L’auteur sur scène se réserve le droit d’improviser, de couper, d’allonger, bref de s’amuser avec Le Bestiaire, puisque le propre du conteur n’est pas de s’emprisonner dans la parole, mais au contraire de la rendre carmagnole.
Feu du ciel, puissent vos yeux battre tympans !
Au-delà des habits du conte, frissonne ce qu’il y a de plus imparfait et de plus perfectible : l’humain.
Toute ressemblance avec des situations ou des...
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