Les deux textes ici réunis, écrits à neuf ans de distance, parlent tout à la fois l’antique alexandrin et le trivial contemporain. Le premier dit noir, raconte des choses graves : rencontres ratées, immenses peines de cœur, et haute solitude aussi. Mais ce désespoir, on a pris soin de le saboter ; car à la question : "ça fait quoi de se sentir mourir?", on nous répond... ça fait rire !
Alors, franchir – en riant – d’un bond le désespoir ? Oui,...
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