etats-Unis, Chili, Irlande) le côté romanesque nous prend aux tripes dès le début et concernant le personnage féminin, le ton est vrai, juste et plein de tendresse. Il confirme, une fois de plus, l'indéniable côté féminin de ce grand écrivain, qui nous autorise nous ses fidèles lectrices, à affirmer qu'à l'aimer nous avons bien raison.Les trois volumes se lisent d'une traite avec bonheur, tristesse et aussi larmes et en lisant la dernière page on éprouve juste la terrible frustration de ne pas poursuivre encore un bout de chemin avec ces personnages, qui au fil des pages sont devenus si chers à nos coeurs.
Lien : https://www.babelio.com/ajou..
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J'ai préféré cette troisième partie à la précédente. Ici, la narratrice ne m'a pas cassé les pieds, j'ai compris ses choix, ses craintes, ses hésitations... Je l'ai trouvée plus nuancée, moins égoïste, moins prompte à juger tout en n'étant pas irréprochable. Par exemple, elle souffre de ce que lui fait sa mère, mais ne décide pas d'exclure cette dernière de sa vie. Tout au long de cette partie, Alice m'a semblé faire ce qu'elle pouvait avec les cartes qu'elle avait.

Encore une fois, j'ai été plus indulgente envers sa mère qu'envers son père. Sa mère reconnaît ses torts, finit par trouver le courage de faire quelque chose, est prudente lorsqu'il s'agit de prendre une certaine décision... le père d'Alice ne cesse de dire et faire des choses répréhensibles, son repentir est toujours grandiloquent, et sonne faux. Il se fustige à grand renfort de mots très durs et de grosses larmes, ce qui ne l'empêche pas de recommencer à dire et faire d'autres choses répréhensibles, et à refuser vertement les conseils...
[...]
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