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EAN : 978B09F4MG4C3
303 pages
Les Éditions Québec Amérique (08/09/2021)
3.67/5   6 notes
Résumé :
Un matin de printemps, alors qu’elle feuillette le journal en sirotant son café, Anne Delagrave tombe sur l’avis de décès d’une femme qui lui ressemble comme un sosie. Comment est-ce possible? Qui était-elle? Pourquoi est-elle morte si jeune? Et si son père, le redoutable juge Delagrave, avait eu une fille illégitime? Et si, pire encore, il l’avait aimée plus qu’elle-même?
Commence alors une enquête fébrile dans laquelle Anne, journaliste de métier, se lance ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Anne Delagrave, journaliste et jeune trentenaire, découvre un matin, dans la section nécrologie de la Presse, la photo d'une défunte qui lui ressemble étrangement. Voici le point de départ de ce roman québécois dont l'action se situe autour des années ‘80 en grande partie à Montréal. Anne Delagrave mènera des recherches qui feront ressortir des situations familiales et personnelles sensibles.

C'est le point de départ de ce roman, la notice nécrologique, qui a suscité mon intérêt. Trouver son sosie parmi les défunts du journal a quelque chose de stupéfiant et quelque peu angoissant. J'aurais aimé retrouver à travers l'histoire une analyse psychologique plus approfondie mais je demeure avec l'impression d'être restée à la surface des émotions. de plus, les descriptions détaillées de plusieurs événements historiques qui ont eu lieu à l'époque de l'histoire, ne m'ont pas apparu apporter des éléments pertinents. Ils m'apparaissent plus être une tentative pour noyer la quête d'Anne Delagrave et donner des informations historiques au lecteur sans que cela appui le propos principal. Les dialogues me sont apparus manquer de fluidité et le dénouement prévisible.
Bref, je m'attendais à être captivé mais ce ne fut pas le cas. Néanmoins si on oublie les recherches de la protagoniste, les propos historiques , pris isolément, ne manquent pas d'intérêt à titre informatifs. Les qualités d'historienne de l'autrice sont indéniables mais pour moi, elles se sont moins bien harmonisées aux propos romanesques de ce livre que dans d'autres de ces romans historiques.

merci à masse critique et Quebec-Amérique de m'avoir permis cette lecture.
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critique masse quebec merci a babelio et quebec amerique
pour cette envoy.
voici un cour résumé
Anne Delagrave tombe sur l'avis de décès d'une femme qui lui ressemble comme un sosie. Comment est-ce possible? Qui était-elle? Pourquoi est-elle morte si jeune? Et si son père, le redoutable juge Delagrave, avait eu une fille illégitime? Et si, pire encore, il l'avait aimée plus qu'elle-même?
mon avis
quel belle flume a cette autrice j'ai adoré ce roman
que je voulais plus le quitter des main l'histoire
est activante le personage de anne j'adore.ce qui est super dans ce roman autrice nous fais decouvrir les début des année 80 ou les femme ce batais pour travail comme les homme ne plus etre la femme de maison.tout cet archive de montreal qui defile au long du roman.
laisse vous en porté par ce roman vous aller pas etre décu
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Une fille ! Lui qui rêvait d’un fils ! Le minuscule paquet de chair rougeâtre déposé dans ses bras n’avait pas de zizi… À l’arrivée de Jules, trois ans plus tard, Rufus s’était senti béni des dieux. Pensez ! Un petit homme à son image ! Mon sentiment de rejet s’en était trouvé confirmé. Je considérais comme un miracle l’attachement que je témoignais à mon frère qui, au sein de notre famille, avait toujours eu préséance sur moi, son aînée. Je lui portais trop d’affection pour le jalouser, du moins jusqu’à ce que tout explose entre nous. Mais n’anticipons pas.
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Il rêvait d’offrir à son fils tout ce dont la vie l’avait lui-même privé. Son souhait le plus cher ? Voir Jules endosser la toge d’avocat. Peine perdue, ce dernier n’avait rien voulu entendre. N’importe qui, à part Rufus, aurait compris qu’il n’avait pas la bosse des études. D’où un léger attiédissement de leurs relations jusque-là harmonieuses au point de me rendre jalouse, moi, la mal-aimée de la famille.
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Toutes les petites filles adorent être cajolées par leur papa. Le mien ne me prodiguait pas d’attentions affectueuses. Chez nous, on ne se touchait pas, on ne se collait pas, on ne s’embrassait pas… Décidément, l’indifférence de mon frérot me décevait. Mes jérémiades l’exaspéraient, cela, je ne l’ignorais pas. Depuis le temps qu’il me répétait de changer de toune !
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Être la fille d’un avocat célèbre rehaussait mon prestige auprès de mes compagnes de classe. Pourtant, à la maison, rien ne se passait comme elles l’imaginaient. Le juge avait instauré un régime autoritaire. S’il fermait parfois les yeux sur les incartades de mon frère, il se montrait impitoyable s’agissant de mes peccadilles.
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Ce ralliement pour le Non pouvait en effet sceller l’issue du référendum. Moi qui rêvais d’un pays souverain autant que de la libération féminine, je percevais l’impitoyable ironie du sort : le Québec risquait de perdre son pari précisément à cause d’une femme. Une pilule difficile à avaler.
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Videos de Micheline Lachance (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Micheline Lachance
Découvrez l'émission intégrale ici : https://www.web-tv-culture.com/emission/laurent-joffrin-le-cadavre-du-palais-royal-53076.html Attention, grande nouvelle pour les amateurs de polars historiques, Nicolas le Floch est de retour. Imaginé dès 2000 par le romancier Jean-François Parot, décédé en 2018, Nicolas le Floch fit aussi les beaux soirs de France Télévision avec la série éponyme.
Jean-François Parot avait fait vivre quatorze aventures à son héros, commissaire au Châtelet. de 1761 à 1787, le fringant policier breton, sous les ordres du ministre Sartine, allait vite devenir indispensable à Louis XV puis Louis XVI pour faire respecter la justice royale. La force de cette saga historico policière était de proposer des intrigues bien ficelées avec un héros récurrent attachant malgré ses paradoxes, le tout dans un décor historique parfaitement reconstitué avec une écriture plaisante, élégante, très littéraire.
La disparition prématurée de Jean-François Parot laissait Nicolas le Floch orphelin et les lecteurs inconsolables.
Mais les ayants droits du romancier ont donné leur accord et l'intrépide le Floch revient sur le devant de la scène. C'est à Laurent Joffrin que revient le privilège de prendre le flambeau et le pari réussi !
Laurent Joffrin, on le connait bien sûr en tant que journaliste, polémiste, chroniqueur. Directeur de rédaction à Libération puis au Nouvel Observateur, il intervient régulièrement sur des sujets politiques et sociétaux. Engagé politiquement, il a créé son propre mouvement social-démocrate en 2020.
Mais Laurent Joffrin est aussi écrivain. On lui doit bien sûr de nombreux essais sur la vie politique française mais aussi une belle biographie de Noor Inayat Khan dans « La princesse oubliée » en 2002. Il est aussi romancier, racontant la jeunesse de 1968 dans « C'était nous », paru en 2004. Laurent Joffrin ne cache pas son goût pour l'Histoire. Il le prouve en publiant « le roman de l'Histoire de France, de Vercingétorix à Mirabeau » ou encore « Les batailles de Napoléon ». Cet intérêt se manifeste aussi dans sa série romanesque « Donatien Lachance, espion de Napoléon » que Laurent Joffrin inaugure en 2010 avec « L'énigme de la rue St Nicaise ». Entre le Consulat et les premières années de l'Empire, déjouant intrigues et complots mettant en scène les plus hauts personnages de l'Etat, Donatien Lachance est depuis revenu régulièrement en librairie et a encore sans doute d'autres aventures à partager.
Ainsi donc, c'est tout naturellement, et presque comme une évidence que Laurent Joffrin a repris le personnage de Nicolas le Floch, s'inspirant du style Parot tout en apportant sa touche personnelle. Avec cette nouvelle aventure, nous sommes à l'automne 1789, dans les premiers mois de la Révolution. le peuple de Paris a pris la Bastille et le commissaire du Châtelet doit enquêter sur un cadavre dont il ne sait rien si ce n'est qu'il fait suite à l'enlèvement d'un couple au Palais-Royal. Bien vite, ce qui aurait pu n'être qu'un crime crapuleux se révèle être une affaire d'état. Mais qui est derrière. le duc d'Orléans, qui manigance depuis des années contre son cousin le roi ou bien Monsieur, le propre frère de Louis XVI ? Nicolas le Floch a du pain sur la planche d'autant que la menace gronde, que le monde change et que les propres certitudes de le Floch, jusque là fidèle à la Couronne, commencent à vaciller.
Régalez vous avec ce nouvel opus des aventures de Nicolas le Floch. Les amateurs des aventures de Nicolas le Floch apprécieront et ceux qui ne le connaissent pas encore seront séduits.
« le cadavre du Palais-Royal » de Laurent Joffrin est publié chez Buchet-Chastel.
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