J'aurais bien voulu.. Si si c'est vrai, j'aurais bien voulu dire que c'était beau, que ça faisait du bien. Mais non, là j'peux pas. C'est trop.
Trop de larmes, trop de coups durs, trop de vies brisées, et puis tout à coup trop de bons sentiments, trop de gentillesse, trop d'amour.... Stop ! J'en peux plus !
Ben quoi t'as pas d'coeur ? Faut croire que pas toujours, non.
J'en peux plus des phrases alambiquées pour remonter le moral.
J'en peux plus des paquets de mouchoirs à tordre à chaque page.
J'en peux plus des chevaliers blancs qui arrivent au galop pour sauver les veuves et orphelins.
J'en peux plus des docteurs très gentils qui n'sont pas comme les autres.
J'en peux plus des gens riches aux coeurs aussi gros que leurs comptes en banque...
Stop ! Arrête ! Je crois qu'on a compris.
Je suis désolée, tellement désolée pour
Agnès Ledig. Je comprends que pour elle, ce roman est un exutoire, qu'elle a besoin de s'épancher. Mais cette fois-ci, l'empathie me fait défaut...
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