Je chemine avec... Angélique Kidjo

Eh voilà que j'adresse mon troisième et dernier (déjà) remerciement à Babelio et aux éditions du Seuil pour m'avoir permis de découvrir cette collection extrêmement riche "Je chemine avec..."

Pour terminer, j'ai parcouru un bout de chemin avec Angélique Kidjo, chanteuse immense (et là encore, j'avoue mon inculture dans ce domaine). Née au Bénin, elle vient ensuite en France avant de s'installer aux Etats-Unis et si il y a une phrase qui m'a marqué tout au long de cette lecture mais que je n'ai pas voulu mettre en tant que citation puisque c'est la première phrase de cet ouvrage mais aussi celle de la quatrième de couverture (la réservant pour cette "critique), c'est bien celle-ci : "Avant d'être femme, avant d'être noire, je suis avant tout un être humain". Déjà, avant de commencer son entretien, l'auteure nous annonce la couleur (ou plutôt l'absence de couleur car bien qu'elle ait été victime de racisme à un moment de sa vie, ses parents lui ont toujours enseigné le respect de chacun, qu'il soit noir, blanc, jaune...ou autre d'ailleurs et surtout à ne jamais répondre à la violence par la violence. Bien plus qu'un récit de vie, cet ouvrage nous enseigne la tolérance de chaque être humain (homme u femme - bien que la défense pour le droit des femmes y soit largement développé car en tant que féministe et se battant contre toutes les inégalités et injustices -quelles qu'elles soient -, Angélique Kidjo a notamment été nommé ambassadrice de l'Unicef en Afrique et continue de se battre - avec des mots et non des armes - pour que toute jeune fille ait droit à une éducation, que toute jeune femme puisse travailler librement et que toute femme en général puisse vivre simplement, sans avoir peur d'une père ou d'un mari.

Ici, beaucoup de thèmes sont abordés et c'est donc avec une lecture, une nouvelle fois très riche et porteuse de moult conseils, adressés aux jeunes mais pas seulement (à tous ceux qui accepteront de se remettre en question en gros) que je termine mes lectures dans cette collection extrêmement bien pensée. Heureusement, j'ai vu qu'il existait d'autres titres dans cette collection donc peut-être un jour pourrais-je cheminer avec...On verra bien ! En attendant, je ne peux que vous inciter à vous plonger dans cette lecture extrêmement enrichissante et vous souhaite bon voyage avec Angélique Kidjo !

Troisième et dernière lecture comme ambassadrice de la collection “Je chemine avec...” pour laquelle je remercie Editions du Seuil et Babelio grâce à qui j'ai rencontré des personnes au grand coeur !

Je connaissais peu Angélique Kidjo et j'ai eu le plaisir de découvrir une personnalité attachante, une femme comme on aimerait en voir plus !

Femme, noire et étrangère de surcroit elle a dû abattre beaucoup d'obstacles à son arrivée en France. Issue d'une famille de 10 enfants, avec des parents aimants, éclairés et unis elle a eu tous les moyens nécessaires pour se battre ! Il ne suffit pas d'avoir juste la volonté, le soutien de la famille proche donne un élan que rien ne peut remplacer.

Talent et pugnacité vont faire d'elle “la première diva africaine”, dixit le Time Magazine. Tolérance, partage, justice et éducation sont le ciment de sa vie, de ses engagements et de ses albums ! Tous ses albums reflètent ses convictions et parlent de l'Afrique, de l'esclavage, de l'Apartheid, de l'exploitation des enfants et des femmes.

Seul petit bémol à ma lecture, j'ai trouvé un peu trop développé sur sa musique, les enregistrements, etc... alors que j'aurais aimé qu'elle aborde plus longuement les recherches et les rencontres qu'elle a faites en Amérique du nord pour réaliser ses albums.

Je souhaite que son témoignage aide d'autres femmes, des jeunes de tous sexes, de toutes couleurs et de tous âges, à se construire et se battre pour leur avenir et l'avenir commun de notre monde.

Challenge RIQUIQUI 2021
Lecture THEMATIQUE septembre 2021 : Première rencontre !
Masse Critique Spéciale

Charisme, tolérance et bienveillance.
Madame Kidjo je ne vous connaissais pas avant d'ouvrir Je chemine avec ... Angélique Kidjo paru aux éditions du Seuil.
Que j'ai aimé cheminer avec vous du Bénin à New-York en passant par Paris où vous êtes venue à 17 ans fuyant la dictature communiste qui menaçait de vous couper les ailes.
Alliant une carrière de chanteuse à un engagement dans l'éducation des jeunes filles en Afrique, vous êtes devenue ambassadrice de l'UNICEF, avez pu et su porter votre enthousiasme au plus haut niveau . Je vous tire mon chapeau.
Je remercie chaleureusement les éditions Seuil pour ce partage via Babelio.
Et comme un plaisir n'arrive jamais seul en replay sur France TV j'ai pu visionner le concert d'Angélique Kidjo enregistré au Festival de Saint Denis ...

« Si tu renonces une première fois, tu abdiqueras toujours. » Malcolm X

Telle est la devise d'Angélique KIDJO, chanteuse au succès international née au Bénin au sein d'une famille hors normes.

Voici un autre titre de la collection « Je chemine avec.. ». Cette fois encore, les entretiens mis bout-à-bout on été menés par Sophie Lhuillier, éditrice aux éditions du Seuil.

Quel bonheur de découvrir la personnalité détonante de cette chanteuse incroyablement talentueuse.

Une main toujours tendue vers l'autre, une éducation simple et humaniste, comme on n'en fait plus. Son parcours de vie, ses coups de gueule (très réfléchis…) font de son portrait écrit un très bon moment de lecture. Avec ses voyages, la musique et son amour de l'autre, j'ai été servie.

Quatre parties (une enfance au Bénin, un parcours précoce, ce que j'ai récolté, pour finir ensemble et quelques bonus) composent l'ouvrage, format poche, mais à la facture solide, à la couverture d'un violet tonique et engageant.

Ce sont les mêmes parties que l'on retrouve dans chaque titre de la collection, à quelque expression prêt (tous les interviewés n'ont pas passé leur enfance au Bénin !).

Son rôle à l'UNICEF, son féminisme intellectualisé, le rôle de l'éducation et le pouvoir du cerveau, sans oublier la place de l'Afrique dans le monde, la haine, le racisme sont autant de thèmes chers à Angélique K. et lire ce qu'elle en dit, ce qu'elle en a fait est un régal.

Sa sagesse et son volontarisme sont réconfortants par ces temps difficiles.

Courez découvrir la collection « Je chemine avec… », l'expérience que nous offrent en partage ces artistes engagés ne pourra que vous toucher.

Merci à cette MASSE CRITIQUE BABELIO SPECIALE, aux éditions du SEUIL et à Sylvie LHUILLIER. J'adore cette collection, le choix des interviewés et la manière dont sont menés les entretiens.
Lien : http://justelire.fr/je-chemi..

Dernier titre de la collection Je chemine des éditions Seuil et de nouveau une belle lecture. Je ne connaissais pas Angélique Kidjo, une chanteuse béninoise. Je suis allée écouter quelques uns de ses titres pour me faire une idée sur ses chansons. J'aime beaucoup sa voix ! de même, j'ai beaucoup apprécié ses réflexions sur le monde, les jeunes, les femmes, l'aide à notre prochain et aux pays africains, en particulier. Quand elle raconte ses rencontres lors de ses enregistrements et tournées, on sent la passion qui la lie à la musique depuis son plus jeune âge. On sent la personne pleine de vie, la retranscription des rires est importante, je l'imaginais bien pendant l'interview se marrer à certaines de ses anecdotes. Sa famille a marqué durablement sa personnalité, elle évoque ses grand-mères et ses parents dans les leçons de vie qu'elle a reçues ! Quand elle parle de son métier de chanteuse, elle avoue qu'elle a eu de la chance d'avoir eu une vocation très tôt et d'avoir réussi. Elle pousse les jeunes à se poser des questions sur leurs futurs mais déplore leur spécialisation trop tôt. J'aime beaucoup cette collection qui permet de découvrir un métier mais aussi une mentalité et un avis critique sur le monde.
Merci aux éditions Seuil et à Masse Critique pour la découverte de cette collection, il est sûr que j'irai lire de nouveaux titres de celle-ci !

Angélique Kidjo est une chanteuse née au Bénin, ayant fait preuve très tôt de courage en quittant sa famille et son pays, alors sous le joug d'une dictature communiste. Elle voulait pouvoir chanter la musique qu'elle aimait, sans haine ni thèmes imposés. Elle s'est beaucoup investie dans l'humanitaire, notamment aux côtés de jeunes filles africaines.

Cette liberté, ce courage, cet amour transparaissent dans les entretiens menés par Sophie Lhuillier pour la collection "Je chemine avec..." des éditions du Seuil.

Cette collection de petits livres se destine aux jeunes. Elle a pour objectif de leur faire découvrir le chemin de vie de personnalités passionnées et libres qui, bien souvent, ont emprunté des chemins sinueux et surprenants. le message, à travers ces portraits, est qu'il faut toujours se donner les moyens de réaliser ses rêves, saisir les opportunités et les mains qui se tendent. Et, surtout, se faire confiance pour savoir ce qui nous rend heureux.

Angélique Kidjo nous offre un chemin de vie qui illustre parfaitement ces principes.

Je ne connaissais pas Angélique Kidjo. Alors la découvrir au travers ce livre d'entretien est une bonne surprise. Elle nous entraine de son enfance au Bénin jusqu'à New York, en passant par Paris. Si elle a consacré son existence à la musique, son éducation lui fait mesurer l'injustice du monde l'engage aussi dans la cause humanitaire.
L'histoire d'Angélique, c'est celle d'une jeune femme dont l'éducation et la famille l'ont incitée à vivre libre, mais l'arrivée de la dictature dans son pays et sa volonté de conserver cette liberté l'ont pousser à vivre ailleurs. A Paris d'abord, où elle va construire se carrière et rencontrer son mari, puis New York où elle va obtenir une renommée internationale. Ces entretiens font le portrait d'une femme attachante, éprise de liberté, de justice et d'égalité pour tous.
J'ai vraiment apprécie faire un petit bout de chemin en sa compagnie et je remercie les éditions du Seuil et Babelio pour sa découverte

Deuxième et avant-dernière Masse Critique de Babelio Je chemine avec …. . J'aimerais bien en lire d'autres, notamment sur les personnalités que je connais. J'ai donc choisi celui que je voulais lire en second, car il me semblait tout à fait correspondre à mes envies et besoins. Je ne me suis pas trompée. Je ne sais pas si le troisième sera du même acabit.

J'aime beaucoup la musique même si je ne connais pas forcément Angélique Kidjo. Pour le précédent, j'aime beaucoup lire et je ne connaissais pas l'autrice mais j'ai été un peu rebutée par ce qu'elle racontait. Ce sont des entretiens qui sont menés et la personne interrogée doit répondre à des questions sur son parcours, son enfance, ce qui la motive, ses rencontres… J'ai trouvé cet entretien vraiment passionnant. le lecteur sent Angélique Kidjo prête à tout livrer sur elle. Je me suis laissée embarquée par son histoire, par sa vie.

J'ai adoré sa famille qui a fait d'elle, de ses frères et elle, la personne qu'elle est devenue, une femme libre, qui sait ce qu'elle veut. Ils ont expliqué et lui ont permis de ne pas éprouver de la haine envers ceux qui la jugent. de la colère, oui, tout à fait légitime mais la possibilité également de répondre. Ils ont fait en sorte que leurs enfants réfléchissent, trouvent des solutions, soient indépendants. Il y a eu beaucoup d'amour, de richesse, de partages.

Elle explique pourquoi elle a dû quitter son pays et aller en France, comment elle a vécu pendant quelques années. Et surtout loin des siens, sans les voir, sans avoir de nouvelles à cause de la dictature. Elle a dû affronter le racisme, des mots de gens qui ne comprennent pas sa culture, sa couleur de peau. C'est vrai que c'est très important de s'ouvrir aux autres pour tenter de les comprendre, de ne pas avoir d'à priori.

J'ai adoré toutes les explications sur les albums, comment elle a obtenu ses succès, comment elle peut se remettre en question à chaque fois. C'est l'histoire de rencontres, d'échanges, de richesses, de collaborations toutes très intenses. Elle a appris mais a également su ce qu'elle voulait et l'a plus ou moins imposé. Et les nombreux concerts faits avec un partage avec son public qui la remercie par des mots. Comme quoi, la musique, une personne peut changer un instant, un monde. J'ai adoré ses explications concernant la musique, qui doit lui parler.

Elle a dû s'imposer, se faire respecter, en tant que femme, en tant que musicienne, en tant que personne noire.

Je remercie Babelio pour cette Masse Critique et ce coup de coeur.
Lien : https://livresaprofusion.wor..

Troisième ouvrage de la collection Je chemine avec... qu'il m'a été donné de découvrir. Cette fois direction l'Afrique auprès d'Angélique Kidjo, chanteuse, mais pas que... puisqu'elle s'est investi dans d'autres domaines notamment celui de l'éducation pour tous. Je me rend compte que j'ignorais tout de cette personne, pour moi Angélique Kidjo est une chanteuse béninoise et ça s'arrêtait là. du coup ce bout de chemin avec la chanteuse m'a ouvert les yeux sur des aspects de la vie d'une personnalité qui s'engage en faveur des autres, du travail d'artiste et surtout du non renoncement.

Être une femme noire quittant son pays pour vivre sa passion, relevant un à un tout les obstacles utilisant certains comme tremplin, montre que rien n'est impossible si on s'en donne la peine. Parcours d'une artiste qui n'a plus rien à apprendre mais plutôt à donner, je ressort galvanisée de cette lecture.
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J'ai eu envie de mieux connaître cette artiste et coïncidence : par la page Facebook du MOIS AFRICAIN j'ai trouvé le livre JE CHEMINE AVEC ANGELIQUE KIDJO que je me suis empressée de lire. C'est un livre d'entretien, questions/réponses (161 pages) menés avec Sophie Lhuillier.

Lecture facile, entretiens vivants suivant l'ordre chronologique où la chanteuse raconte son enfance au Bénin, enfance heureuse dans une famille qui l'a soutenue, elle parle de ses grands-mères, des femmes puissantes, de ses parents qui ont élevé leurs filles comme leurs garçons (ce qui n'allait pas de soi au Bénin à l'époque), qui l'ont soutenue dans son choix précoce de devenir chanteuse.

1983, arrivée au pouvoir de Mathieu Kérékou, Angélique Kidjo refuse de devenir chantre de sa propagande et préfère prendre la route de l'exil en France (elle est née avant l'Indépendance du Bénin, donc française). Là, elle découvre le racisme et doit recommencer sa carrière de zéro. Elle fera des études de chant, et surtout de très belles rencontres : son mari musicien, mais aussi des jazzmen, des musiciens en France d'abord, aux Etats Unis ensuite, même à Cuba et au Brésil.

En dehors de sa carrière (4 Grammy Awards), des concerts dans le monde entier Angelique Kidjo dit que « chanter est une responsabilité » C'est donc une artiste engagée qui sera ambassadrice de l'UNICEF et surtout s'engagera dans sa fondation BATONGA ONG oeuvrant pour l'éducation des filles en Afrique au Bénin mais aussi dans d'autres pays d'Afrique. Engagement féministe, écologique, Angélique est une citoyenne du monde qui fédère toutes les cultures. Elle chante les musiques traditionnelles d'Afrique mais pas que. Elle retrouve les racines africaines de la Salsa, de la Soul, et se frotte aux musiques classiques contemporaine, avec John Cage, entre autres. Elle est là où on ne l'attend pas.
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