Le pays du nuage blanc, tome 2 : Le chant des esprits

Quel plaisir de repartir en voyage dans la Nouvelle-Zélande du XIXème siècle avec ce deuxième tome de la saga.
Gwyneira et Hélène ont un peu vieilli et sont maintenant les "sages" grands-mères d'Elaine et Kura, descendantes et héroïnes de ce tome-ci.

Une fois encore, j'ai retrouvé dans ce tome tout ce que j'avais adoré dans le premier volet : de beaux paysages, des destins peu communs avec de nombreuses péripéties et surtout, des personnages très aboutis, dotés d'une véritable force de caractère.

Une chose est sûre, de génération en génération, on ne s'ennuie pas chez les O'keeffe et les Warden…. Entre rêves de gloire, mariage malheureux, enfant non désiré, amour déchu, héritage et fuite à travers le pays… C'est un véritable souffle romanesque qui s'abat sur ce tome et cela ne nous laisse pas de marbre !

"Le chant des esprits" termine de planter les bases d'une grande saga familiale réussie et nous laisse sur une belle promesse pour la suite avec "le cri de la terre", point final de cette histoire au pays du nuage blanc.

Pour ma part, je pense que ce n'est pas évident de conserver la même ligne d'attraction du lecteur dans une série littéraire. Ici, l'auteur a réussi à m'emporter dans ce 2è tome et j'ai ressenti le même plaisir à la lecture que pour le 1er tome. On s'attache aux personnages, on vibre aux rebondissements et comme des amis, on a hâte de les retrouver dans le 3è volume.

Dans ce nouvel opus, on suit la très belle, magnifique mais égoïste Kira mais aussi la douce et très timide Elaine, sa cousine.
On se retrouve donc en Nouvelle Zélande, au XIXème siècle dans un roman historique épique où se mêle aventure, émotion, découverte d'un nouveau pays qui se développe et surtout ici découverte de la culture maori à travers la musique et la danse traditionnelle ; j'ai appris beaucoup de choses sur cet immense pays, sur son histoire, sur les liens entre les colons et les indigènes maoris.
A travers nos héros, on découvre la vie dans les grandes propriétés des colons qui élèvent des troupeaux de moutons immenses sur des milliers d'hectares , dans des zones malgré tout très isolées... et qui doivent cohabiter avec les tribus maoris qui vivent sur ces grands espaces.

On va découvrir aussi le développement des villes minières avec notamment l'exploitation des mineurs qui ont comme en Angleterre ou au Pays de Galles d'où proviennent ces travailleurs, des conditions de vie et d'hygiène déplorables.

Sinon, revenons à nos deux héroïnes : tout d'abord, Kura (métisse d'une mère maori et d'un père blanc) qui a été élevée et gâtée par sa grand-mère ne vit donc que pour la musique et rêve de devenir une grande diva au grand dam de toute la famille. Je n'ai vraiment pas aimé ce personnage trop gâtée, égoïste qui n'en fait qu'à sa tête et qui agit sans se soucier de faire du mal aux gens.
Et du mal, elle va en faire à sa cousine Elaine dont elle va voler le fiancé !
A partir de là, tout va s'enchainer pour nos héroïnes et notamment pour la pauvre Elaine qui va se marier d'un coup de tête à un homme détestable et violent !

J'ai beaucoup aimé Elaine qui va en voir de toutes les couleurs et qui devra grandir, changer, évoluer pour s'en sortir et pour découvrir peut-être enfin le véritable amour. J'ai beaucoup aimé cette fille simple qui aime les chevaux, les chiens et qui devra beaucoup à sa petite chienne fidèle Callie. Je me suis un petit peu retrouvée dans sa personnalité.
Il y a aussi des personnages secondaires intéressants avec lesquels on aborde le thème du handicap et de la volonté pour pouvoir s'en sortir.
Avec Kura, on aborde la thématique de la musique maori, thème assez intéressant puisque c'est une héroïne musicienne qui vit pour et par la musique même si les autres ne la comprennent pas ; du coup, cette passion la rend égoïste et hermétique aux autres !
J'ai donc dévoré les trois quarts de ce livre qui se lit tambour battant.
Il y a eu quand même quelques longueurs à la fin du roman qui aurait pu se passer de quelques 50aines de pages.

Pour terminer, j'ai adoré et dévoré cette lecture en 4 jours et j'ai hâte de lire la suite et fin de cette saga.
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Ce deuxième volume de la saga s'est lu presque aussi rapidement que le premier. Pourquoi presque ? Parce que la première partie qui nous raconte les amours d'Elaine et Kura est un peu "longuet", limite trop "fleur bleue". Mais une fois cette étape (indispensable pour la suite de l'histoire) passée, nous voilà repartis en voyage à travers la Nouvelle Zélande où l'on continue à découvrir les modes de vie et le développement industriel.
De la beauté des paysages, au dur labeur des mines en passant par la cohabitation entre les colons et autochtones, tout y passe. Lecture très agréable et je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer.
C'est avec plaisir que je lirai le troisième tome.

Deuxième tome de cette saga néo-zélandaise... et un deuxième tome encore plus captivant que le premier... Ici, les relations entre toutes ses femmes fortes qui habitent ce roman sont encore plus développées, complexes, intéressantes et captivantes... Les paysages sont somptueux, les dialogues justes et précis... L'environnement est sublimé par la plume de Lark. Vraiment, on ne s'ennuie pas une seule seconde dans ce pavé qui file comme l'éclair.. Il me tarde de lire le troisième tome.

Le chant des esprits est la suite du Pays du Nuage Blanc. On suit ici les aventures d'Elaine et Kura, les 2 cousines que tout oppose. Nous sommes toujours en Nouvelle Zélande et continuons à découvrir ce pays qui continue de se construire fin 19ème siècle.
Personnellement, j'ai préféré ce 2ème tome. A la fin du 1er, j'hésitais à continuer l'aventure, et je suis vraiment contente d'avoir lu cette suite.
On regarde évoluer Elaine, ainsi que Kura, du début à la fin, sans discontinuité.
Il y a les personnages qu'on aime de suite, et ceux qu'on n'aime pas. Mais on continue leur histoire car ils font partie du paysage, comme certaines personnes font partie de notre entourage...
Ce 2ème tome est plus abouti, et donc plus prometteur pour la suite...
Une belle histoire romanesque.

Et hop, c'est reparti pour une saison 2 ! En avant vers les vastes plaines de la Nouvelle Zélande où gambadent les milliers de moutons qui font la fortune des éleveurs.
Dans le second volume de cette trilogie, on retrouve les deux héroïnes du "pays du nuage blanc", Gwynera et Hélène âgées d'une soixantaine d'années, qui ont enfin pu parvenir à mener la vie dont elles rêvaient lors de leur débarquement plus de quarante ans auparavant.
C'est autour de leurs deux petites filles que l'intrigue se noue. Celle de Gwynera, la belle et talentueuse Kura héritière du domaine familial mais qui ne rêve que de musique et d'opéra. Celle d'Hélène, la gentille et timide Elaine qui cherche le grand amour et qui voit son avenir brisé quand sa trop belle cousine s'entiche de son fiancé.
Il va leur en arriver des aventures à ces deux cousines que tout sépare ! Elles nous feront vibrer, frémir, sourire aussi.... et nous offrirons un petit zeste de magie en cerise sur le gâteau !
Bien sûr, les personnages sont comme dans le premier volume, trop "taillés à coup de serpe" à mon goût et les méchants trop caricaturaux pour être crédibles.
Bien sûr, les intrigues sont trop prévisibles pour surprendre le lecteur.
Bien sûr, la dernière partie du livre évoque un peu les séries télévisuelles pour jeunes filles romantiques mais néanmoins, on lit ce pavé jusqu'au bout en appréciant la verve de l'auteur qui offre avec ce roman, un honnête divertissement et on se prend à rêver à une adaptation sur grand écran qui aurait l'avantage d'en mettre plein les yeux tant les paysages décrits paraissent somptueux et variés.
Comme malgré un certain agacement devant certains retournements de situation par trop improbables, je n'ai pas "lâché l'affaire", je ne renonce pas à projeter la lecture du Tome 3 (peut-être en hommage à mes feuilletonistes bien aimés Michel Zevaco, Ponson du Terrail, Eugène Sue et consorts...)

Si vous lisez le Pays du Nuage Blanc, vous ne pourrez très certainement pas résister à l'idée de retrouver ces personnages attachants. Vous plongerez donc dans le Chant des Esprits. Dans ce tome-ci, on entre aux coeurs des croyances polynésiennes, des rivalités de tribus et du problème d'intégration des colons. La Nouvelle-Zélande continue son développement commercial et les familles s'agrandissent. le roman oppose les deux tempéraments bien différents d'Elaine et de Kura, toutes deux cousines, et leurs destins correspondent à leurs conceptions de la vie.

Cette histoire est très agréable à lire et l'écriture fluide et captivante de Sarah Lark y est pour beaucoup !

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Deuxième phase de mon voyage néo-zélandais avec le Chant des Esprits. J'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir les Warden et les O'Keefe rencontrés lors du premier tome. Les années passent, bien sûr, et de familiale, la saga devient transgénérationnelle.

Ce second volume permet de découvrir ainsi de nouveaux personnages, petits-enfants de Gwyneira et Hélène, toujours aussi liées par une amitié de quatre décennies. Sarah Lark s'attache tout particulièrement à deux cousines, jeunes filles en fleur d'une quinzaine d'années, Elaine O'Keefe et Jura Warden. le chemin qui les guette n'est pas parsemé de roses. Ni exempt de rivalités.

On en profite pour visiter plus avant les terres de l'Ouest de l'île Sud de la Nouvelle-Zélande. Si les Canterbury Plains pullulent de moutons et les environs de Queenstown de chercheurs d'or, on découvre les mines de charbon occidentales qui n'ont rien à envier question conditions difficiles et dangereuses pour les mineurs à celles d'Irlande et de Grande-Bretagne.

Sarah Lark ne se montre pas avare en péripéties de tous ordres pour ses personnages. Certains épisodes sont certes téléphonés assez longtemps à l'avance, le tout se lit néanmoins avec énormément de plaisir.

Il ne me reste plus qu'à refaire mes valises en vue de la troisième partie de mon périple.

Et oui la vie de ses pionniers en Nouvelle Zelande continue. le début traîne un peu mais l histoire est toujours aussi intéressante
Les générations se côtoient mais ce n est pas toujours facile
Le progrès va t il faciliter la vie de chacun c'est l'apparition de la machine à coudre et quelle révolution
Je file commencer le tome 3