Néanmoins, si quelqu’un trouvait un mot meilleur, il serait heureux de l’adopter ; mais il ne pouvait employer les mots tels que : force psychique, force magnétique, force vitale ou force neurique, etc.,qui désignent la même force que la force biolique.
Lorsqu’un corps est biolisé, il ne pouvait guère dire un corps psychisé, ou magnétisé, ou neuriqué, ou vitalisé, parce que les mots en question ne s’adaptent pas à des terminaisons analogues à celles qu’on peut construire avec le mot électrique.
C’est ainsi qu’on dit : la biolisation d’un corps, comme on dit l’électrisation d’un corps ; etc. La neuriquisation d’un corps ou sa magnétisation ou psychisation, cela n’aurait guère marché. Or dans une étude complète d’une force, il faut pouvoir éviter les périphrases que M. de Tromelin aurait été obligé d’employer à chaque instant
M. de Tromelin a étudié les radiations qui émanent du corps des êtres vivants. Il a appelé cette force qui rayonne de toutes les parties du corps humain, la force biolique, pour des raisons qu’il expose dans son ouvrage, et qui sont basées sur la terminologie indispensable pour étudier une force nouvelle.