Les mondes d'Aldébaran - Survivants, tome 1

Dernier cycle des Mondes d'Aldébaran, après Aldébaran (cycle 1), Bételgeuse (cycle 2), et Antarès (cycle 3), Survivants est un cycle de 5 tomes tout aussi passionnant que les précédents !
Les thèmes chers à Léo sont ici toujours présents : vie extraterrestre (qui permet à l'auteur de laisser libre court à son imaginaire), le féminisme (les personnages clés de ses BD sont souvent des femmes), une nature foisonnante et colorée (inspirée des forêts de son pays d'origine, le Brésil), une vision de la nature humaine qui prone l'entraide, la cohésion, et une humanité indispensable à notre développement... et notre survie ... en ces temps internationaux difficiles et cruels, cela a une raisonnance toute trouvée ;-(
L'histoire est parallèle à celle des 3 autres cycles, avec des personnages différents mais on retrouve sur la fin une cohérence avec Aldébaran et pourquoi pas, une nouveau cycle à venir ?! Les planches sont toujours aussi colorées et bien dessinées, comme j'aime, et l'histoire toujours aussi prenante et faite de suspens et de découvertes. Bref, une BD et un auteur que j'aime toujours autant !

Après un explicatif sur le fonctionnement du voyage dans l'espace à une vitesse supérieure à la lumière et un article sur la catastrophe de l'astronef « Tycho Brahe », on retrouve justement des survivants de cette catastrophe.
Un groupe de survivants arrivent à se poser sur une planète habitable (quel coup de chance) et sans s'écraser (au vue des autres albums de la collection, autre coup de chance énorme). Voilà pour les invraisemblances.
Comme toujours, malgré la situation abominable (perdus pour toujours sur une planète inconnue, avec des gens que l'on ne connaît pas et avec la peur de mourir) certains pensent déjà à coucher ensemble, cela devient chiant cette ritournelle chez Léo.
Les invraisemblances de la survie et des personnages pathétiques font que ce nouvel album de Léo dont l'histoire se passe en parallèle des autres albums de mondes d'Aldebaran, démarre moyennement.
Il y a heureusement suffisamment de péripéties, un monde que l'on connaît et un récit intéressant pour rester dans l'histoire et poursuivre dans l'aventure avec l'épisode 2.

Des survivants d'une expédition interplanétaire explorent une planète sur laquelle ils viennent de débarquer. Je n'ai pas retrouvé la magie de la série Les mondes d'Aldébaran. C'est tout de même une lecture plaisante. Certains personnages sont des répliques des camarades de Kim, je pense notamment au docteur Amos.

Des vaisseaux sont partis loin de la Terre pour coloniser l'univers. Mais un accident arrive et une capsule avec quelques hommes et femmes arrive sur une planète habitable. le scénario paraît catastrophe mais rapidement, le groupe s'organise et se confronte avec les espèces animales. L'histoire est originale et décrit surtout les relations qui vont s'établir entre les membres. le récit ressemble un peu à la Planète des Singes lu récemment, mais ne s'arrête qu'aux prémices de ce roman, puisqu'il n'est pas question d'une planète habitée par des singes, mais d'un groupe de femmes et d'hommes, totalement démuni dans un monde nouveau.
Le graphisme est assez réaliste mais les décors sont pauvres, l'auteur ayant accentué son travail sur les personnages, et leurs expressions. L'ensemble reste malgré tout très convaincant. La bande dessinée propose ici une histoire de science-fiction qui ouvre une saga prometteuse. A suivre bien sûr…
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Survivants aborde une thématique classique et intéressante.
Ici, un groupe de personnes a quitté sa planète pour aller ailleurs, sur Aldébaran. Seulement à leur réveil, ce n'est pas le plan qui était prévu, ils découvrent un message visuel et comprennent alors que ce sont les seuls survivants, que ce n'est pas la bonne planète mais un lieu inconnu dont ils ne savent rien. Il va falloir survivre. La peur au ventre, avec plein de questions dans la tête, ils font leurs premiers pas. Comment survivre ? Comment s'alimenter ? Quels dangers la planète recèle-t-elle ? Des disputes surviennent inévitablement entre les différents personnages.

L'histoire m'a donc intéressée, ce n'est que les premiers pas, je ne suis pas une grande adepte du dessin par contre.

Après Aldébaran, Bételgeuse et Antares, Voici un nouveau cycle qui s'inscrit dans l'univers créé par Leo. Ce ne sont pas les mêmes personnages que l'on découvre ici mais l'ambiance est bien la même avec une nouvelle planète à explorer. Cela pourrait paraître assez lassant mais pour moi, c'est toujours un plaisir de repartir pour un nouveau voyage sur un monde lointain. Leo n'a pas son pareil pour imaginer des animaux et des peuples étranges et ce premier tome des survivants n'est pas avare en surprises de tous genres. Un excellent début qui nous plonge rapidement au coeur de l'action et qui nous met l'eau à la bouche pour une suite qui semble très prometteuse.

Un groupe de voyageurs spatiaux se retrouve parachutés sur une planète inconnue où ils doivent survivre.
Je ne connaissais pas l'auteur ni les autres BD du coup, j'ai pris ce petit moment hors du temps comme une vraie aventure à la "man vs wild", c'est sympa, on passe un moment agréable.

Je n'ai pas lu les précédents cycles de cette série, que j'ai découvert grâce aux 48H de la BD, mais ça n'a en rien entaché ma compréhension de l'histoire. Nous suivons des personnages qui souhaitaient coloniser des planètes lointaines, et qui ont fait face à un accident qui a détruit leur vaisseau parti pour Aldébaran. Il y a onze survivants qui se retrouve sur une planète qu'ils et elles ne connaissent pas.

Tout d'abord, j'ai été surprise en voyant l'âge des personnages (qui ont entre 12 et 19 ans), mais c'est peut-être quelque chose qui est expliqué dans les précédents cycles. Je passe donc sur ce qui ne pourrait paraître qu'un détail, mais qui m'a beaucoup dérangée parce que je trouvais que les personnages paraissaient plus âgés (physiquement, mais aussi au travers de leurs réactions). Ensuite, j'ai vraiment eu l'impression que nous étions dans le cliché avec des jeunes adultes titillés par leurs hormones, ce que j'ai trouvé très lourd. Je n'ai pas compris les raisons des extra-terrestres primitifs, et pas non plus pourquoi d'autres extra-terrestres avaient des tables de pique-nique...

Il y a quelques points positifs, parce que le synopsis est intéressant et que je sens que l'auteur va faire quelque chose de sympathique avec tout cela. Mais je ne suis pas sûre de lire la suite, il y a de nombreux éléments qui ne m'ont pas plu.
Lien : http://anais-lemillefeuilles..

A la suite d'une anomalie quantique, un groupe de douze jeunes gens de diverses nationalités se retrouvent sur la planète GJ1347-4. Ils vont devoir s'adapter à la faune et à la flore locales et survivre. Ainsi débute le quatrième cycle des mondes d'Aldébaran créés par Léo. La recette est la même et cet album, s'il reste agréable à lire, manque d'originalité.

Après les cycles d'Aldebaran, de Betelgeuse et d'Antarès, la collection des mondes d'Aldebaran s'enrichit d'une nouvelle série clone : Les Survivants.

Avec Luis Eduardo de Oliveira, alias Leo, aux commandes, les grandes lignes du pitch sont souvent connues d'avance : un groupe d'humains se retrouve isolé sur une planète inconnue. Cette fois, c'est la désintégration du Tycho-Brahé, un vaisseau interstellaire emmenant plus de 2500 personnes de la Terre vers la nouvelle colonie d'Aldebaran, qui est à la base du naufrage sur la planète GJ1347-4. Grâce au courage d'un membre de l'équipage, le module dans lequel se trouvaient douze colons terriens en hibernation a été décroché à temps et a pu être dirigé vers la planète viable la plus proche. Déboussolés par cette période de long sommeil et ignorant ce qu'ils vont découvrir à l'extérieur de la navette, les uniques rescapés de cette effroyable catastrophe décident cependant d'ouvrir le sas de sortie … Bienvenue chez Leo !

Malgré une certaine redondance au niveau du scénario, cette saga parallèle met en scène de nouveaux personnages. Revêtus de combinaisons plastifiées exhibant leurs noms en gros caractères afin de faciliter les présentations, ces quelques miraculés de l'espace présentent tout de même un air de déjà-vu. En début d'album, l'auteur se concentre principalement sur les tensions et les rivalités qui animent ce groupe perdu sur une planète inconnue et obligé de s'organiser afin de survivre. Si ça ne vole pas toujours très haut au niveau des dialogues et du développement psychologique, les survivants décident heureusement assez vite d'aller explorer le biotope extraterrestre et se rendent donc là où le brésilien excelle. Son imagination fertile fait une nouvelle fois mouche et chaque expédition dans cette jungle hostile met au jour un environnement ingénieux et réserve de surprenantes découvertes. le bestiaire inventif, la flore extraordinaire et les secrets dissimulés par les héros et par les autochtones ne cessent de titiller la curiosité d'un lecteur qui, déjà habitué depuis longtemps à ces silhouettes assez raides, est encore loin de se lasser des écosystèmes originaux inventés par l'auteur.

Cette série de science-fiction a beau changer de casting et de planète, Leo s'y sent très vite chez lui … et les fans des mondes d'Aldebaran aussi !