Kennedy DouglasLes désarrois de Ned Allen
Après avoir ramer dans pas mal de boulots, il trouve sa place dans une publication informatique. À force de travail, il en devient directeur marketing.
La firme est rachetée par une firme allemande, tout le monde panique pour son emploi. le représentant le prend à part et lui promet la direction générale de la société. Ce soir-là heureux, il boit assez bien et fatalement se retrouve dans les bras d'une secrétaire, elle aussi apeurée du futur. le week-end se passe et quand il arrive le lundi matin, son badge est refusé et il apprend que la société est déjà revendue, donc plus de direction en vue ; elle est rachetée par le groupe concurrent. Il croise le représentant allemand et de rage lui fracasse le crâne, il ne sera pas poursuivi mais cela va le poursuivre pour longtemps. de plus il avait eu une altercation avec un gros client potentiel qui, lui se retrouve dans la nouvelle société ainsi que son ancien patron. Lui et plusieurs autres sont sur le trottoir. Il va pendant quelques semaine voir un drh et chasseur de tête. Mais chaque fois que quelque chose lui est proposé, on a déjà prévenu de son côté revanchard et bagarreur et c'est ce Peterson qui le saque à chaque fois.
Il est au bord du gouffre, surtout qu'après son escapade, son épouse veut divorcer.
Il trouve un de travail, mais du télétravail qui ne paie rien et vu le coût de la vie à New Yorl ce n'est pas le dixième du quart du minimum qu'il lui faut.
Par hasard il retrouve un ami, Jerry qui lui propose de loger dans un loft qu'il n'occupe guère et lui fait miroiter un super boulot. Une nouvelle société que lui et son big boss viennent de créer, soi-disant, Excalibur, des fonds de placements. Il se retrouve dans un mini bureau, lance des appel, mais rien. Jerry lui demande d'aller à Miami, puis à Nassau porter une mallette. Il discute un peu avec le banquier et se rend compte qu'il y a quelque chose de pas logique.
Mais étant donné qu'il n'a rien d'autres, il poursuit mais demande quand même ders renseignements pour les succursales de cette société. Ce sont des boites aux lettres. Il voudrait des explications mais Jerry s'y refuse et surtout il doit garder le silence sur le vrai boss (faux aussi) qui est un magnat reconnu partout.
Lors d'un lunch il se retrouve nez a nez avec Peterson et la une altercation et il part.
Par la suite deux individus le kidnappe et l'oblige à conduire la voiture de Peterson qui est à l'arrière ivre mort après ce lunch. Au passage à niveau un des deux malfrats sort le corps et le dépose sur les rails du train et s'en vont. Il fait de même, effrayé. À partir de là il s'inquiète sérieusement surtout que Jerry lui fournit en deux temps trois mouvement des alibis pour ce jour-là.
Il doit poursuivre ses allez retour Miami Nassau avec une mallette remplie de cash, et commence sérieusement à s'intéresser à ce qui se passe. Il vit sous la menace que ce serait lui d'après les témoignages et son altercation avec Peterson qui l'aurait tuer.
La suite super géniale, mais à découvrir.
Au début du livre j'ai pas tellement accroché, des téléphones, des demandes de contrats, des publications, le début est lent, très lent et ne semble pas donner beaucoup d'intérêt mais alors cela s'emballe et là impossible de s'arrêter. Une histoire géniale, un déroulé super et une apothéose aussi forte qu'inattendue.
Un bon Kennedy