PET pour Positron Emission Tomography, ou TEP pour tomographie par émission de positions en français.
Très souvent, ce terme sera précédé ou suivi de 18FDG - fluo-désoxy-glucose - du nom du traceur injecté le plus souvent lors de cet examen. Cette technique repose sur la concentration accélérée d'un sucre marqué - 18FDG - par la cellule tumorale, qui se reproduit plus vite que la cellule normale, et de ce fait consomme plus de sucre, ayant besoin d'un apport énergétique plus important. Encore rare en France, le Pet Scan fait partie de l'éventail des nouvelles imageries médicales prometteuses, alliant les avantages de la scintigraphie et du scanner. Il est utilisé très souvent dans le cadre de protocoles de recherche clinique et de plus en plus affiner un diagnostic qui s'avère délicat.
La scintigraphie osseuse
Elle est destinée à mettre en évidence précocement une lésion osseuse même de très petites dimensions, parfois non décelable sur les radiographies.
Le scanner
Appelé aussi tomodensitométrie, cet examen montre les images d'une partie du corps ou des organes - cerveau, abdomen, cage thoracique et os - à l'aide de rayon X. Le scanner est plusieurs centaines de fois plus sensible que la radio. Il recherche des anomalies invisibles sur des radiographies standard ou à l'échographie. Il permet de mettre en évidence diverses anomalies : infections, kystes, hémorragies, tumeurs, ganglions...
L'annonce à l'entourage. En la matière, les conseils sont délicats. La perfection n'existe pas. L'annonce aux tiers est de toute façon douloureuse. Recevoir des informations de la part du médecin est une chose. Annoncer à ses proches et à son environnement que l'on est atteint d'un cancer et que l'on va subir une chimiothérapie en est une autre.
Chaque interlocuteur réagit avec sa personnalité : de la révolte à la compassion, de l'inquiétude à l'amitié offerte, les réactions sont diverses. Certaines vous aideront tandis que d'autres vous angoisseront.
Malgré le nombre d'associations qui existent et une première expérience, j'avais trouvé peu de documents qui répondaient à mes interrogations. Je ne savais plus où chercher. Alors, j'ai chiné au jour le jour. J'ai glané, au fil du temps, des informations, sur Internet, dans des livres, en dialoguant avec les infirmières et avec les médecins. Plus j'avais de réponses aux questions que je me posais, moins j'étais submergée par l'angoisse. Moins j'avais d'angoisse, plus je pouvais me concentrer sur l'essentiel : guérir et vivre.