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3,76

sur 499 notes
Je me sens comme décalée après avoir lu les avis de mes compères babéliotes…

Au sens strictement littéraire, le livre m'a ennuyée par sa redondance.
Il se structure autour de grandes plages de retranscriptions de l'émission Questions pour un champion. Olivier Liron en rend le déroulé gentiment humoristique face à un Julien Lepers sémillant et des concurrents « au taquet ». Cette érudition dans tous domaines est imposée et elle est aussi fort lassante, en dépit des descriptions cocasses ou sarcastiques des candidats et de son animateur.

S'agrègent au milieu des questions/réponses, en méli-mélo, des souvenirs, des rêves, des connaissances culturelles qui apportent un éclairage sur le vécu de l'auteur et une respiration bienvenue au propos..

J'ai fini par lire en diagonale les parties télévisuelles pour profiter du récit intimiste d'un garçon qui pose sur la vie un regard si particulier et qui en a assumé les difficultés dès l'enfance. Un adulte qui n'a pas toujours les codes en société et avec les filles, dont le cerveau fonctionne en turbo, et dont la vie est un grand moment de solitude.
Il est très touchant de comprendre que gagner la cagnotte du jeu a été une étape décisive dans sa vie.

Si vous êtes un accro à Questions pour un « champignon », vous allez vous amuser. Pour ma part, gros ennui de lectrice. C'est un pari audacieux d'imposer ce montage en dialogues qui percutent, même s'il devient catalyseur de l'émergence des parties introspectives, beaucoup trop faibles pour mon attente.

Pas convaincue...
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« J'ai dû entendre dix mille fois les gens m'appeler gogol. À l'école, et surtout au collège, les enfants différents souffrent le martyre. C'est déjà le pouvoir hideux et haineux de la norme. Aujourd'hui encore, quand j'entends à la radio les « normaux », ceux qui ont le pouvoir de la norme, de dicter la norme, de faire la norme, les politiciens et les financiers, les humoristes pas drôles, les haineux de tous bords, j'ai envie de les déchiqueter avec les dents. Pour leur montrer de quel bois on se chauffe, nous les gogols. »

Une sombre et froide fin de journée d'hiver dans « la grande maison » chez Tonton Louis et Tante Madeleine (non trempée dans du Coca). « C'est l'heure des Champions ! »

Plus qu'une habitude, un rituel. Tonton Louis calé dans le canapé. Tante Madeleine (toujours non trempée dans du Coca ! En a-t-elle déjà bu d'ailleurs ? Il faudra que je me renseigne…) assise sur le seuil de la cheminée, le dos chauffée par les flammes qui lèchent avec gourmandise les vitres de l'insert. le monde peut bien s'arrêter de tourner. Plus rien ne compte. La musique du générique retentit, ça commence : Question pour un champion !

Si on m'avait dit que plus de trente ans plus tard, je lirai un roman ayant pour cadre ce jeu, je ne l'aurai pas cru et pourtant, quel roman !

Einstein, le sexe et moi, c'est l'histoire d'Olivier, Olivier Liron l'auteur, et de sa participation à Question pour un champion, le célèbre jeu de France 3 animé par l'unique et l'irremplaçable Julien Lepers (Ah ben si, finalement…), musicien contrarié qui trouvera la reconnaissance (et la fortune ?) à travers ce jeu quotidien.

Un roman qui se lit d'une traite tant on est pris par l'écriture et le sens du rythme de l'auteur. La dramaturgie importante du jeu est elle-même propice à générer une certaine tension narrative. L'auteur y combine habilement des éléments de son existence, des nombreuses difficultés liées à son autisme et à son rapport à l'autre. Ses remarques, ses analyses, son sens critique, son sens comique et ses déboires sexuelo-sentimaux nous émeuvent encore plus qu'ils nous amusent.

Olivier Liron s'y révèle aussi fin que drôle et attachant. L'adhésion à son histoire se fait donc avec une indéniable jubilation.


Lien : https://bouquins-de-poches-e..
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Olivier Liron, autiste Asperger, a participé — et gagné — à plusieurs reprises au jeu Questions pour un champion, animé à l'époque par Julien Lepers. Il utilise son expérience avec humour.
La description du harcèlement scolaire est terrifiante
Un autiste Asperger est souvent perçu comme quelqu'un de bizarre, pas un handicapé, non, mais quelqu'un de bizarre. Que les autres enfants s'en donnent à coeur joie, cela n'a rien d'étonnant et c'est déjà effrayant en soi. Mais que les surveillants, les professeurs, ne voient rien, n'entendent rien, ne réagissent pas, bref, n'aient aucune bienveillance, ce mot pourtant bradé un peu partout, ça m'énerve grave. À en perdre un français châtié.
Alors si ce livre peut contribuer à faire comprendre que nous sommes tous différents, même si certains d'entre nous le sont plus que d'autres, je suis ravie de son succès.

Lien : https://dequoilire.com/einst..
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Raconter la finale de Questions pour un champion est pour Olivier Liron un prétexte pour nous faire comprendre sa différence. "C'est ça que j'aurais voulu dire à Julien Lepers : « Vous ne savez pas ce que c'est. Je suis enfermé derrière un mur de politesse. Attaché et bâillonné. »" Et une fois de plus, 20 minutes m'a permis de faire l'éloge de ce livre en cinq raisons de l'adorer... je les partage avec vous !

Alors, pourquoi ce livre ?

Parce qu'il y a Einstein. Pourtant, le célèbre scientifique est absent de l'histoire. Mais Olivier Liron est un autiste Asperger et cela le rend différent (c'est son mot), et d'une intelligence rare ; d'ailleurs, il est normalien. Mais aussi, il raconte la manière dont cette intelligence hors du commun lui a servi à terminer vainqueur de l'émission Questions pour un champion. Vous avez dit intelligent ? Oh oui, à la manière d'Einstein que l'on voit encore tirer la langue dans tous les recoins d'internet...

Parce qu'il y a le sexe. What did you expect ? Il y a une vie en dehors de l'émission de Julien Lepers, quand même ! Et quand Olivier Liron se remémore ses souvenirs, il se remémore tout, y compris ses premières expériences sexuelles à ranger au rayon des mauvais souvenirs parce que, dit-il, "il n'avait pas le mode d'emploi". S'il n'y avait qu'un seul mot à retenir de ce livre, c'est qu'il dédramatise tout, depuis l'autisme jusqu'aux ratages de l'initiation sexuelle, en passant par l'entrée à Normale sup sans en avoir les codes (ceux-là non plus...).

Parce qu'il y a moi. Bon, vous m'avez comprise : il y a Olivier Liron, plus exactement. Mais il est comme vous et moi : il aime, il déteste, il espère, il souffre, il jubile, il observe, il s'obstine... et il fait tout ça à la puissance mille. Comme tout le monde, en tombant passionnément amoureux, il écrit "J'aurais voulu lui dire (...) qu'avec elle le monde dans lequel je vivais avait changé. Sauf que voilà. Je me suis tu". Mais comme il est Olivier Liron, il enchaîne sans transition avec "Et maintenant je devais répondre à une question de Julien Lepers sur un roman de Dostoïevski".

Parce que la combinaison de tout cela est très drôle. Si vous n'avez pas envie de lire le livre, arrêtez-vous quand même aux citations en exergue : Rimbaud, Einstein, et Julien Lepers mis bout à bout, sans transition, cela plante le décor. Or, cet effet comique, on le retrouve avec jubilation tout au long de l'histoire. Non sans poésie : "Ce que vous m'avez refusé en papillons, je vous le rendrai en tonnes de chenilles urticantes".

Parce que la combinaison de tout cela est grinçante, aussi... Au fur et à mesure qu'il progresse dans Questions pour un champion, Olivier Liron se remémore son enfance, son adolescence, et les obstacles qui se sont dressés sur son chemin à cause de sa différence. Il réussit à nous en faire rire, mais comment ne pas être simultanément bouleversé quand il écrit "... la façon dont les autres vous font comprendre votre différence, ça s'inscrit aussi dans le corps. J'ai dans mes tripes la mémoire de la différence qu'on m'a apprise, qu'on a tatouée dans ma chair".
Lien : https://www.20minutes.fr/art..
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J'attendais beaucoup de ce livre pour lequel il y a de très bons avis et j'ai été plutôt déçu de ma lecture que j'ai trouvé très plate et monotone.

Si vous êtes une fan du jeu "Question pour un champion" ce livre est fait pour vous mais moi il m'a vraiment laissé de marbre,

Cela se lit rapidement mais je n'ai eu aucun attachement pour le personnage principal et j'avais l'impression d'être spectatrice d'un programme que je n'aime en plus pas regarder à la télévision.

Mauvaise pioche pour moi avec cette lecture qui heureusement était un emprunt bibliothèque, le seul point positif son petit nombre de page pour le lire rapidement.
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Intelligent, jouissif et narcissique. L'intérêt de ce livre, c'est d'abord le particularisme d'Olivier Liron, son syndrome Asperger et ses conséquences, comme la difficulté du contact physique avec autrui. Cela fait de lui un être extraordinaire, c'est-à-dire, au-delà de l'ordinaire comme il l'explique merveilleusement bien dans les premiers chapitres. À ce titre, sa critique de l'école républicaine est juste et émouvante (chapitre « la tranchée »). Et sa déclaration d'amour inexprimée (chapitre « Barbara ») est un petit bijou du genre. Les quiproquos, les interrogations et les étonnements d'Olivier sont autant de prétextes à de savoureuses réflexions, à des passages hilarants. J'y ai retrouvé la même sensibilité que dans le roman de l'australien Graeme Simsion (Le théorème du homard) paru en 2015.
« Einstein, le sexe et moi » est un peu notre « Slumdog millionnaire » français. Jamal Malik trouvait les solutions du jeu télévisé en questionnant sa propre existence tourmentée. Olivier Liron nous raconte sa vie en faisant écho à ses réponses, aux souvenirs qu'elles raniment. Et on se prend au jeu. On ne le lâche plus, on veut l'aider à trouver la solution (Sandokan, moi je l'avais :). Un excellent remède à la grisaille ambiante.
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Roman autobiographique dense, au titre surprenant, d'Olivier Liron, jeune autiste Asperger. Sous couvert de parler de lui, Olivier Liron nous parle de la différence, de sa forteresse : "C'est l'image juste, Exacte. Quand on ne peut pas parler, on construit des forteresses. Ma forteresse à moi est faites de poésie et de silence. Ma forteresse à moi est faite d'un long hurlement. Ma forteresse à moi est imprenable. Et j'en suis le prisonnier."

Cette différence qui dès l'enfance le poussait à se croire cygne gracile, se rêver oiseau pour échapper à la violence de ses dissemblables camarades, d'échapper au dégoût porté à son propre corps.

Olivier nous fait vivre ses colères, son avidité d'apprendre, sa solitude, sa participation à "Questions pour un champion" animé par l'unique Julien Lepers. Entre souvenirs venimeux, humour mordant, réflexions drôles, imagées, sur l'animateur, ses adversaires, l'auteur nous fait toucher du doigt la distance avec les "autres", ses aspirations avec un grand sens du détail, du suspense, une écriture captivante.

Récit touchant de cet homme qui se remplit d'informations pour ne pas se laisser submerger par la solitude. Roman réjouissant par ses dialogues parfois cruels, vivants. L'histoire d'une douleur, d'une incompréhension vécue depuis l'enfance. Toute la narration de l'auteur est tendue vers un seul but, raconter dans un rythme soutenu sa particularité, ce qu'elle lui a fait vivre, vers quel but elle l'a fait tendre... la solution trouvée au coeur d'un jeu télévisé : 50 000€ pour s'autoriser à créer, l'écriture pour partager enfin !

J'ai été touchée par la sensibilité de l'écriture, l'émotion, la crudité des scènes parfois donne à voir toute la souffrance, l'amusement, la solitude, l'amour, le plaisir de gagner, l'autodérision.

Ce roman ne résout rien certainement mais la découverte de l'auteur, attachant, de cette écriture tout feu tout flamme, donne un moment de lecture plus que plaisant ! Ravie qu'il est atteint son objectif, gagner sa liberté, ouvert une voie pour un autre regard sur la différence.
"Le fascisme de la norme ? La peur de la différence ? Nous n'y sommes pas condamnés. Grâce à la poésie... on peut transformer la vie." Olivier Liron, aussi !


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Difficile de trouver les mots justes tant ce roman m'a bouleversée à plusieurs niveaux.
Olivier, auteur, narrateur et personnage principal de ce récit autobiographique, est autiste Asperger. Plutôt que d'éviter le monde qui refuse régulièrement sa singularité, il décide de l'affronter. En plus de suivre de brillantes études à l'Ecole normale supérieure, le voilà qui se lance un défi : devenir le prochain Super champion du célèbre jeu télévisé, « Questions pour un champion ».
Le livre est organisé de manière à ce que chaque chapitre corresponde à une étape du jeu : « le neuf points gagnants », « le quatre à la suite », « le face-à-face », et enfin, le « super champion ».
En plus de raconter les moments du jeu durant lesquels sa mémoire faramineuse, ainsi qu'un instinct incroyable, lui permettent de trouver (ou pas) les réponses à une vitesse incroyable, le narrateur revient sur certains passages de sa vie, qui sont parfois tendres (premiers émois amoureux), parfois humoristiques (tout ce qui tourne autour du sexe), mais souvent douloureux (harcèlement scolaire, rejets d'autrui face à son autisme).
J'ai ri mais j'ai aussi eu le coeur serré. Olivier Liron n'écrit pas dans la nuance. Il nous dit : « Je trouve difficile de lire entre les lignes lorsque quelqu'un me parle ». de la même manière, le lecteur n'aura pas à chercher entre les lignes pour se laisser émouvoir par ce deuxième roman écrit par un auteur spécialement doué.
Lu dans le cadre des 68 premières fois.
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Le 25 novembre 2012, Olivier Liron, autiste Asperger de 25 ans, se présente à "Questions pour un super champion". Il s'est préparé tout l'été en apprenant des listes de sportifs, de lieux géographiques, de grandes célébrités… Il espère vaincre le grand champion inégalé, Michel, et remporter les 50 000€ mis en jeu. Il va affronter les 3 candidats, les éliminant à tour de rôle jusqu'au duel final avec Michel. Pendant le jeu télévisé, des souvenirs de son enfance ou de son adolescence lui reviennent, comme ses années à l'école où il a été harcelé, ses premières relations amoureuses, des souvenirs familiaux… Sa passion pour la botanique lui permettra-t-elle de remporter la finale ?

M'intéressant de très près à l'autisme et notamment au syndrome d'Asperger, ce récit autobiographique au titre énigmatique a attiré mon attention. Je l'ai lu avec intérêt, notamment quand le narrateur parle de son handicap et de ce que les autres lui ont fait subir. Cette partie est très intéressante pour les personnes qui connaissent l'autisme ou pour ceux qui ne connaissent pas bien ce handicap. Les explications y sont claires.
Ce récit se lit facilement, il est écrit avec beaucoup d'ironie, notamment quand l'auteur fait le portait de Julien Lepers, l'animateur de l'émission. Ces descriptions nous font sourire car elles sont pleines d'esprit critique, d'humour et de dérision. de plus, ce récit est rapide à lire avec ses 180 pages.
Il y a beaucoup de digressions dans ce livre, l'auteur passe d'un souvenir à un autre en revenant au jeu télévisé, reflet de son esprit "pyramidal" qui rebondit constamment d'un thème à un autre.
Après cette lecture, je m'interroge toujours sur le sens du titre de ce livre. "Einstein" sans doute parce que l'auteur a une intelligence hors-norme et "le sexe" parce qu'il fait référence à plusieurs de ses histoires amoureuses.
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 « ... il y a toujours plusieurs points de vue, en matière de politique, d'amour ou de religion...
Et que pour la plupart des enfants de l'immigration, de l'émigration ou de ce que l'on veut,
il n'est pas si évident que ça, le «bon point de vue ».

C'est justement ce bon ou mauvais « point de vue » qui est venu me frapper comme un boomerang. Moi qui ne comprenais pas, petite fille, dans quel point de vue me situer : L'immigration ? L'émigration ? Quelque chose d'inexplicable que personne à part mon chien, mon seul confident, pouvait comprendre. Ce « point de vue » créait un mal être, une colère étouffée dans mon coeur de petite fille et ensuite de femme et voilà qu'Olivier entre, sans bruit, dans ma bibliothèque et en seulement 5 petits mots comprend enfin ce putain de « Point de vue » !

C'est en participant à « Question pour un champion » que l'auteur, Olivier Liron, nous raconte les coulisses du jeu télévisé et des instants de vie. Chaque question, en une fraction de seconde, le plonge dans ses souvenirs, heureux ou malheureux, parfois avec colère, souvent avec humour mais jamais avec pathos. A chaque question que Julien Lepers lui pose, j'étais à ses côtés, fébrile et stressée prête à défoncer le buzzer avec lui. Pendue à ses mots, j'espérais l'heureuse réponse qui le mènerait vers la finale. Et puis le voilà, rattrapé par ses souvenirs d'enfance, d'adolescence et puis d'homme.

C'est un véritable coup de coeur que j'ai eu pour ce roman et pour cet auteur. Je ne croyais pas passer un aussi bon moment de lecture avec Olivier et pourtant son histoire m'a bouleversée. Est-ce les réminiscences de nos origines ? Sa grand-mère Joséfa et son parlé franco-espagnol qui raisonne encore en moi ? Sa sensibilité ? Sa plume à la fois brute et délicate ? Sa colère ? Les injustices ? Sa poésie ? Sa sincérité ? Ou tout simplement un florilège de tout cela qui rend se livre si touchant et irrésistible. Je suis passée par toutes sortes d'émotions, du rire aux larmes. La colère m'a serrée la gorge, parce que moi aussi j'ai eu un Benoît d'qui a pourri mon adolescence mais fort heureusement j'ai croisé une Mme Henry qui a su adoucir mes peurs et me guider, comme une mésange bleue, vers les mots salvateurs. Une force se révèle en nous, nous montre le chemin de la résilience et nous murmure tout bas que « La vie est là simple et tranquille »

- « Auteur né en 1987 à Melun, Il obtient son doctorat en lettre,
Écrivain, scénariste, dramaturge, acteur et musicien il obtient le Grand Prix des Blogueurs littéraires en 2018 avec son deuxième roman ... Yé soui... yé souiiii ... »

- « Olivier LIRON ! »
- « Olivier LIRON c'est votre réponse ? »
- « OUI ! Olivier LIRON »
- « Olivier Liron ... oui, oui, ouiiiii ... c'est une excellente réponse !

Olivier LIRON, un auteur à découvrir !
Einstein, le sexe et moi, un roman à lire absolument !
Lien : https://marque-pages-buvard-..
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