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4,06

sur 547 notes
Bienvenue au Pays des kiwis!
Une jeune préceptrice, instruite mais sans fortune qui répond à une annonce matrimoniale, la dernière née d'une famille noble dont le père joue la main au black jack avec "le Baron des Moutons" ; et ce sont deux femmes qui prennent ensemble le bateau pour aller épouser un homme qu'elles ne connaissent pas.
Malheureusement, l'éleveur modeste mais cultivé imaginé par l'une se révèle être un homme alcoolique et brutal ; l'héritier du baron des moutons intrépide et fougueux fantasmé par la seconde est en fait un jeune homosexuel raffiné et délicat... Les deux femmes vont donc devoir trouver leur voie dans un Pays magnifique mais inconnu et trouver une place dans une société qui singe les us et coutumes de l'Angleterre rigide des années 1850.
L'histoire n'est pas mauvaise mais manque un peu de feu et de passion. J'ai eu un peu de mal à m'attacher aux deux héroïnes sans doute un peu trop raisonnable. Toutefois la description de la Nouvelle Zélande et de ses beautés est bien rendue et vous donne envie d'aller faire un tour petit tour aux Antipodes.
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D'un point de vue historique, j'ai beaucoup appris sur la Nouvelle-Zélande et j'ai trouvé ça très intéressant. On découvre la vie là-bas pour des colons déjà bien installés mais dans un pays en plein développement. le roman s'étalant sur plusieurs années, on peut même suivre certaines évolutions du pays.

Les personnages sont multiples. Hélène et Gwyneira restent les deux personnages principaux que l'on retrouve le plus souvent et tout tourne autour d'elles. J'ai adoré ces deux personnages féminins tellement différents mais en même temps aussi intéressantes l'une que l'autre. On se doute bien vite que leurs illusions vont être déçues en arrivant en Nouvelle-Zélande et on les voit affronter de nombreuses épreuves au fil des années mais elles ne se laissent pas abattre.

L'auteure prend soin de mettre en place le contexte historique et décrit avec précision le quotidien. Dans ce genre de roman, on s'attend toujours à trouver une ou plusieurs romances et je n'ai pas été déçue. C'est loin d'être la trame principale et à l'image des personnages, le lecteur doit être patient car le tout se met en place plutôt tardivement. Mais j'ai trouvé que c'était très bien amené et que cette partie ne prenait pas trop de place.

L'auteure aborde différents aspects de la vie en Nouvelle-Zélande et on y parle aussi bien d'élevage de moutons, que de chasse de baleine ou encore de ruée vers l'or. J'adore ce genre de romans où l'on suit plusieurs personnages et où l'on découvre de nouvelles choses à chaque page.

Même si j'ai trouvé que la fin était un peu trop « facile », cela est compensé par le fait que les personnages en voient de toutes les couleurs pendant tout le reste du roman. Ça a toutefois le mérite d'être une vraie fin, ne générant aucune frustration de ne pas avoir la suite entre les mains.

C'est donc un roman historique que je recommanderais volontiers à tous ceux qui aiment les sagas familiales et qui voudraient notamment en apprendre un peu plus sur la Nouvelle-Zélande.
Lien : https://latetedansleslivres...
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MON livre de l'année !!! même si ce n'est que février…
Ce livre raconte l'histoire de deux jeunes filles, entraînées en Nouvelle Zélande pour s'y marier, l'une suite à une petite annonce, l'autre du fait d'un pari. Ces deux jeunes filles se rencontrent lors de la traversée, vont devenir amies, et vont traverser ensemble les épreuves du quotidien.
Bien sûr d'autres personnages interviennent dans l'histoire : des Maoris, des hommes (bons ou méchants), des enfants, … En effet, ces deux femmes vont avoir une descendance, et la fin du roman s'accélère en effet avec les enfants de l'une et de l'autre, les intrigues… Parfois le roman s'écarte des jeunes femmes pour suivre un homme… cette rupture de ton est bienvenue !
Ce roman se lit tout seul si vous êtes fan des romans du XIXè, des romans où l'histoire met longtemps à s'installer, des moutons, des jeunes filles naïves et innocentes, des histoires d'amour qui finissent al (mais parfois bien). Je l'ai lu presque d'une traite.
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Hélène, préceptrice en Angleterre, décide de partir en Nouvelle Zélande pour répondre à une annonce et épouser un inconnu.
Gwyneira, jeune lady, sera mariée elle au fils d'un riche propriétaire terrien et quitte elle aussi l'Angleterre pour la Nouvelle Zélande. Elles feront connaissance sur le bateau qui les emmènent vers leur nouvelle vie et leur amitié sera dès lors indéfectible, quels que soient les bons moments ou les embûches qu'elles rencontreront.
Vous voulez vous évadez? vous cherchez un bon livre pour cet été? Lisez cette
saga romanesque épatante! et en plus il y a une suite!
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Magique !

Une épopée sur toute une vie, des destins qui se croisent et la découverte d'un nouveau territoire.

Malgré la platitude quelquefois de certains personnages, on se laisse facilement happer par ce livre.

Agréable pour une lecture facile quand on n'a pas envie de se prendre la tête.
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Au milieu du XIXè siècle, Sarah et Gwynéira, toutes deux britanniques, font connaissance à bord d'un navire qui les mène vers de lointaines terres australes où les attend leur destin.
C'est en Nouvelle-Zélande qu'elles doivent toutes deux rencontrer le futur mari qu'elles n'ont jamais vu. C'est là que se poursuivront leurs vies, qu'elles feront face aux déceptions, aux déconvenues, à la brutalité des hommes et à la précarité des conditions de vie dans ce "nouveau monde".
Là qu'elles se révèleront, avec force et courage.

Un grand souffle romanesque nous happe dès les premières pages de ce récit où sont réunis tous les ingrédients qui font le succès des grandes sagas: des personnages typés, des pays lointains, des conflits, des sentiments, des traques, des horreurs, du courage, de l'amour... Bref, on éprouve le même plaisir à lire ce roman que celui qu'on pouvait éprouver à regarder les séries d'antan, qui ne se déclinaient pas en "saisons" mais en "épisodes", dont on attendait la suite avec impatience d'une semaine à l'autre, et dont les personnages finissaient par nous paraître si familiers.

Le style de Sarah Lark est agréable et précis, ses recherches sérieuses pour nous faire découvrir la Nouvelle-Zélande, ses habitants maoris et les colonies britanniques, ses paysages grandioses, ses chercheurs d'or et ses éleveurs de moutons.

Un gros pavé qui nous tient en haleine sans jamais nous lasser.
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Ce roman retrace le parcours de deux femmes que tout sépare mais qui vont devenir amies. L'histoire commence en Angleterre, à Londres, en 1852, une époque où la femme n'a pas de statut, doit se marier, gérer la maison et élever des enfants. Hélene est préceptrice dans une famille d'aristocrates. Elle est célibataire, âgée de 26 ans (un âge où il n'est pas bien vu de ne pas être mariée). Elle est fille de Pasteur, ses parents sont décédés, elle fréquente régulièrement la paroisse et un matin voit une annonce qui propose de mettre en relation -en vue d'un mariage- des jeunes femmes Anglaises avec des Messieurs de Nouvelle-Zélande dont l'excellente réputation est garantie.

Hélène décide de répondre et entame une correspondance avec un certain Howard O'keefe, mais la Nouvelle-Zélande c'est loin, il faut trois mois pour acheminer le courrier et autant pour avoir un retour. Un matin, la paroisse la contacte par rapport à son envie de fonder un foyer en Nouvelle-Zélande et lui propose de convoyer des orphelines qui sont envoyées là bas pour être au service de familles Anglaises qui vivent sur place, ça lui permettra de partir plus vite et surtout, son voyage est payé. Hélène n'hésite pas un seul instant, elle s'embarque à bord du voilier avec 6 fillettes, la plus âgée n'a que 13 ans, Howard n'est pas prévenu, ce sera une surprise.

Gwyneira est issue d'une famille d'aristocrates, les Sylkam, elle a 17 ans, d'une beauté à couper le souffle. Elle a reçu une éducation noble mais préfère s'occuper des chevaux (elle est une cavalière émérite) et de dresser ses border collies qui ont obtenu plusieurs prix. Elle vit dans un magnifique domaine où son père élève des moutons, il est réputé pour avoir les plus belles bêtes, il commence aussi à être un peu désargenté (toutes proportions gardées). Ils accueillent Gérald Warden qui est éleveur de moutons en Nouvelle Zélande et qui vient pour acheter les meilleures bêtes afin d'enrichir son troupeau qui compte des milliers de têtes. L'homme est veuf et a construit un empire sur ses terres de Kiward station. Il est tout de suite attiré par Gwyneira mais il se sait trop âgé pour elle, aussi, lors d'une partie de poker, alors que le whyskie coule à flot et que Lord Sylkam est à court d'argent pour la mise, il lui propose carrément de jouer Gwyneira, si il gagne, il l'emmène chez lui où elle épousera son fils, un charmant jeune homme qui est, parait-il très beau. Terence Sylkman accepte et bien évidemment perd la partie, le destin de Gwyneira vient d'être scellé.

Elle embarque à bord du Dublin, un immense voilier qui fait le trajet jusqu'à Lytteltown. Gérald Warden lui a permis d'emmener son cheval et son chien, avec les autres animaux qu'il a achetés. Elle voyage en première classe, une cabine somptueuse qui va lui être bien agréable durant les trois mois de traversée. Hélène est-elle aussi à bord du voilier mais en troisième classe, dans le fond du navire, logée avec les orphelines et comble de l'inconfort, les animaux sont tout près dans un espace spécialement aménagé pour eux. C'est comme ça qu'elle fait la connaissance de Gwyneira qui vient tous les jours voir son cheval pour le nourrir. Bien que les jeunes femmes soient différentes de caractère et de condition sociale, elle s'entendent tout de suite.

Quand elles arrivent en Nouvelle Zélande, elles doivent se séparer, avec la promesse de se revoir très vite. Pour Hélène c'est la douche froide, Howard O'Keefe n'est pas du tout le gentleman qu'elle pensait, c'est un rustre qui possède une toute petite baraque en bois dans un trou perdu, il est désargenté, et surtout il boit. La jeune femme comprend bien vite mais c'est trop tard pour faire marche arrière. Elle pourrait renoncer à l'épouser, trouver un emploi de préceptrice, mais elle accepte de suivre Howard et elle comprend bien vite que ce n'est pas une épouse qu'il cherche mais une femme pour s'occuper de la maison et de la ferme.

Gwyneira est mieux lotie, elle est d'abord époustouflée par les paysages et Gérald ne lui a pas menti, le domaine est magnifique et la maison aussi, elle est très grande et meublée avec classe. Il y a une écurie pour les chevaux, des hangars pour les moutons et autres, des jardins et deux domestiques pour l'intendance. Gwyneira a la surprise de trouver une chambre entièrement préparée par Lucas, le fils de Gérald, il a tout meublé chichement et Gérald n'a pas menti, Lucas est très beau et plaît tout de suite à Gwyneira.

La jeune femme est heureuse, elle va pouvoir commencer une nouvelle vie, faire de grandes balades à cheval, tenter de s'immiscer dans l'élevage des moutons, Gérald organise aussi de somptueuses fêtes, la vie devrait être belle.

Tandis que le mariage d'Hélène est fait à la va vite avec juste deux témoins et une nuit de noce désastreuse, celui de Gwyneira est célébré en grandes pompes avec le gratin des villes voisines. Ce que Gwyneira ignore encore mais que le lecteur comprend tout de suite c'est que Lucas est attiré par les garçons. Il est néanmoins très a l'écoute de Gwyneira et se révèle un compagnon agréable lorsqu'il s'agit de parler de musique ou de littérature, de sciences, de botanique. Côté devoir conjugal rien ne va.

Les deux femmes avancent dans la vie tout en se rendant visite en cachette parce que Howard O'Keefe et Gérald Warden ne peuvent pas se supporter. Ils ont pourtant été associés autrefois mais une histoire de femme est venu tout gâcher. Warden a épousé la promise de O'Keefe. Depuis les deux hommes sont toujours prêts à s'entretuer.

L'autrice nous raconte la vie des deux jeunes femmes, la naissance du fils d'Hélène qui n'est pas heureuse et qui a cependant réussi à créer une petite école pour apprendre à lire et à écrire aux enfants maoris. Gwyneira qui n'a toujours pas donné d'héritier à Warden qui commence à leur mettre la pression

En parallèle l'autrice développe aussi sur le peuple maori et les problèmes rencontrés avec les colons Anglais. On suit également les aventures des orphelines qui, si pour certaines tout a mal commencé, arrivent plus ou moins à se débrouiller. Des drames viennent bousculer la vie de Gwyneira et d'Hélène. Les jeunes femmes restent liées contre vents et marées.

L'autrice met également l'accent sur le courage des deux femmes, sur leur résilience et aussi sur leur côté féministe. Elles n'hésitent pas à braver les interdits. C'est surtout Gwyneira qui est remarquable, elle arrive à s'imposer dans un monde d'hommes, Hélène n'est pas en reste, même si c'est de façon différente et moins voyante.

C'est un magnifique roman qui dépayse totalement et nous embarque dans des paysages somptueux. Les personnages sont très intéressants et pour certains attachants, j'adore suivre l'histoire de ces deux femmes qui sont très courageuses, l'intrigue est belle, il y a des surprises, des rebondissements, on ressent énormément d'émotions, on ne s'ennuie pas un seul instant et les 755 pages se dévorent sans qu'on ne s'en rende compte.

C'est une trilogie, il y a deux autres volumes du même nombre de pages pratiquement LE CHANT DES ESPRITS et LE CRI DE LA TERRE que j'ai bien sûr prévu de lire. C'était ma dernière lecture de 2022 et c'est un beau coup de coeur !
Lien : https://jaimelivreblog.wordp..
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Le pays du nuage blanc, que de rêves et de souvenirs ..
Le port de Lyttelton ..... à quelques kilomètres de la baie d'Akaroa, le lieu colonisé au cours des années 1830 par des francais (*) ... Akaroa, mon lieu de séjour pour la découverte de Christchurch.
Souvenir ... Taumata­whakatangihanga­koauau­o­tamatea­turi­pukaka­piki­maungaoronuku­pokai­whenuaki­tanatahu .... une colline située sur l'île du Nord et culminant à 305 mètres d'altitude ... seul intérêt : son nom.
Et ... l'enchaînement des souvenirs ... Westport, port la côte ouest comme l'indique son nom, une étape de notre voyage ... les autres étapes ... le lac Wakatipu ... Queenstown ... le lac Pukaki, près du mont Cook (point culminant de la Nouvelle-Zélande. Il fait partie des Alpes du Sud et culmine à 3 724 mètres d'altitude, au-dessus du glacier Tasman) ...

Qu'est ce que je cherchais dans cette saga néo-zélandaise ?
Une histoire qui racontait comment a commencé la colonisation de ce bout du monde, pas uniquement une histoire d'aventurier avec les massacres de baleines ou de phoques mais la constitution d'une société avec l'établissement de ses règles et usages issus de l'ancien monde qu'il a bien fallu adapter au nouveau et les liens tissés avec les précédents colonisateurs tenant d'une tout autre civilisation et n'ayant pas les mêmes valeurs.
Certes on trouve bien cela derrière une belle histoire mais tous les clichés sont là, le point est plus appuyé sur les détails croquignolets, plus ou moins scabreux, de l'aventure et c'est vraiment délayé.
Une histoire d'amour, des histoires d'amour contrarié par le destin.
C'est un peu comme un feuilleton langoureux dont les episodes se succèdent sans qu'il ne se passe grand chose hormis des remous dans le marais des sentiments.
Un tome 2 existe ainsi que ... je ne sais plus ... je ne suivrais pas l'aventure je m'arrêterai là, avant de m'endormir et de rêver de mes souvenirs du pays du nuage blanc !

Une petite précision pour l'auteur, le traducteur, la maison d'édition
Ex p301 "le torchon brûlait en affect à Kiward Station : chaque mois qui passait sans qu'Hélène fût enceinte aggravait la situation. "
Je rappelle que c'est Gwyn qui habite à Kiward Station et qui ne tombe pas enceinte, pour sa part Hélène habite près de Haldon et à accoucher de Ruben
J'ai un peu l'impression qu'on se fout de ma gu...

(*) "Il y a environ mille ans les Polynésiens peuplent la Nouvelle-Zélande, la vallée d'Akaroa y compris, celle-ci est donc habitée par plusieurs tribus maories.
Bien des années plus tard, James Cook découvre, en 1770, la péninsule de Banks. Il est persuadé que la péninsule est en fait une île, erreur compréhensible lorsque l'on voit l'eau qui entoure la majeure partie de celle-ci.
En 1830, les Anglais intensifient leur présence en Nouvelle-Zélande et y développent le troc avec les populations indigènes.
Au cours des années 1830, quelques baleiniers français mènent leurs activités près de la Nouvelle-Zélande. La zone de pêche à la baleine étant excellente, le capitaine Jean François Langlois a donc l'idée de créer une colonie française en Nouvelle-Zélande afin d'éviter de parcourir la moitié de la planète pour obtenir de l'huile de baleine. En août 1838 il achète une bonne partie de la Péninsule de Banks aux Maoris pour mille francs et leur donne un premier versement de 150 francs sous forme de troc, le restant du paiement devant se faire au moment de la prise de possession effective du territoire. le capitaine retourne donc en France et fait les démarches nécessaires pour qu'une expédition de colonisation soit envoyée sur l'île sud de la Nouvelle-Zélande.
Il faut attendre 1840 pour qu'un petit groupe de français dirigé par Charles François Lavaud, revienne en Nouvelle-Zélande pour y établir une colonie. Mais les Anglais ont déjà la souveraineté de l'Ile du nord et, avec le traité de Waitangi, il leur est facile de prendre possession de l'Ile du Sud. Ce qui arrive quelques semaines avant le retour des Français.
Au lieu de la quasi totalité de la péninsule de Banks, les colons envoyés par la France ne peuvent s'implanter que dans deux villages de la Baie de Paka Ariki (future French Bay) : Akaroa et le futur Takamatua.
Ces deux implantations françaises ne tiennent pas bien longtemps en tant que telles et passent rapidement sous contrôle britannique, mais un certain nombre de Kiwis (habitants de Nouvelle-Zélande) descendent des colons français qui y ont fait souche.
Akaroa revendique pleinement son influence française, on y trouve par exemple des noms de rues tels que "Rue Jolie" et "Rue Lavaud" mais également des petits commerces : "L'Hotel", "Ma Chérie" ou encore "La Boucherie du Village". Chaque année se tient le Festival français d'Akaroa (Akaroa FrenchFest)."
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J'avais trop envie de lire ce livre, un peu déçue car derrière le scénario en Nouvelle Zélande, une histoire trop racontée !
Une chose est sûre je ne lirai plus ses livres ! Son style n'est pas le mien !!
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Une bonne histoire dont l'idée est intéressante. Elle dévoile un pan de l'histoire que je ne connaissais pas.
Les 200 premières pages ont été très plaisantes mais j'ai ensuite eu tendance à trouver un peu le temps long, l'aspect "romance" étant trop mis en avant à mon goût. L'époque était rude pour beaucoup et les choses m'ont semblées souvent trop édulcorées.
Une lecture en mi-teinte pour moi.
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