Lorsque Michel Vaillant est mis au défi par POG, un célèbre youtubeur de faire une course contre lui, à travers les États-Unis, sa réponse est nette et claire, c'est non !
Mais participer à une Cannonball entre New York et la côte ouest s'avère en fait être, selon Françoise, une excellente opportunité marketing.
La course sera retransmise sur les réseaux sociaux et du coup la publicité autour du nouveau modèle Vaillante, la Montlhéry, donnerai une image plus jeune, branchée et cool de la marque.
Contre toute attente, tout le monde à l'air emballé par ce challenge, et les réticences de Michel ne se limitent désormais plus qu'au risque de perdre sa licence de pilote si il venait à être arrêté par la police.
Mais pour cela.... encore faut-il qu'il soit arrêté.
La décision est donc prise et le défi lancé par POG est accepté.
Il n'y a rien à gagner dans cette course, si ce n'est le record de la traversée du pays, et tant POG que Michel entendent bien se livrer un duel sportif équitable.
Mais à quelques heures du départ, une intrusion dans le garage où sont garés les deux bolides vient semer le trouble sur la raison même de ce duel. En vaut -il encore la peine ?
Un léger sabotage est découvert sur la Ferrari de POG, mais rien, en apparence sur la Vaillante, pourtant, les caméras de surveillance laissaient à supposer que l'ordinateur de bord avait bien été la cible des criminels.
Qu'à cela ne tienne, la course aura bien lieu, mais sera-t-elle épargnée pour autant...
Commenter  J’apprécie         40
Et une nouvelle histoire de course! cette fois ci il s'agit d'une course ouverte sur les routes normales avec la circulation normale. C'est le défi lancé par POG un youtubeur à Michel Vaillant, qui au début n'a pas vraiment envie de le relever. Dangereux, illégal, bref qu'aurait Vaillante à y gagner? Et bien, une publicité énorme. Et cela compte pour la femme de Michel. Convaincu la Team Vaillante part aux USA pour cette course fabuleuse. Mais des petits malins on tdécidé de s'imiscer dans la course et de rajouter du danger dans le danger, puisque la Vaillante va etre sabotée...Une histoire pleine d'action, qui ressemble par moment à certains films comme Speed. Un bon moment de lecture.
Commenter  J’apprécie         20
Une équipée automobile énergique qui, bien évidemment, lance le pilote sur de nouveaux chemins tortueux et dangereux. Les adeptes sauront l’apprécier à sa juste vitesse.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Un diptyque cette fois avec changement de dessinateurs et une sortie provisoire non de route, au contraire, mais scénaristique qui va aller flirter avec le terrorisme. Attendons la suite pour voir comment Lapière va relier les fils, ce qui est le cas de le dire. Un premier volet classique et bien ficelé sauf que suspense oblige, wait and see.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Marc Bourgne, dessinateur avec Benjamin Benéteau des premiers albums de cette saison 2, est de retour, cette fois-ci aux côtés d’Olivier Marin. Ils sont assistés par Tomas Moron Aranda pour les décors. Le trio s’en tire plutôt bien, conservant la charte graphique de la série tout en la modernisant.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Conduire à grande vitesse, c'est l'incarnation de l'esprit outlaw, hors la loi, typique de l'Amérique.
Dans le 172e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Barcelona, âme noire, que l’on doit au scénario conjoint de Denis Lapière et Gani Jakupi ainsi qu’au dessin de Ruben Pellejero, Martín Pardo et Emmanuel Torrents et qui est édité chez Dupuis sous le label Aire libre. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie du premier tome sur deux de Sans Francisco 1906 un album baptisé Les trois Judith que l’on doit au scénario de Damien Marie, au dessin de Fabrice Meddour et c’est à retrouver aux éditions Grand angle
- La sortie de l’album Sang neuf que l’on doit à Jean-Christophe Chauzy et aux éditions Casterman
- La sortie de l’album Carcajou que l’on doit au scénario d’ElDiablo, au dessin de Djilian Deroche et c’est édité chez Sarbacane
- La sortie de l’album Vivre libre ou mourir que l’on doit au scénario d’Arnaud Le Gouëfflec, au dessin de Nicolas Moog et c’est publié chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
- La sortie de l’album Oh, Lenny que l’on doit à Aurélien Maury et aux éditions Tanibis
- La réédition en intégrale du diptyque Le convoi que l’on doit à Denis Lapière au scénario, Emmanuel Torrents au dessin et c’est publié chez Dupuis dans la collection Aire libre.
+ Lire la suite