Nevernight, tome 1 : N'oublie jamais

Nevernight, cela fait plus d'un an que j'avais envie de lire cette saga de fantasy. Mais si il y a bien une chose qui me rebute dans la lecture, c'est de lire un roman que je vois partout à chaque coin de libraire ou de réseaux sociaux.
Donc j'avais mis Nevernight de côté sur ma liseuse depuis tout ce temps, attendant patiemment qu'il se fasse oublier et que moi, ne l'ayant pas oublié, je prenne grand plaisir à le lire et découvrir cet univers et surtout cette héroïne dont tout le monde disait grand bien et criait à l'énorme coup de coeur.
Et bien je dois dire que si je ressors de la lecture de ce 1er tome sans avoir ressenti cet énorme coup de coeur attendu, je ne suis pourtant pas déçue même si pour moi ce roman souffre de quelques défauts.
Tout d'abord, c'est une lecture agréable car on est happé par l'univers et surtout l'histoire de cette héroïne assoiffée de vengeance qui intègre la plus dangereuse des écoles d'assassins.
Et qui dit école d'assassins, dit complot, trahisons, meurtres et sang.
Et on se régale ! Même si on sent bien que c'est un roman destiné à des "young adults" comme ils disent dans les maisons d'éditions. Donc c'est trash mais juste ce qu'il faut pour ne pas tomber dans le gore trop violent. Par contre, pour les scènes de sexe, ça c'est pas grave, on peut parler crûment. Pareil pour les jurons et autres vulgarités.
Alors même si tout ceci ne me gène pas plus que ça d'ordinaire, il faut que ça soit bien dosé justement pour que ça ne me gène pas et surtout que ça serve l'histoire sans alourdir de trop.
Autre point assez bizarre et déroutant, l'auteur a pris le parti de rajouter en notes de fin de chapitre des dizaines et des dizaines de lignes pour décrire plus en détail son univers et apporter des indications au lecteur. Mais cela freine complètement la lecture (encore plus quand on est sur liseuse) et finalement on s'en désintéresse totalement car en plus cela empiète sur le rythme et action de l'histoire.
Pour revenir à l'histoire et Mia, l'héroïne, j'aurais aimé personnellement que ça soit moins "young adult" et plus sombre, plus poussé, plus détaillé.
Certains personnages ne sont pas assez creusés, pas assez mis en avant. Dommage. Même si ce 1er tome est déjà une petite brique de 600 pages, j'aurais aimé qu'il en fasse 200 de plus et qu'il soit plus riche à mes yeux de quarantenaire.
Mais malgré tout, j'ai aimé et cela est une évidence que je vais lire les deux autres tomes.

L'univers de Nevernight est intéressant, classique tout en étant capable de trouver de quoi retenir notre attention, nous intéresser.

Je salue également la plume de l'auteur ainsi que le travail de traduction derrière car pour ce qui est du style en lui même la lecture a été fluide et plaisante.

Mais sinon, pourquoi si peu d étoiles pour cette histoire de vengeance? le rythme. Oui le résumé est classique, oui l'univers emprunte à plein d'autres oeuvres et nous sommes encore dans un énième roman fantastique avec une école. Est-ce grave? Non. Après tout on peut aimer ce genre d'ambiance et de thématique. Au contraire...

Simplement, le roman est trop long pour ce qu'il veut raconter. L'auteur meuble, rajoute, tartine et oui c'est bien écrit mais peu à peu on observe des personnages sans profondeur, déjà vu et rencontrés bien d'autres fois ailleurs. le manque de cohérence des caractères s'installe et le livre montre son vrai visage dd pétard mouillé malgré un premier tiers prometteur.

Dommage, ceci dit j'ai pu lire que le second tome gommait certains defauts du premier alors pourquoi pas? Après tout, le style d écriture est lui, on ne peut plus efficace !

J'ai découvert l'auteur de Nevernight, Jay Kristoff à travers sa collaboration avec Amie Kaufman pour le roman jeune adulte Illuminae. J'ai pu constater qu'il a écrit ou coécrit une majorité d'oeuvre dans ce segment de la SFFF. J'avais jusque là une appréhension vis-à-vis de classement d'oeuvre car les seules que je connaissais y appartenant, c'était Twilight, Hunger Games & Co.
Je vous arrête de suite, ce Nevernight n'est pas de cette veine. Il est même parfois classé dans la Fantasy classique.
Si je devais décrire ce livre, je dirais qu'il pourrait s'appeler « Henriette Potter à l'école des assassins » (je ne trouvais pas le féminin d'Harry).
Dans un décors de Venise médiéval, on découvre Mia Corvere, fille d'aristocrate dont le père vient d'être condamné à mort après avoir choisi le mauvais camps révolutionnaire. Elle échappe à ses bourreaux grâce à son chat ou plutôt à son « non-chat » comme le décrit l'auteur, puisqu'il s'agit d'un chat d'ombre et de fumée.
Vagabonde, elle rencontre un assassin qui la forme pour rejoindre l'église rouge qui vénère la déesse de la mort. C'est là que sont formés les meilleurs assassins et c'est exactement ce que Mia a besoin de devenir pour assouvir sa vengeance envers les 3 personnes responsables de la déchéance de sa famille.
Voilà pour la mise en situation. Voici une liste des points forts et des points faibles selon moi de ce roman.

Les points faibles :
- J'en ai déjà cité un, c'est l'utilisation sans arrêt du terme no-cat (non-chat). C'est assez pénible à la longue et cela sonnait bizarre dans ma tête !

- le second point : c'est le recours à de trop nombreuses et trop longues notes de fin de page. Ces notes permettent d'ajouter des anecdotes, de l'épaisseur à la construction de monde mais elles étaient beaucoup trop longues avec énormément d'informations. Je n'ai pas pu tout retenir. de plus, cela empêchait pratique moment la lecture en numérique. Toutes ces notes étaient regroupées en fin de chapitre ce qui imposait de nombreux aller et retour (jusqu'à 8-9 fois par chapitre des fois). En numérique, ces mouvements sont assez fastidieux. Certaines versions, les notes du textes étaient des liens hyperlinks, ce qui facilite un peu la chose mais ce n'était pas mon cas ! Un conseil, le format papier est recommandé pour ce livre (je ne sais pas comment cela est géré sur les audioboooks).
J'ai d'abord pris ce procédé comme une solution de facilité de l'auteur pour nous présenter son monde. Après, je me suis rappelé que le roman est écrit comme un récit que fait un personnage (pour l'instant non identifié) de la vie de Mia. du coup, cela pourrait faire pensait à un compteur ajoutant des digressions fréquentes dans son récit.

Les points forts :
-Les profs de l'église rouges sont géniaux ! A l'instar d'Harry Potter, les cours de Mia sont vraiment jouissifs. Combats, vols, poisons et séduction sont au menu de la formation avec un certain droit à perdre des étudiants en cours. C'est quelque chose de savoir que tu peux perdre la vie à chaque interrogation !
-Le personnage de Mia est vraiment bien fait et assez vite attachante. Autour d'elle gravite des personnages secondaires intéressants et absolument pas manichéens.
-La scène d'introduction qui m'a fait acheter ce livre. J'ai téléchargé l'extrait en ebook et j'ai adoré le premier chapitre où 2 trames narratives sont imbriquées présentant le premier meurtre commis par Mia et la première fois sexuelle de Mia. le parallèle est magnifiquement écrit. J'ai lu des critiques concernant le style de l'auteur un peu ardu, abusant des métaphores. Je ne l'ai pas vraiment ressenti. Il faut néanmoins un niveau correcte en anglais pour lire ce livre car il n'est pas traduit et n'a pas de parution prévue dans l'immédiat (dommage).

Pour conclure, il s'agit d'un de mes 2 coup de coeur de l'année (2017). Je me suis précipité sur le second tome sorti en septembre dernier dont la lecture est prévue prochainement.

Un petit conseil, n'abandonnez pas ce livre avant d'avoir attaqué la seconde partie. J'ai acheté ce livre en voyage. Durant ce dernier je n'ai eu le temps de lire que la première partie. Une fois rentré, j'ai poursuivi mes lecture en cours et j'ai eu du mal à y revenir car la première partie est un peu poussive je trouve, surtout comparé au reste du livre.

Ce livre est diaboliquement addictif . La plume nous transporte de suite dans l'univers de nevernight avec la jeune Mia . J'ai savouré chacun des chapitres la rythmique l'intrigue les personnages tt est travaillé a la perfection . Impossible a lâché je voulais savoir la suite ,arrivée a la moitié du livre j'aurais carrément avoir les images animées tellement j'étais transporté.

Dons ce début de saga il n'y a ni mièvrerie ni incohérences ça fait plaisir le texte est travaillé. J'ai adoré le fait de ne jamais savoir à qui me fier dans se monde d'assassin . J'ai apprécié aussi que l'auteur n'ait aucune pitié pour ses personnages pour une fois .

L'univers de nernight est sombre stressant angoissant par moment .

C'est une super découverte j'ai mis.du temps a le lire pour le savouré car je n'ai pas le tome 2 j'ai fais duré le plaisir de cette lecture bravo Jay kristoff du m'a littéralement absorber dévoré de l'intérieur avec cette histoire hâte de lire la totalité de cette oeuvre je la recommande chaudement elle mérite d'être lu

Tombée sur ce livre à la couverture accrocheuse par hasard en librairie et vu la note sur Babelio, je me suis lancée dans cette lecture qui m'a complètement happée.

Dans un univers fantastique qui rappelle deux époques phares de l'Italie, Antiquité et Renaissance, on s'attache au personnage principal de Mia, une adolescente déchue qui souhaite venger sa famille. Pour cela elle est prête à tout, y compris devenir une assassin de l'église rouge.

Le rythme soutenu fait défiler les 800 pages de la version poche. On y suit l'évolution du personnage, ses pérégrinations dans la république itréyenne avec son ombre-chat pour atteindre le sombre lieu de formation de l'église rouge, qui sera aussi le lieu de liens d'amitié et plus encore.

Les notes en bas de page sont amusantes, rappelant celles des non-fiction historiques et permettant à l'auteur de planter un décor complet (historique, architectural,...)

Cela faisait un bon moment que je n'avais pas lu de saga et c'est avec plaisir que je découvre celle-ci. de l'aventure et du psychologique dans un monde fantastico-historique, quoi de mieux ?

Mes seuls bémols résident dans quelques clichés, sur la notion de la beauté par exemple, et parfois la surenchère d'obscénités.

Le premier tome de la trilogie dark fantasy de Jay Kristoff

Après mon énorme coup de coeur pour l'Empire du Vampire, j'avais envie de découvrir la saga qui fait tant parler d'elle : Nevernight - et je n'ai pas été déçue, malgré un départ de quelques 200 pages un peu difficiles.

Mia Corvere est la fille d'un traître à la République. Elle a vu son père se faire pendre alors qu'elle n'était encore qu'une enfant, sa mère et son frère emprisonnés dans une prison connue pour sa violence et sa propension à rendre fou ses habitants. Elle est l'unique rescapée de la familia Corvere et a juré de se venger.
Pour cela, elle veut intégrer l'Eglise Rouge de Notre Dame du Saint Meurtre, une guilde d'assassins opérant dans les ombres.

Le récit, raconté par un narrateur intrusif et très ironique, oscille entre passé et présent pour que l'on apprenne à connaître l'héroïne, ses forces et ses faiblesses. Elle est devenue une enténébrée -capable de maîtriser les ombres- depuis ses nombreux traumas quand elle n'était encore qu'une enfant. Préparez vous à des notes de bas de pages qui prennent toute la page pour vous expliquer en détails les arcanes de cet univers sanglant... J'avoue en avoir sauté quelques unes parce que c'était long et ça coupait franchement le flot du récit.

Le début m'a semblée très lent après un premier chapitre écrit avec beaucoup de talent, mais je me suis accrochée et finalement, j'ai dévoré les 600 pages suivantes à la vitesse de l'éclair, me laissant guidée d'une révélation à une autre, d'une étape à une autre vers la vengeance de Mia - qui est loin d'être accomplie à la fin de ce premier tome !

La suite m'attend déjà dans ma PAL et je compte bien mettre à profit l'été pour découvrir le tome 2 et 3 !
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Pouah pouah pouah !

Ah ouais... c'est... vraiment... VRAIMENT...bien.

Pas besoin de tourner autour du pot: ici y a tout les ingrédients réunis pour se régaler, si on aime ce style.

C'est innatendu. Riche à tout point de vue. le style d'écriture est extra. Mordant a souhait côté répliques. Les personnages sont fascinants ( pis bon y a un chat démon ! ). Pleins de rebondissements. Les notes de l'auteur sont extras ( il a raison: quel bruit fait le chameau ?).
Ça fait un bail que je n'avais pas lu un livre, dans cette catégorie, qui m'emporte autant !

Non, vraiment, VRAIMENT, faut le lire.

Après en avoir beaucoup entendu parler de la saga Nevernight de Jay Kristoff, la sortie poche du 1er tome N'oublie jamais chez J'ai Lu a été enfin l'occasion de la découvrir et je remercie vivement la ME pour cet envoi qui fut une très bonne lecture !

Dans un pays où les trois soleils ne se couchent presque jamais, Mia, une tueuse débutante, rejoint une école d'assassins, cherchant à se venger des forces qui ont détruit sa famille.

Nous sommes ici dans une Fantasy young adult mais pour autant je n'y ai pas trouvé les éléments qui peuvent parfois me rebuter et me donner envie d'arrêter de lire du YA.

Nous sommes pourtant dans les codes classiques du genre : une héroïne de 16 ans qui va entreprendre un apprentissage. Mais la plume de Jay Kristoff (que j'avais découvert en co-écriture avec le tome 1 de Aurora Squad) est totalement adulte et addictive et les personnages sont très matures pour leur âge.

L'univers est génial, hyper riche même si nous n'avons pas encore tout découvert et la mythologie et l'intrigue sont passionnantes !

Bref. Ce fut une excellente lecture qui prend somme toute du temps puisque c'est une belle petite briquasse mais je n'y ai trouvé aucune longueur ! Les nombreuses et parfois très longues notes de bas de page me rebutaient quelque peu mais elles sont importantes pour la découverte de l'univers et surtout bourrées d'humour que l'on retrouve aussi dans le récit !

J'ai maintenant très très hâte de découvrir le tome 2 dont la sortie poche est prévue pour le 1er mars !

Je me suis laissée tenter par cette nouvelle saga, encensée par la critique, et je me suis tout aussi laissée emporter, avouons-le.

Bien que le début m'a grandement déstabilisée (ah ben vi, quand les fameuses notes bas de page dont beaucoup parlent (avec raison !) font plus d'une page, il y a de quoi vous sortir de votre lecture ; et encore plus quand celles-ci vous insultent purement et simplement, j'avoue avoir haussé le sourcil : "mais enfin, l'est pas bien lui, de nous traiter de tous les noms, juste parce qu'il se veut dans le coup en faisant de l'humour noir ?!", m'offusquai-je plus d'une fois en bougonnant. Mais j'ai continué malgré tout, et j'ai fini par apprécier ces petites notes, riant de bon coeur parfois, grinçant avec malice sur sa propre vision de son monde bien particulière.)
Eh voilà que je fais une parenthèse toute aussi digressante que ces fameuses notes (c'est pour vous donner un avant-goût (ou un souvenir)).

Bien que le début m'a déstabilisée disais-je, j'ai finalement vite été conquise, voulant savoir enfin les tenants et les aboutissants de cette histoire, suivant avec délice les déboires peu glorieux de l'héroïne, apprentie assassin de son état. Même si ce premier tome frôle la caricature à plusieurs reprises, et flirte avec les limites de la "badasserie" qu'on peut attribuer à un personnage, il s'assagit avec les pages qui se tournent, et une fois qu'on s'est pris au jeu, cette petite étoile de ma note /5 manquante ne gêne plus tellement.

Finalement, Nevernight est un blockbuster de la littérature de l'imaginaire : ça dépote du kiki, certaines scènes sont très visuelles, les personnages sont travaillés, loin d'être parfaits,(ça j'aime), on retourne à l'école pour un apprentissage peu commun, on jure et on crache, on complote et on envoie un peu de sang sur la caméra, ça fait monter l'audimat. Peu de temps mort, quelques morts tout court, c'est loin d'être béni oui-oui. Sortez les pop-corns, ne craignez pas le pavé : il se lit bien vite.

On y parle de vengeance, de meurtre, d'une politique corrompue. L'univers est riche, sombre et malgré tout facile d'accès. Les quelques mystères disséminés par-ci par-là nous poussent à lire plus vite encore. du blockbuster disais-je, non de la littérature de niche, et il tient toutes ses promesses d'un bon divertissement aux personnages marqués et marquants.

Allez trêve de blabla, un de plus parmi la masse des babelionautes, et attaquons la suite !

Je me suis totalement laissée avoir !!
Pendant les 200 / 250 premières pages, je me suis interrogée sur ma santé mentale, sur la santé mentale des gens, je ne voyais que des avis positifs, des gros coups de coeur alors que j'étais à deux doigts d'abandonner ma lecture…

Au départ je ne comprenais pas l'engouement pour ce livre, le début est compliqué, beaucoup d'explications, beaucoup trop de notes de l'auteur. le récit était long, véritablement j'ai peiné pour continuer ma lecture…
Mia n'était pas un personnage attachant, elle était entourée de tellement de mystères que ça m'a empêcher de l'apprécier.

Et puis je ne saurai dire à quel moment, je me suis retrouvée à apprécier ma lecture, a être curieuse de découvrir la suite. Merci, il y avait moins de notes d'auteur. A ce sujet, j'ai pas compris pourquoi, c'était tout simplement pas intégré dans le récit.

Et les 300 dernières pages je les ai dévoré en 24h, tellement j'étais dans l'histoire, et franchement quel final, plein de rebondissement que je n'ai pas du tout vu venir, vraiment j'ai adoré !!

c'est pour cette raison que je ne met pas un 5/5, j'ai mis un peu de temps à entrer dans l'histoire et à m'intéresser au personnage principal.

C'est une bonne surprise, l'auteur est vraiment très imaginatif, on voit qu'il a bien construit le monde de son histoire, qu'il a le sens du détail.
Alors même si ça vous paraît long et un peu compliqué au départ, conseil, persistez !