Marche ou crève

Je n'ai pas aimé cette lecture, dont on devine aisément la fin.
J'ai trouvé cette histoire trop longue, suivre ces marcheurs voilà… aucun événement palpitant aucune action véritable.
Je pense que je ne suis pas fan tout simplement de l'univers du King

J'étais plutôt contente de démarrer cette lecture car j'avais pu lire quelques ouvrages de S. KING durant mon adolescence, notamment Les Evadés, que j'avais adoré. de plus, la quatrième de couverture m'avait donné envie j'ai donc entamé cette lecture imposée plutôt confiante !
Quelle de fut pas ma déception ...
Heureusement que j'ai eu accès à la version audio qui m'a permis de vaquer à mes occupation pendant ces 8h30 interminables
Outre le fait que ce n'est pas mon style habituel (car c'était bien le but !) je m'attendais à un autre style d'écriture et d'intrigue et finalement je n'ai pas trouvé d'intérêt pour l'histoire (inexistante ?) et d'une redondance extrême , je ne me suis absolument pas attaché aux personnages que j'ai trouvé très clichés et peu profonds.
Et pour terminer : une fin ouverte ... Ce que je déteste, moi qui est plutôt terre à terre et qui a besoin d'une véritable fin et de réponses je n'ai absolument pas compris et je suis restée avec encore plus de questions et d'incompréhension ...
Vous l'aurez compris, c'est un gros flop pour moi ...

C'est mon tout premier Stephen King et je pense m'être lamentablement trompé sur mon choix. Je me suis forcée à persévérer et le finir mais vraiment à contre coeur. J'ai trouvé le texte long, sans ambiguïté, sans fin... Une marche du matin au soir, et du soir au matin.... J'essaierai un autre de cet auteur ...

Le concept m'intéressait beaucoup et le synopsis m'a donné une furieuse envie de voir comment Stephen King allait gérer le sujet. Je suis malheureusement très déçue et au vu des bonnes critiques, je me demande si j'ai manqué quelque chose. Il ne se passe absolument rien tout au long du bouquin si ce n'est ce que le synopsis nous a vendu. Certes l'aspect psychologique est mis en avant mais il n'y a rien d'innovant ni de transcendant là-dedans. J'ai fermé le bouquin en me disant que j'avais perdu 3 bonnes heures pour absolument rien.

*** Une Longue Marche, abandonnée"

Une première : Stephen King a réussi à me décevoir, à tel point que j'ai abandonné cette lecture, ni trouvant aucun intérêt ...
Effectivement, même pour moi, la Marche a été longue ... beaucoup trop longue, alors que je ne suis pas arrivée à la moitié de son chemin.

Aux Etats-Unis, le 1er mai, cent jeunes hommes volontaires de moins de dix-huit ans se préparent à prendre part à une longue marche, allant de la frontière canadienne, dans le Maine, en direction du sud, aussi loin qu'ils pourront aller. Ils doivent marcher à la vitesse minimale de 6 km/h et ne jamais s'arrêter, même pour faire leurs besoins, et respecter quelques règles. En cas d'arrêt, ils reçoivent un avertissement, puis un deuxième, enfin un troisième et sont alors froidement abattus par le groupe de soldats qui les suit tout du long muni d'appareils sophistiqués permettant de les repérer même au milieu de la foule ou de nuit. Cette mise à mort s'appelle « prendre son ticket ». Une heure sans avertissement permet d'annuler le dernier avertissement reçu. le détachement de soldats a à sa tête un Commandant mythique, figure d'une virilité exacerbée, dont on ne voit jamais les yeux, cachés par des lunettes en miroir. Nous suivons tout particulièrement le numéro 47, le jeune Ray Garraty, seize ans, et McVries, Baker, Strebbins, Barkovitch. A la fin, à l'arrivée, il n'en restera qu'un. ● « Marche ou crève, c'est la morale de cette histoire. Pas plus compliqué. Ce n'est pas une question de force physique, et c'est là que je me suis trompé en m'engageant. Si c'était ça, nous aurions tous une bonne chance. Mais il y a des hommes faibles capables de soulever des voitures si leur femme est clouée dessous. La tête, Garraty, le cerveau… Ce n'est pas l'homme ou Dieu, c'est quelque chose… dans le cerveau. » ● L'idée de départ est très originale et passionnante. C'est un peu les jeux du cirque transposés dans une Amérique des années cinquante, mais pas celles qu'on connaît, les années cinquante d'une Amérique fascisante, avec des détails qui laissent penser au lecteur que la Seconde guerre mondiale a eu une autre issue. ● le début du récit emporte donc toute l'attention du lecteur. Comment les marcheurs vont-ils se débrouiller pour aller au bout de cette épreuve inhumaine et cruelle ? Quelles vont être les interactions entre eux ? Comment va se passer leur dégradation physique lors d'une marche aussi longue et sans aucune pause ? Pourquoi se sont-ils porté candidats ? ● On se doute bien aussi d'une part que cette longue marche est une métaphore de la vie, et d'autre part que le récit dénonce certaines errances de la démocratie américaine. ● Mais voilà, on ne fait pas forcément un bon récit avec de bonnes idées. le résultat est un roman d'un ennui profond. C'est toujours la même chose : on marche, on parle, on réfléchit, on essaie de surmonter sa douleur, on rêve de l'arrivée et de l'après… Tout cela pendant des centaines de pages. La situation n'évolue pas, sauf à compter les morts qui tombent les uns après les autres. Pourquoi l'auteur n'a-t-il pas fait de larges analepses qui lui auraient aussi permis, outre de rompre la monotonie du récit, d'enrichir et d'approfondir ses personnages ? ● Et une fois avalé toutes ces pages, on tombe sur une fin sans aucune surprise. ● Je ne comprends pas comment ce roman peut recueillir autant d'éloges… En tout cas il ne m'a pas réconcilié avec cet auteur dont aucun des livres que j'ai lus ne m'a plu…

Rien de plus simple : une marche, 100 marcheurs, 99 crèvent, 1 survit à la fin, mais à quel prix ?
Marche ou crève.
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C'est mon deuxième Stephen King, et cette fois je n'ai pas été conquise. Je n'ai pas retrouvé son univers et le frisson qui le caractérisait dans Marche ou Crève.
En effet, l'histoire m'a parue plutôt plate et fade : pas grand chose ne se passait, en même temps vous me direz que ça semblait logique vu le résumé, mais bon je m'attendais quand même à plus d'action que cela.
Au niveau de l'histoire, ça se tenait et cela m'a fait franchement flipper de me dire que cela arriverait peut-être un jour. Mais c'est tout pour ce que j'ai ressenti. Pas même vraiment de peine lors des morts diverses (pas de spoiler c'est toujours dans le résumé) et pas vraiment d'attachement aux personnages, à part peut-être pour celui de Mc Vries.
Bref, ce n'est pas une réussite pour moi, même si je comprends ce qu'à voulu dénoncer l'auteur avec ce texte : la folie de la nature humaine.

Il s'agit de mon tout premier Stephen King (livre) et il s'agit d'une belle déception... Je déteste abandonner des lectures et je l'ai fait avec celui-ci... à la fin du chapitre 2 à peine. Je savais pertinemment que continuer ne servirait à rien dans mon cas. Je n'ai vraiment pas accroché, trop long, trop de personnages, des détails inutiles... Qu'ai-je loupé? Quand je vois toutes les critiques élogieuses, je me dis que je passe à côté de quelque chose... peut-être que ce n'était pas le bon moment pour cette lecture, tout simplement ! Mais je ne suis vraiment pas certaine d'y revenir plus tard. J'espère un jour vibrer avec une de ses oeuvres tout de même. A part la ligne verte, shinning et ça, que pouvez-vous conseiller pour un début avec lui ?

14ème
13 février
Marche ou creve - KING Stephen
350 pages
💛

Lu y a plus de 25 ans. Il m'avait marqué à l'époque. Différents des autres oeuvres de SK.
C la 1ere fois que je refais une relecture.. Franchement je ne sais pas pourquoi il m'avait marqué à l'époque. A part des types qui marchent et sinon ils se font buté lolol
Ben gros flop cette fois ci. Peut être pas le bon mood.
Comme quoi nos lectures changent aussi.

"Marche ou crève", toute l'intrigue est résumée dans le titre. Mon épreuve à moi s'arrête page 147. Je n'en peux plus, une fois que l'on a compris les règles du jeu, il ne se passe rien de nouveau. Je jette l'ancre ou l'encre, comme vous voulez...
Je viens de découvrir que ce titre est le premier roman de Stephen King, alors étudiant, écrit en 1966-67 et terminé. Rejeté à l'époque par les organisateurs d'un concours du premier roman auquel il l'avait présenté, il fut publié en 1979 sous le pseudo de Richard Bachman.
La 1/2 étoile accordée n'est que le signe de mon abandon. J'ai d'autres titres de l'auteur dans ma PAL et je ne désespère pas d'y retrouver l'écrivain de talent que j'avais admiré au temps de mon adolescence avec "Cujo", "Charlie" ou "La ligne verte" voire plus récemment dans "22/11/63".