Les Poupées

Les poupées d'Alexis LAIPSKER

♥♥ COUP DE COeUR ♥ ♥
J'adore ces romans où on vous donne
tout un tas de pièces de puzzle sans savoir au départ comment elles vont s'imbriquer.
Des chapitres très courts qui nous font passer d'un personnages à un autre et qui donnent beaucoup de rythme au récit, de telle sorte qu'on ne s'ennuie jamais.
Un véritable page Turner.
Et une fin à la hauteur du reste du récit.
Exactement le genre de thriller que j'aime parce qu'il vous retourne le cerveau. ♥♥

Une plume efficace, avec un suspense incroyable, la fin est vraiment dingue !
J'ai beaucoup aimé le duo Venturi et la psy!
Une intrigue bien ficelée qui m'a tenue en haleine du début à la fin.
On ne s'ennuie pas un instant aux côtés de Venturi et la psy !
J'ai vraiment adoré, j'ai passé un très bon moment de lecture avec un polar comme je les aime !
Les personnages sont attachants, les chapitres s'enchainent assurant un bon rythme.
Ce polar contient de l'action, des rebondissements qui rendent le récit vivant sans le moindre temps mort.

Sur ma PAL depuis un moment, le film le mangeur d'âmes m'a donné envie de découvrir Alexis Laipsker...

Et en tant que psy et passionnée de polars, me voilà très partagée !
Je n'ai pas du tout aimé car il y a des défauts rédhibitoires dans la forme comme le fond ... Mais certains aspects donnent envie de redonner une chance à ce duo

Par exemple, c'est très page turner, certes ... Mais je n'ai jamais vu des cliffhangers aussi mal amenés ! Les chapitres sont découpés de manière plus grossière qu'efficace

Et surtout il y a un gros paradoxe : la psychologie des enquêteurs est fine... Tandis que celle du tueur est d'une méconnaissance clinique rare dans la littérature contemporaine !

Déjà, le personnage de la psy raconte n'importe quoi (avec une invention "trouble dissociatif de la personnalité" pour TDI, pire : un mot pour un autre avec "psychotique" pour psychopathe, de même l'idée de psychose pour dédoublement de la personnalité) ...

L'anamnèse du tueur semble forte, mais on manque de détails pour la justifier : tellement dommage pour un thriller psychologique !

Et puis le twist final 🙄
1) vu, vu et revu donc prévisible
Surtout que l'on apprend longtemps avant qu'il a plusieurs personnalités... En plus, les chapitres de la soeur sont bien sûr les seuls écrits à la première personne = subjectifs...
2) ça ne tient absolument pas dans l'histoire car quand "elle" vient dénoncer son frère avec le portrait robot qui les représente, ok il est difficile de prendre son signalement au sérieux ... Par contre, il a quand même bien une tête couverte de cicatrices... Comme leur suspect ! Et ça ne fait pas tilt au planton !

>>> Bref, je vais enchaîner sur la nouvelle pour départager le positif du négatif et ainsi savoir si je poursuis sur les tomes 2 & 3 😅

MISE À JOUR APRÈS AVOIR LA LECTURE DE FACE À FACE :
Là encore, Alexis Laipsker ne sait pas du tout de quoi il parle ! 🤬
>>> Ça ne tient absolument pas la route en termes de clinique !

Bref, si c'est pour faire de ces troubles son fond de commerce, ce serait bien de se documenter un minimum !!! 🤬

Donc pour moi Laipsker c'est fini... D'autant que sur ses autres bouquins, beaucoup de critiques mentionnent une psychologie à la truelle, alors je n'imagine même pas !

Cela me rappelle Donato Carrisi avec sa trilogie sur l'hypnose... Qui relève de la possession mentale tellement les sujets sont des marionnettes et parfois à très long terme
OK ça en jette... mais on passe de thriller au genre fantastique 🙃

Or j'estime que l'on ne peut pas faire n'importe quoi avec la psychopathologie :
1) par devoir professionnel : pour que le roman reste crédible
2) par devoir citoyen : c'est à cause de ce genre de conneries dans les fictions qu'il y a une méconnaissance voire une peur des maladies et malades mentaux ☹️

Ça commençait bien et plaf... comme un soufflé qui retombe... à 36% du livre (je lis sur liseuse) on comprend qui est le tueur...

Pourquoi ???

Le style Columbo ou esprits criminels (dont on sait d'entrée qui est coupable) très peu pour moi...je préfère le style Mentalist ou elementary....
C'est pourquoi j'aime Agatha Christie ou encore Michel Bussi...mais là...comme pour les livres d'Olivier norek... désolée mais ce n'est pas pour moi...

J'aime les énigmes, mener l'enquête avec les protagonistes, avoir des doutes, faire marcher mes cellules grises comme dit si bien Hercule Poirot...j'aime les rebondissements, les intrigues bien ficelées ( tout en restant crédibles) pas m'énerver en sachant d'entrée qui est le coupable....

Dommage, je vais laisser tomber cette lecture car le plaisir de la découverte ne sera plus là...

Je pense que le meilleur compliment que je puisse faire est de dire que ce livre m'a redonné le goût de la lecture ( j'ai lu le mangeur d'âmes il y a quelques mois, excellent aussi, mais comme souvent le rythme du quotidien fait qu'on a pas toujours le temps de lire avec assiduité, j'ai donc tardé à me replonger dans un livre, je vais faire en sorte de poursuivre sur ma lancée car..quel auteur!). Un duo excellent, un rythme constant, des chapitres courts qui évitent l'ennui, c'est très efficace. Hâte de commencer le prochain, Hurlements ! Oui autant faire dans l'ordre après tout.

J'ai rencontré l'auteur lors d'un festival du polar, avant de l'avoir lu. Mauvaise idée. le bonhomme m'est apparu comme antipathique, pédant et franchement lourd. Ça vous donne des a-prioris, évidemment. Je m'y suis tout de même plongée, parce que je suis curieuse -et têtue.
Bon. C'était pas si mal. Alexis Laipsker tente de s'écarter du cliché -à grand peine- et nous le fait savoir. Il fait le bon élève, mais le lecteur n'est pas dupe. Venturi reste un ramassis de clichés éculés. Heureusement, l'intrigue est bien menée.

C'est excellent, brillant, macabre et terrifiant. Je ne regarde pas de films horrifiques mais en livre ça passe mais il est rare que j'ai peu en lisant un thriller mais celui-ci m'a fait peur à certains moments notamment dans la scène de découverte des cadavres et avec la voyante : ceux qui l'auront lu savent de quoi je parle. Ce qui fait la force de ce thriller ce sont les personnages : Venturi qui est surnommé le cow-boy, que j'ai adoré et qui effraie tout le monde par son comportement. Puis il y a Olivia, jeune psy, que l'on croit timide et réservée mais qui est hyper punchy et qui ne se laisse pas faire.
Quant à Alexis Laipsker, il se joue encore une fois de nous et la fin m'a laissée sur les fesses. C'est vraiment brillant, c'est en passe de devenir l'un de mes auteurs favoris. Si vous n'avez pas encore découvert cet auteur, allez-y et si vous n'avez pas lu Les Poupées, n'attendez plus !!!

Un vrai coup de coeur pour cette découverte ❤️

Dans ce roman, il est question d'un tueur en série qui joue à la poupée avec ses victimes, d'un flic bourru mais déterminé à résoudre cette enquête, d'une jeune psy spécialisée dans la psychologie des criminels et d'une voyante partie s'installer en Provence.
Aucun temps mort dans ce roman, les chapitres sont fluides et s'enchaînent, j'ai eu du mal à le lâcher tellement je me suis prise au jeu de cette enquête et quel plaisir de se faire balader tout du long pour à la fin découvrir le pot aux roses...Et quelle fin!
J'ai adoré suivre ce duo flic-psy où les rôles s'inversent, les mésaventures de cette voyante et les pensées (macabres) de ce tueur.
Je conseille vraiment cette lecture aux amateurs de thrillers.
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Ce livre est une pépite, un vrai regal que ce soit dans l intensité, dans l enquête ou dans la conclusion. On plonge dans un polar sombre avec ses 6 meurtres, l histoire se construit, les chapitres sont courts donc encore plus addictifs. le final est un vrai coup de poker et il m'a laissé tapis, bravo . Maintenant je peux vraiment vous dire que cet auteur a un putain de talent dans l écriture

J'avais été particulièrement déçu par "Le mangeur d'âmes". Je me suis donc lancé dans la lecture de ce roman avec l'espoir de découvrir un livre passionnant, conforme à sa critique dans ces colonnes. Et bien non.
Le flic "cowboy", le méchant avec dédoublement de personnalité, des cadavres à la pelle, le dénouement abracadabrant, tout était réuni pour que ça ne me plaise pas. J'abandonne Laipsker. Pour d'autres sans doute, pas pour moi.