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4,2

sur 6420 notes
C'est la deuxième fois que je lis un roman de cet auteur. Ma première expérience fût terriblement décevante. J'ai tenté celui-ci en essayant de faire taire mes à prioris.

Si au départ j'ai tiqué sur l'improbabilité de l'histoire, j'ai fini par me laisser séduire. J'ai oublié la facilité des premiers abords, un homme aisé qui vient en aide à une jeune adulte en difficulté financière et mère d'un enfant de 3 ans. Soyons honnête, dans la vraie vie ça n'existe pas !

Quoiqu'il en soit, les personnages (bien que plein de clichés) m'ont plu. Et puis, ce drame ! Je ne m'y attendais pas une seconde. À partir de là, je l'ai lu d'une traite. Impossible de déposer ce roman.
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J'ai été bouleversée par la lecture de ce roman. J'ai vraiment beaucoup aimé tous les livres que j'ai pu lire d'Agnès Ledig. J'ai donc commencé celui ci pleine d'entrain et de confiance en croyant m'attaquer à un de ces romans feel-good qui mettent du baume au coeur. Mais... finalement le titre aurait du me mettre la puce à l'oreille parce-que le résumé ne dévoilait rien. Il s'agit en fait ici d'un thème très difficile à aborder.
Attention à tous ceux qui ne l'ont pas encore lu, je risque de dévoiler certaines choses.
J'ai vraiment été touché par la sincérité du personnage de Julie et connaissant le drame qui a frappé Agnès Ledig, j'ai vraiment eu l'impression de ressentir à travers son personnage ce qu'elle avait vécu. Certes, comme j'ai pu le lire, certaines phrases sont peut-être parfois surfaites mais je pense que c'est ce qui nous permet de savoir ce qu'a traversé Agnès Ledig. Parce-que d'après moi, et d'après ce que j'ai perçu de son roman, elle a choisi la vie. Elle a décidé de se raccrocher à toutes ces petites choses qui nous permettent d'avancer et d'affronter les jours les uns après les autres alors qu'elle aurait pu sombrer. J'ai eu l'impression de ressentir la force et la douleur de se relever après un drame aussi tragique et l'absence omniprésente d'une personne qu'on aimait tant.
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Après le dernier GIEBEL, il m'a fallu une lecture un peu plus sobre et avec cette histoire je pense avoir répondu à ces critères... car c'est un bonbon sucré, lecture acidulée

Mais M'essayer à ce genre de lecture de quai de gare, si je puis me permettre ne m'a pas apporter satisfaction. Je l'ai trouvé pauvre en émotions et avec cela dit quelques incohérences malgré les rebondissements cela n'a pas touché mon petit coeur.
Ce vent de Bretagne m'a quelque peu refroidi...
Dommage.
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J'ai bien aimé ce livre, même si les situations sont invraisemblables,les rencontres trop faciles car, l'auteur a vécu un drame personnel : la perte d'un enfant de cinq ans. Une mère redoute par dessus tout cette épreuve, ce n'est pas dans l'ordre des choses. C'est ici qu'Agnès Ledig est touchante de sincérité, j'ai été bouleversé par son écriture entre douleur, humour et sérénité, c'est une merveilleuse leçon de vie qui remet les choses à leur place.
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Plume extrêmement pauvre,
Style indigent,
La lecture est fastidieuse tant l'écriture est de faible niveau.

Le récit prend outrageusement le lecteur en otage en accumulant les situations tristes. On ne se sent pas le droit de penser que le livre est mauvais car les personnages sont vraiment dans une mauvaise passe.
On est pris davantage en otage encore du fait du croisement des faits réels (bien précises dans la dedicace) et du récit.

Bref, je vais peut-être passer pour un monstre mais ce livre est très mal écrit même si les personnages y vivent des drames et que l'auteur en a vécu un également.

Je passe au Parfum de jitterburg de Tom Robbins pour me changer les idées au plus vite.

Lien : http://axel-roques.iggybook...
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Ce roman, qui m'a été plusieurs fois recommandé (et pour lequel on m'a surtout spécifié d'avoir une boîte de mouchoirs à portée de main) faisait partie de mon challenge du mois de Février (challenge mis en place avec des copines : ce mois-ci il fallait lire un livre "coup de coeur" d'une amie).

Me voilà donc partie dans cette histoire, pour laquelle j'ai tout de suite été embarquée, enviant il faut bien l'avouer, la chance improbable de Julie d'être prise sous l'aile de Paul !
Mais bon, on aime bien croire aux contes de fées, il faut savoir rêver dans ce monde parfois si moche, n'est-ce pas ?

Puis arrive le drame.

Alors là, d'un coup, je suis partagée entre l'envie de savoir si tout va s'arranger (l'espoir!!!) et la peur de découvrir le contraire...

Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler mais je suis passée par toutes les émotions grâce à ce roman, Agnès Ledig a une belle plume, que j'ai beaucoup aimé, de jolies métaphores, de jolis mots, j'ai été enchantée.
J'ai bien senti aussi à travers son roman la femme douce et passionnée (sage-femme), qui malgré les épreuves, arrive à nous montrer les jolies "choses" de la vie.

C'est avec beaucoup de bonheur que je découvrirai ses autres romans.



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j'ai tout simplement adoré ce livre.
j'ai pleuré ; je me suis complètement retrouvé dans les épreuves traversées....j'avais même envie de rencontrer Julie, Paul, Romain.... de partager mes émotions avec cette maman.;
J'ai rarement été touchée à ce point et quelle belle leçon de vie et message d'espoir.
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C'est le premier livre que je lis d'Agnès Ledig et je l'ai beaucoup aimé à la fois tendre, par moment drôle, très triste dans certains passages. Les personnages sont tantôt touchants d'autres moments bouleversants. Des destins entrecroisés qui se rencontrent tous plus ou moins écorchés par la vie. Une écriture très fluide et touchante sans tombé dans le pathos. Seul petit bémol sur la fin mais je n'en dirai pas plus pour ne pas spolier ce livre. J'ai de plus eu la chance de rencontrer l'auteure ce dimanche qui est une femme charmante. J'ai lu que beaucoup de femmes ont pleurés durant cette lecture même si ce ne fût pas mon cas mais cette lecture ne m'a pas laissé indifférent pour autant.
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Bon, que dire ?
Vu le plébiscite remporté par ce roman, je vais sans doute me faire « huer » mais j'assume le fait de ne pas l'avoir aimé. 
La banalité du quotidien sait parfois m'émerveiller. Ce ne fut pas le cas ici. J'abordais pourtant ce roman pleine d'enthousiasme et de confiance. Las ! Je résumerai mon sentiment ainsi : Ça se lit, sans plus. Ça se lit mais c'est bourré de clichés. Ça se lit mais ça sonne faux. Les dialogues soi-disant « d'une rare vivacité » sonnent encore plus faux, et débordent de lieux communs, dégoulinent de bons sentiments, de guimauve et de maximes à six francs six sous.
L'auteure a une vision très « bisounours » de l'hôpital, (sans doute est-ce consécutif au fait qu'elle soit de l'autre côté de la barrière, en tant que sage-femme libéral ?) Elle porte ainsi un regard « professionnel », très éloigné du ressenti du malade. Notamment des services de réa. Pour y avoir passé plus de temps que souhaité, aussi bien dans mon enfance, que récemment, je peux vous dire que je porte un regard bien différent sur cet univers et son personnel soignant. Les infirmières « rayons de soleil » et les kinès « impliqués » qui diffusent du bien-être autour d'eux, c'est rare d'en rencontrer. Sans généraliser mon propos, toutes les infirmières et aides-soignantes  (sans parler des médecins) que j'ai croisé dans ma vie (et très récemment encore hélas avec l'infarctus d'une amie) n'étaient pas tous sympathiques ou compassionnelles ! Que du contraire. Tant mieux, si Agnès Ledig a de meilleures expériences que moi en la matière. Pour ma part, j'ai trouvé ces passages invraisemblables. du reste, toute l'histoire manque cruellement de crédibilité. Certains passages sont même absurdes. 
Le personnage de Julie ne m'a donc pas plu, ni vraiment touché. Trop creux, passif, geignard mais surtout incohérent, versatile.  Certaines de ses réactions sont totalement incompréhensibles.
De plus, et sans vouloir jouer « les mères la morale », le côté : « Je tombe enceinte à seize ans suite à une beuverie (au risque d'attraper une grave maladie parce que je ne me protèges pas) », bof bof, l'exemple pour la jeunesse (et les autres).
Enfin, là n'est pas l'essentiel, me direz-vous. Sans doute. N'empêche que la prévention contre la transmission du VIH chez les ados étant l'un de « mes chevaux de bataille », cet aspect de l'histoire m'a dérangé.
Rien à signaler en ce qui concerne les autres personnages. Souvent à peine esquissés, ils manquent cruellement de consistance, et semblent trop lisses pour être marquants.
La narration morcelée (plusieurs courts paragraphes, des « chapitres » d'une page voire parfois de quelques lignes) devient assez vite pénible.
Oh, il y a aussi les jolis mots, les mots savants, qui, au détour d'une écriture des plus simplistes tombent comme des cheveux sur la soupe. Car dans l'ensemble l'écriture est vraiment plate, pour ne pas dire constamment en déficit de profondeur.
Du Guillaume Musso. Notez bien que je suis clémente, je n'ai pas dit du Marc Lévy.
Bref, un roman vraiment cul-cul la pralinette. Anecdotique aussi. Et bien qu'il soit court, j'ai bien failli l'abandonner. Il m'a fait songer au très mauvaisLes gens heureux lisent et boivent du café
. En un peu moins mauvais ? Peut-être. Mais disons que sa lecture n'est pas indispensable. Ne culpabilisez donc pas si vous décidez de faire l'impasse sur ce roman. Ce n'est pas une grande perte pour votre vie de lecteur/lectrice, à mon sens.
Après la lecture de ce billet quelque peu « assassin », je vous entends d'ici vous demander : « Mais pourquoi diable est-elle si méchante ? » Pourquoi ? Pour deux raisons. Principalement parce que j'ai horreur de cette nouvelle littérature contemporaine « lacrymale » qui utilise des ficelles aussi grossiéres que la maladie, la mort, ou la souffrance des enfants … pour faire pleurer dans les chaumières.
L'auteure a vécu un terrible drame il y a quelques années, (la perte de son petit garçon de cinq ans, parti d'une leucémie foudroyante). Cependant, au lieu d'aller au bout de sa démarche en apportant un témoignage qui aurait pu être très fort, puissant, elle choisit de travestir la vérité sous forme de fiction, où elle charge sciemment « la mule», émotionnelement parlant et utilise les ficelles les plus pathos et les plus grosses qui soient pour parvenir à son but : faire pleurer. Quel dommage d'affaiblir ainsi son propos ! En ce cas autant ne pas évoquer du tout son passif, et écrire tout autre chose, non ?
J'avoue que ce recours systématique aux ficelles du malheur a le don de me mettre en colère quand il m'apparait gratuit, comme c'est le cas ici, (surtout quand je songe aux gens qui souffrent d'un deuil insurmontable, (mais aussi aux enfants hospitalisés) qui souffrent réellement dans leur chair au moment où vous lisez ces lignes). C'est trop facile. Car, si dans Juste avant le bonheur, il semble y avoir un petit socle autobiographique, c'est loin d'être le cas chez la plupart des auteurs actuels et je trouve souvent leur démarche déplacée, et d'un profond cynisme. Je les imagine presque derrière leur bureau en train de se tapoter le menton du bout de l'index. du genre : « Tiens, qu'est-ce que je vais bien pouvoir infliger de plus aujourd'hui comme malheur à mes personnages pour émouvoir mes lecteurs ? »
Oh oui, qu'il m'énerve ce procédé qui consiste depuis quelques temps à prendre en otage les cordes sensibles des lecteurs !
Bref, désolée pour ce mini-coup de gueule, et pour Agnès Ledig que ce soit « tombé » sur elle. Cela aurait pu « tomber » sur bien d'autres tant la « littérature contemporaine » regorge actuellement de ces romans. « tire-larmes ».
Lien : https://ladelyrante.wordpres..
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C'est beau, c'est triste, très triste, c'est l'espoir... Des émotions pures dessinées à l'encre sobre et naïve d'Agnès Ledit, un auteur que j'apprécie beaucoup. Une jeune fille, mère à 17 ans, vit comme elle peut avec son salaire de caissière. Un homme proche de la retraite la croise et la trouve touchante. Il l'invite à partager quelques jours avec leurs fils respectifs. Il faudra que tout le monde s'apprivoise, et puis... d'un début de bonheur on passe à autre chose...
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