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3,67

sur 1129 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ned, un personnage que tout le monde aimerait devenir, moi y compris. Cette personne est au sommet de son art, il marié à une certaine Lizzie, habitant dans l'un des plus beaux pays du monde. Mais l'une des choses les plus importante dans la vie de cet homme, c'est son métier. Oui Monsieur Allen est un personnage qui travaille dans la publicité. Il est très important et respecté dans le monde de l'informatique. Adulé dans son entreprise et dans sa profession, il travaille pour un magazine appelé "Compuworld".
Tout se passe bien dans la vie de cet homme jusqu'au moment où tout va basculer, lors de la finalisation d'un contrat effectué avec une grand enseigne. Sa vie va changer. La vie de Ned va prendre des horizons dont il n'avait jamais imaginé. Il va à la fois mettre en péril son avenir professionnel mais aussi son mariage.
La question que l'on doit se poser est la suivante; "comment cet homme tant apprécié va t-il partir autant à la dérive?"

Mais je vous rassure, vous n'êtes pas au bout de vos surprises....

J'en suis à mon quatrième roman de cet auteur et à chaque fois je me pose la même question : "Va t-il arriver le jour où je vais être déçu par l'un de ses livres"...Je ne l'espère pas. Surtout qu'encore une fois, j'ai adoré ce livre. Je me suis attaché aux personnages et à l'histoire de Ned et de Lizzie. Je me suis même beaucoup identifié au personnage de Ned vu que son domaine est les nouvelles technologies. J'en suis moi-même passionné et j'aimerai en faire mon métier.
Comme au début de chacun de ses livres, Douglas Kennedy passe beaucoup de temps à donner énormément de détails, cela peut paraître de temps en temps trop, mais dès que l'intrigue commence on ne peut plus s'arrêter de lire. On a envie de connaître la suite, de voir comment le personnage va s'en sortir.
J'ai quand même était un peu déçu de la fin du livre au niveau de son avenir professionnel. Nous restons dans le flou même si je me fais ma propre idée concernant la suite.
Encore une fois, cet auteur à vraiment une imagination débordante. Et ayant lu désormais plusieurs de ses livres,je peux le dire maintenant "Monsieur Kennedy vous êtes mon auteur préféré.
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Excellent roman ! Passionnant de lire ce que peut être la vie dans une entreprise new-yorkaise ! Palpitant ! le meilleur Douglas Kennedy.
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Ned Allen a tout pour cette heureux: un travail épanouissant dans un magazine informatique, une femme belle et amoureuse et un superbe appartement à Manhattan.
Ned s'est battu depuis son adolescence pour sortir de la médiocrité dont il affuble ses parents. Son unique ambition était de vivre à NYC et de devenir riche, pour cela il était prêt à tout. Il va apprendre que dans un monde où tout file à 1000 à l'heure et où les carrières se font et se défont en un claquement de doigts, son pire ennemi n'est autre que lui-même !! Son "complexe de provincial" et son "esprit de compétition exacerbé" (comme il le dit lui-même...) vont le conduire dans une chute sans fin !

Voilà je viens de finir le dernier douglas Kennedy de ma pal (je ne pensais pas avoir une telle collection 😅) et une fois de plus sa plume m'a embarquée et jai eu énormément de mal à m'arrêter !
Merci Monsieur Kennedy pour toutes les émotions que vous m'avez procuré (et pour celles à venir !) Vous garderez toujours une place de choix dans ma bibliothèque 🥰
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82/100 Douglas Kennedy « Les désarrois de Ned Allen » 379 pages
Enorme coup de coeur pour mon 3ème roman de Douglas Kennedy (j'avais bien aimé « Une relation dangereuse » bien que je lui avais trouvé un air de « déjà vu » et adoré « Les charmes discrets de la vie conjugale »).
Ce roman est captivant, passionnant, addictif ! Et pourtant, je partais avec l'idée qu'il n'allait pas forcément me plaire car il se déroule dans le milieu des vendeurs de pages de pub dans les revues informatiques. C'est en effet le métier du héros (devrais-je dire « anti-héros ?) et il le fait avec brio. Il est l'un des vendeurs les plus brillants de sa profession. Marié à une épouse aussi belle que talentueuse qui l'aime autant qu'il l'aime. Alors, comment tout a-t-il pu déraper ? Simple hélas : sa boite est rachetée et son équipe est limogée. La plupart retrouve aussitôt du boulot, sauf lui. Car pour sauver un de ses employés du chômage, il a eu recours à un chantage sur un gros clients qui n'a pas du tout, mais alors pas du tout apprécié. Et une fois licencié, Ned subit la vengeance haineuse de l'individu. Et comme il vit très largement au-dessus de ses moyens, Ned est bien vite pris à la gorge. Commence alors une véritable descente aux enfers.
Le récit est rythmé, le roman parfaitement documenté et le personnage de Ned parfois agaçant, souvent attachant. J'ai été avec lui, à ses côtés durant tout le roman et j'avais envie de lui dire « non, pas ça. Fais attention ! ». C'est vous dire à quel point le roman est vivant, haletant. Un suspense jusqu'aux dernières pages. Alors certes, il faut une centaine de pages parfois un peu ardue dans les détails, mais à la manière de Stephen King dans un autre genre, Douglas Kennedy crée une atmosphère, un monde dans lequel on entre peu à peu.
Vraiment un auteur qui va entrer dans mon top 10 de mes favoris !
Et vous, appréciez vous cet auteur ? Quel est votre roman favori ? Lequel/lesquels conseillez vous ?
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Ned Allen est un gagneur. Responsable de la vente des espaces publicitaire du nouveau fleuron de la presse informatique, il est marié à la remarquable (belle, intelligente, etc…) Lizzie, attachée de communication dans un grand cabinet New-Yorkais. Ned est malgré tout un chic type, humain, réglo, attentif à la souffrance des autres, ce en quoi il diffère des cadres dirigeants dont il se rapproche à vitesse grand V. Mais tout va s'écrouler, sans demi-mesure : après avoir balancé son poing dans le faciès de l'actionnaire principal suite à un coup pendable de ce dernier, il se retrouve assez vite dans une merde noire, à la rue, sans boulot et largué par sa femme, tout en conservant cependant quelques fidèles amitiés. Peut-on tomber plus bas ? mais oui ! Ned se fait brancher par un ex copain de promo pour assurer le décollage d'un fond d'investissement dans les nouvelles technologies, dans un contexte plutôt flou. Bref, très vite, Ned se trouve acculé à de très basses besognes par de belles ordures prêtes à tout, notamment au meurtre.

Le style de Kennedy est excellent, les dialogues percutants, et la traduction de Bernard Cohen étincelante. La satire du milieu ultra speedé des protagonistes développée dans le première partie du roman est en tous points remarquable. On rentre dans un pur thriller aux deux tiers du roman, et l'accélération brutale donnée à l'intrigue nous rive littéralement aux mésaventures de Ned. Seul petit reproche : la fin est un peu vite expédiée à mon goût, et manque un peu de vraisemblance (le grand méchant loup capitule un peu trop facilement)… mais ça peut encore se discuter. Presque un chef d'oeuvre, dans le genre.
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Le livre commence sur une histoire des plus banales avec un homme marié qui connaît quelques déboires dans sa vie conjugale et une vie professionnelle relativement intense comme responsable de la vente d'espaces publicitaires pour un célèbre magazine d'informatique.
Après 80 pages difficiles de digestion d'entreprises commerciales, de noms, le ciel s'éclaircit et laisse place à un triller, certes romancé, mais très bien amené.
Si l'on voit assez facilement la descente aux enfers, l'auteur ne laisse rien paraître du comment ?
La volonté de Ned Allen le pousse dans une chronologie de l'histoire qui nous entraîne aux files des pages dans la quête de savoir comment le protagoniste va s'organiser pour s'en sortir.
Un très bon triller sur le business new-yorkais où l'on passe de rebondissement en rebondissement, pour ne pas dire de paliers de l'enfer en paliers de l'enfer et qu'on a envie de tendre à Ned Allen la main.
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Un SUPER livre
Je n'aime pas dans mes critiques dérouler l'histoire, le résumé étant largement suffisant
C'est l'histoire qu'un mec qui pourrait être votre meilleur ami : un mec attachant, un mec intelligent mais qui a le DON de prendre TOUJOURS les décisions qu'il ne faut pas
La fin est un peu décevante mais cela n'enlève en rien le travail et du traducteur, plein de finesse dans l'analyse de l'état d'esprit du protagoniste.
C'est un livre qui nous donne envie de terminer la journée et de rejoindre le lit pour lire.
Une critique que je trouve basse pour ce livre vraiment extra que j'ai adoré ainsi que mon cher et tendre. Je vous le recommande
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ou "le désarroi de Ned Allen" en français- à lire absolument, décrit l'univers impitoyable de la vie professionnelle à New York...
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Kennedy Douglas
Les désarrois de Ned Allen
Après avoir ramer dans pas mal de boulots, il trouve sa place dans une publication informatique. À force de travail, il en devient directeur marketing.
La firme est rachetée par une firme allemande, tout le monde panique pour son emploi. le représentant le prend à part et lui promet la direction générale de la société. Ce soir-là heureux, il boit assez bien et fatalement se retrouve dans les bras d'une secrétaire, elle aussi apeurée du futur. le week-end se passe et quand il arrive le lundi matin, son badge est refusé et il apprend que la société est déjà revendue, donc plus de direction en vue ; elle est rachetée par le groupe concurrent. Il croise le représentant allemand et de rage lui fracasse le crâne, il ne sera pas poursuivi mais cela va le poursuivre pour longtemps. de plus il avait eu une altercation avec un gros client potentiel qui, lui se retrouve dans la nouvelle société ainsi que son ancien patron. Lui et plusieurs autres sont sur le trottoir. Il va pendant quelques semaine voir un drh et chasseur de tête. Mais chaque fois que quelque chose lui est proposé, on a déjà prévenu de son côté revanchard et bagarreur et c'est ce Peterson qui le saque à chaque fois.
Il est au bord du gouffre, surtout qu'après son escapade, son épouse veut divorcer.
Il trouve un de travail, mais du télétravail qui ne paie rien et vu le coût de la vie à New Yorl ce n'est pas le dixième du quart du minimum qu'il lui faut.
Par hasard il retrouve un ami, Jerry qui lui propose de loger dans un loft qu'il n'occupe guère et lui fait miroiter un super boulot. Une nouvelle société que lui et son big boss viennent de créer, soi-disant, Excalibur, des fonds de placements. Il se retrouve dans un mini bureau, lance des appel, mais rien. Jerry lui demande d'aller à Miami, puis à Nassau porter une mallette. Il discute un peu avec le banquier et se rend compte qu'il y a quelque chose de pas logique.
Mais étant donné qu'il n'a rien d'autres, il poursuit mais demande quand même ders renseignements pour les succursales de cette société. Ce sont des boites aux lettres. Il voudrait des explications mais Jerry s'y refuse et surtout il doit garder le silence sur le vrai boss (faux aussi) qui est un magnat reconnu partout.
Lors d'un lunch il se retrouve nez a nez avec Peterson et la une altercation et il part.
Par la suite deux individus le kidnappe et l'oblige à conduire la voiture de Peterson qui est à l'arrière ivre mort après ce lunch. Au passage à niveau un des deux malfrats sort le corps et le dépose sur les rails du train et s'en vont. Il fait de même, effrayé. À partir de là il s'inquiète sérieusement surtout que Jerry lui fournit en deux temps trois mouvement des alibis pour ce jour-là.
Il doit poursuivre ses allez retour Miami Nassau avec une mallette remplie de cash, et commence sérieusement à s'intéresser à ce qui se passe. Il vit sous la menace que ce serait lui d'après les témoignages et son altercation avec Peterson qui l'aurait tuer.
La suite super géniale, mais à découvrir.
Au début du livre j'ai pas tellement accroché, des téléphones, des demandes de contrats, des publications, le début est lent, très lent et ne semble pas donner beaucoup d'intérêt mais alors cela s'emballe et là impossible de s'arrêter. Une histoire géniale, un déroulé super et une apothéose aussi forte qu'inattendue.
Un bon Kennedy
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Ce n'est pas le meilleur livre de l'auteur mais on y retrouve sa «griffe » ce qui rend tout de même l'histoire attrayante.
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