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3,53

sur 655 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
L'exil des anges est un roman mi-policier, mi-fantastique.
Ça commence par une enquête menée par le colonel Gassner, des services secrets, chargé d'espionner un couple de savants.
Sans transition, voici Valeria, une jeune espagnole hantée par un rêve récurrent, celui d'une chapelle en Ecosse.
En tête de chaque chapitre, un court dialogue mystérieux que l'on comprend plus tard.
C'est gentillet, il y a des invraisemblances, des ficelles grossières.
Comme dans « Demain j'arrête », je n'y ai pas vraiment trouvé mon compte. Certes ça se lit facilement, mais il manque une dimension à l'écriture.
L'idée est originale, je pense que ça doit plaire aux adolescents.
Je l'ai lu sans passion, mais avec beaucoup d'indulgence pour l'auteur qui est un homme d'une extrême gentillesse, soucieux de plaire à ses lecteurs.
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ATTENTION, risque de spoiler!

Le fait que ce roman ait reçu le prix du polar SNCF (2010) ne m'est pas apparu comme un gage de qualité, au contraire: ce qu'on demande à un roman de gare, c'est avant tout de faire passer le temps, ni + ni -. Mais ayant lu quasiment tous les autres livres de Gilles Legardinier et me laissant (une fois n'est pas coutume) séduire pas la couverture, je me suis lancée. Heureusement que ce n'était pas ma 1ère lecture de l'auteur car sinon, mon épopée aurait eu de grandes chances de s'arrêter là...

Pour faire clair -et malgré mon respect pour l'auteur- je n'ai pas aimé. le début de l'ouvrage est intéressant, et le sujet intrigant: une découverte révolutionnaire sur les arcanes du cerveau humain (soit dit en passant, Legardinier à réexploité le même filon avec "nous étions les hommes", mais pourquoi pas, puisque son 1er ouvrage avait bien marché...) J'ai aussi été agréablement surprise par le passage où les héros "font de la plongée", je ne m'y attendais pas. Mais ça se gâte rapidement.

A partir du moment ou les 3 personnages principaux se rejoignent (Valeria, Stefan et Peter), le ton change et les incohérences se succèdent. le scénario et les dialogues semblent faits pour d'autres personnages (ils sont censés avoir 20 ans, ce qu'on ne ressent pas du tout, on leur donnerait facilement 10 ou 15 ans de +!) Les événements se précipitent et manquent de crédibilité (les services de renseignements du monde entier semblent se mobiliser pour retrouver 3 gamins anonymes, qui d'ailleurs deviennent en fait des délinquants + que des héros, et ce pour défendre leur propre vie + que des idées ou des valeurs. Les protagonistes insistent sur le fait qu'ils n'ont "pas le choix" que d'aller + loin dans leurs investigations, mais dans la vraie vie je doute que ça ait été aussi simple et évident. Des jeunes sans histoires ne deviennent pas des aventuriers des temps modernes en un claquement de doigts et à cause d'un rêve. On nous les dépeint comme "les gentils" mais je les trouve égocentriques, peu attachants, et le personnage de Valeria est vraiment niais...

Je n'aime pas parler d'un ouvrage de Legardinier comme cela, mais je n'ai pas accroché, je ne peux pas me forcer. Relativisons en n'oubliant pas qu'il s'agit d'un 1er roman, et qui si la forme laisse à désirer, les idées de départ sont bonnes. le concept de départ d'un Esprit qui survit à la mort et d'une conscience collective est à mon sens mal exploité. Il reste beaucoup de zones d'ombre: tous les esprits survivent-ils? Ou seulement ceux des personnes ayant subit le "marquage"? Comment expliquer que des personnes ayant subit cette même "intervention" (le marquage) n'obtiennent-pas toutes le même résultat? (Ca permet à l'esprit de certaines de survivre, alors que ça fait remonter les souvenirs d'une autre personne chez les autres). Nulle part il n'est fait mention que Gassner ait été lui aussi marqué, pourtant son esprit se "réincarne" comme celui des Destrel, etc...

Il y a de l'action, on ne peut pas dire le contraire, mais pourtant je n'ai pas été scotchée au livre comme souvent. Je n'avais aucun mal à le reposer et je ne me suis pas sentie immergée au côté des personnages. On nous présente cette découverte comme d'ampleur mondiale, mais au final très peu de personnes sont concernées, ça paraît peu crédible de remuer ciel et terre pour cela.

Le dénouement m'a également paru trop simple, ça traîne en longueur et les personnages sont manichéens. Certaines répliques sont vraiment petites, comme lorsque Jenson (le "méchant" scientifique"), déclare: "Vous me le paierez tous!" La fin est également très romancée (p339: "Le soleil ne va pas tarder à se lever. Il fait un peu frais." Pfff, c'est un peu lourd. Je n'ai pas relevé une seule citation de tout le livre, c'est dire! Il y avait du potentiel pourtant...
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Parfois, lors d'un dimanche froid et pluvieux, j'arrive à lire un livre de la première à la dernière page sans même lever mon nez une seule fois pour vérifier si le monde est toujours en place. En général, c'est plutôt bon signe, présage d'un bon roman qui me fait oublier tout ce qui m'entoure. Dans ce cas précis, ce fut loin d'être le cas…

Si je n'ai pas cessé la lecture de ce livre, c'était plutôt dans l'espoir qu'il se passe quelque chose, n'importe quoi qui aurait donné un semblant d'intérêt à cette histoire, autre que la triste impression de lire un scénario de téléfilm de dimanche après-midi.

Dommage, le premier chapitre était plutôt prometteur. Marc Destrel, psychophysicien, et sa femme Catherine font une découverte extraordinaire et mystérieuse pour l'avenir de l'humanité. La NSA à leur trousses, ils tentent de s'échapper mais se font abattre pendant leur fuite. Frank Gassner, un des agents qui les espionne depuis des années, se suicide d'une balle dans le coeur en affirmant qu'il « retrouvera les Destrel »…..

20 ans plus tard, Valéria, une jeune espagnole fait, depuis son enfance, des rêves récurrents mettant en scène une chapelle écossaise. Obsédée par ce rêve, elle décide de s'y rendre et y rencontre Peter, un étudiant hollandais puis Stefan, un allemand.

En ce qui me concerne, le côté prometteur s'arrête ici. S'ensuit une suite d'événements tout ausi abracadabrants les uns que les autres. Quand bien même un roman se doit de nourrir l'imaginaire de son lecteur, le mien s'est retrouvé affamé au bout de quelques pages et j'ai bien failli mourir d'inanition à la fin du roman.

Comme quoi, un prix SNCF n'est pas forcément, à mon sens, gage de qualité…

Lien : http://lemarquepagedenath.wo..
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Je n'ai vraiment pas accroché à ce thriller. Je l'ai trouvé plutôt fade et je n'ai jamais senti cette angoisse que savent si bien faire naître d'autres romans. Il est vrai que je ne suis pas un fan de science-fiction. Pour autant l'histoire est bien construite.
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C'est ma faute, ma très grande faute... J'avais, je pense, le secret espoir de retrouver , l'humour de ces derniers bouquins, vous savez la série "félins et compagnie ".... Et dans mon enthousiasme, j'avais omis de lire "thriller"...
Donc forcément, autant dire que j'ai lu ... 5 pages... , pas de personnages foldingues, pas de mouvements, pas de drôleries, pas de sourires en tournant les pages, pas de chatons...
Alors "l'exil des anges" je le mets au frigo, et quand j'aurais compris que legardinier peut faire plein d'autres trucs que le style "romans à chatons", je reviendrai vers ce livre :-)
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Le premier chapitre a provoqué chez moi, une fulgurante envie de dévorer le livre en une seule fois. Les chapitres suivants m'ont donné assez d'indices pour que je comprenne tout, même trop. du coup, j'ai lu le roman en diagonale juste pour être sûre de ne pas louper le retournement de situation du siècle. Bof bof...
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Je suis assez déçue par ce livre : j'ai été happée par environ les 2 premiers tiers du livre mais après, c'est retombé. Trop de blabla, pas assez d'action, des personnages pas forcément crédibles.

Je l'ai fini pour le finir et pas parce que je voulais vraiment connaître la fin.
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Un couple de savants, les Destrel sont assassinés dans un aéroport. Ils avaient fait une découverte scientifique importante, et avaient des services secrets à leurs trousses, et le capitaine Gessner.
20 ans plus tard, Valeria, étudiante Espagnole et Peter, étudiant Hollandais se rencontrent dans une petite ville d'Ecosse. Tous les deux rêvent depuis quelques mois d'une étrange chapelle et n'ont de cesse de la retrouver.
La chapelle a été engloutie par les eaux. Valeria et Peter plongent et découvrent une mallette. Stephan, un troisième larron qui a rêvé lui aussi de la chapelle leur vole la mallette. Les trois jeunes gens vont s'allier pour comprendre ce qui leur arrive.
Valeria est enlevée par d'étranges scientifiques qui veulent s'approprier la découverte des Destrel sur les transferts de mémoire.
J'ai lu le livre, sans sauter de page mais sans vrai plaisir.
Les personnages sont assez plats : je ne me suis pas attachée à eux, et l'histoire ne m'a pas convaincue.
Lien : http://www.unebonnenouvellep..
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Une intrigue en Ecosse qui démarre bien mais qui finalement se révèle trop surnaturelle pour moi.
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L'histoire n'est pas trop mal mais je n'ai pas été transporté comme dans ses autres romans. J'ai eu vraiment du mal à me mettre dedans. Est-ce le changement de style ou est-ce que je m'attendais à retrouver l'ambiance de : Complètement cramé ou demain j'arrête. Dommage !
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