Juste avant le bonheur

C'est mon premier roman d'Agnès LEDIG et je n'aime pas du tout son style. Les dialogues sont creux, abus de phrases toutes faites et de clichés. Les dialogues sont niais ainsi que la narration. Quelle pauvreté littéraire! Il manque beaucoup d'intelligence. Scénario parfait pour un téléfilm. Je suis déçue, à la lecture des critiques, je m'attendais à une belle découverte. Tanpis!

Alors , je n'ai pas du tout accroché a ce qui ressemble à un livre de Guy Des Cars croisé avec un Barbara Cartland . Lassant à force de bons sentiments et de phrases toutes faites .
Une histoire invraisemblable d'une caissière fauchée et mère célibataire qui rencontre à sa caisse donc, un gentil quinqua qui l'emmène, elle et son gamin en Bretagne, pour les vacances . Il a evidemment une belle maison au bord de l'eau , il fait beau,il est riche et il paie tout sans rien attendre en retour . Son fils medecin qui a aussi vécut un malheur les accompagne et tout ce petit monde réapprend à etre heureux . le gamin de trois ans est super sage, la caissière bien malgré elle , aide tout ce petit monde a se remettre a aimer la vie , le fils du quinqua, bougon au début devient évidemment sympa , c'est le bonheur , les vagues , la plage , le vent dans les cheveux , les étoiles ...jusqu'au drame .
Sans vouloir dévoiler l'histoire , je dirais quand meme que les medecins sont beaux et sympas , le kine n'en parlons meme pas , les infirmieres souriantes et disponibles . Evidemment c'est triste ...hein . Sauf qu'on devine tout de suite les couples qui vont se former et comment ça va finir , c'est cousu de fils blancs , tellement gros. Alors j'ai peut-etre un coeur de pierre , mais ça ne m'a pas du tout touché. Si vous voulez une histoire de deuil, lisez plutot "Avec toutes mes sympathies " de Olivia de Lamberterie qui elle arrive à faire sentir le chagrin et le vide .

Je dois dire que c'était mon premier « Agnès Ledig » et j'en suis navrée, j'ai été franchement déçue. Apologiée par la plupart des lecteurs, je n'ai pas réussi à entrer dans son univers, à être captivée par ses écrits, par sa plume. Ce que je vais avouer est peut-être un peu dur, mais je suis bien contente de l'avoir simplement emprunté à la bibliothèque plutôt que de l'avoir acheté. Je croyais rire et m'enjouer de cette lecture ; j'ai surtout eu l'impression de déprimer tout du long, bien malgré moi.
Ça semble résonner comme un conte de fées, néanmoins ce qui aurait pu être touchant, émouvant, libérateur, devient surfait, truffé de clichés, doté d'une écriture simplette - et j'oserais dire, même ennuyeuse, jusqu'au dénouement prévisible. Je m'excuse pour cet avis tranché, mais réellement, les thèmes abordés n'ont pas fait écho à ma sensibilité, notamment par cet aspect sans surprise du choix narratif, qui peine un peu, qui sonne faux.
Ce fût une première mauvaise impression pour ma part : une prochaine fois peut-être ! ! !

J'étais à la recherche de livres sympa et légers, feel good, j'ai acheté celui-ci dans un magasin.
Titre feel good, début paisible, feel good, du light, tout ce dont j'avais besoin.
Puis comme le double bang d'un avion qui passe le mur du son, que je me suis prise de plein fouet.
Rien dans le titre ni le 4eme de couverture ne laisse présager le drame qui surgit.
C'est ce qui est arrivé à l'autrice, dans sa vie.
L'autrice a réussit avec ce livre à ne me faire ressentir aucune empathie pour son drame, juste de la colère pour le procédé.
Écrire pour exprimer sa douleur, oui, bien sûr que cela doit faire du bien, mais si c'est en infligeant cette douleur au lecteur par surprise, c'est non.
Un grand non.
Et c'est dommage, vraiment dommage. Pourtant je ne manque pas d'empathie bien au contraire. L'auteur m'a complètement mise ko.
Et l'assume complètement dans la postface du livre en poche.

D'une plume laborieuse, Agnès Ledig nous raconte une histoire, certes touchante, mais prévisible, mièvre et ordinaire. En empruntant "Juste avant le bonheur" à la médiathèque, je savais que ce ne serait pas un chef-d'oeuvre immortel qui m'élèverait spirituellement, mais je pensais au moins passer un bon moment et me distraire. Je me suis ennuyée en le lisant, l'intrigue étant très plate et le style de l'auteure vraiment médiocre à mon goût. Cependant, ce roman est assez "facile" et a donc le mérite de se lire assez vite ... avant d'embrayer rapidement sur une autre lecture !

Quelle horreur ce livre !
Je hais par-dessus tout le procédé qui consiste à ajouter un drame à un récit incipide et pleins de clichés pour tenter de lui donner de la profondeur.

Trop triste pour moi

Vraiment trop de tout. Chacun à son mort dans la musette, chacun à donc une psychologie des plus étrange. Même le moment le plus tragique ne m'a pas touché.

Vu le nombre de critiques élogieuses sur le livre, j'ai voulu tenter cette lecture d'un auteur que je ne connaissais pas.
J'ai lâché au bout de 80 pages et encore en me forçant ! !
Je n'y ai trouvé ni plaisir, ni intérêt ni compris le pourquoi de tant d'éloges ! !

Juste avant le bonheur est un roman français contemporain écrit par Agnès Ledig. Il a remporté en 2013 le prix de la Maison de la Presse.

Son roman narre l'histoire de Julie, caissière dans un supermarché. La vie est difficile et monotone pour elle : son métier est difficile et elle gagne trop peu d'argent pour pouvoir vivre confortablement. Heureusement, son fils est là et il lui apporte beaucoup de joies petites et grandes. Au fil des jours, elle va faire une rencontre déterminante pour sa vie qui ne sera alors plus jamais la même. Ce roman sonne comme un hymne à l'espoir, l'histoire est intéressante et assez originale mais le livre est vraiment très mal écrit ! Des comparaisons plus que douteuses, un style inexistant, et des plaisanteries absolument pas drôles. C'est dommage ! Espérons qu'Agnès Ledig améliore son écriture au fil de ses romans.