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EAN : 9782362791956
227 pages
Alma Editeur (25/08/2016)
3.93/5   96 notes
Résumé :
Un soir chez des amis, O. rencontre Loren, une acrobate fougueuse et libre aux cheveux couleur de seigle. Ils s’éprennent follement, s’étreignent et s’aiment le jour et la nuit dans la ville qui leur ouvre les bras. Mais Loren disparait sans un mot. Inconsolable, têtu O. la cherche jusqu’à Tombelaine en Normandie. Là, il apprendra pourquoi la jeune fille si solaire et fragile, est partie sans pouvoir laisser d’adresse.
Librement inspiré d’Orphée et Eurydice, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (51) Voir plus Ajouter une critique
3,93

sur 96 notes
Sans tourner les phrases dans tous les sens et sans poésie aucune, je vais droit au but en affirmant que je n'ai pas aimé ce roman et cette première rencontre avec Olivier Liron.

Une revisite du mythe d'Orphée où l'auteur mélange humour, poésie, sexe et vulgarité. Quel étrange cocktail. Même le mythe d'Orphée de la bouche de mon fils est bien plus jolie que cette histoire.

Une histoire d'amour ou de coup de foudre qui finit mal, voilà le thème du livre où ça tire en longueurs pour pas grand chose ou pour nous emberlificoter dans des figures de styles alambiquées dans le but de noyer un fond inexistant. Je suis dure mais je suis surtout déçue. de ne pas avoir été sensible à une plume qui revêt des allures poétiques, qui pose question, qui parfois fait mouche. Déçue des définitions de l'amour de l'auteur que je ne cautionne pas. « On tombe d'abord amoureux d'un corps ». A vingt ans alors ? Car personnellement, ce n'est pas d'un corps que je m'éprends mais d'un ensemble, d'un sentiment de bien être qui m'habille auprès de l'autre.

Je ne me suis attachée à aucun des personnages qui sonnent totalement creux.

Ce n'est ici que mon maigre avis. Je crois que ce style narratif n'est pas fait pour moi tout simplement.

Mon ami David aura peut-être eu une toute autre approche de ce livre, bien plus pertinente que la mienne. C'est tout ce que je lui souhaite car une lecture, un roman devrait toujours être caresse et bonheur.
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Comment dire ?

Aïe... Je n'aime pas commencer mes billets par cette phrase... En général, ça augure plutôt
- d'un très mauvais livre, pour lequel j'essaye de terminer malgré tout sur une note positive avec une chronique humoristique,
- d'un livre fade qui ne m'offre aucune inspiration et pour lequel je zappe tout simplement la critique,
- ou dans le pire des cas, d'un livre qui me dérange, me met mal à l'aise, m'apporte un sentiment tellement mitigé que la critique en est difficile à écrire.

Je dois dire que ce livre d'Olivier Liron fait partie, en ce qui me concerne, de ce dernier cas de figure.

L'idée de départ semble classique. Une revisite de l'histoire d'Orphée, bravant les Enfers pour en sauver Eurydice, sa bien-aimée... Une histoire au final tragique, comme souvent dans la mythologie grecque, qu'Olivier Liron tente pourtant de dépoussiérer en faisant d'Orphée un « bad boy romantique ».

Dans son roman au titre si poétique, tout débute pourtant si bien. Notre Orphée des temps modernes rencontre son Eurydice. La rencontre est belle, sympathique, les premiers sentiments amoureux sont touchants, frais, poétiques, humoristiques...
J'y trouverais même un peu de la poésie de Mathias Malzieu au détour de quelques lignes...
On sourit, on se laisse pousser des ailes en suivant ces deux papillons dans leurs premiers ébats amoureux, en les regardant virevolter au gré des pages comme une danse d'atomes d'or...

Puis arrive le premier tiers du roman et tout autre chose se met en place... Une scène de sexe crue, brute, sans finesse, sans imagination...
Une écriture en phrases courtes qui ne laissent plus la moindre place à l'émotion, à la poésie, aux sourires...
Un changement de style qui ne me paraît même pas voulu mais qui sonne en moi le glas...

A partir de cet instant, j'ai troqué mes ailes de papillon pour des boulets de forçat... Je me suis senti comme Papillon terminant sa journée de bagne à Cayenne, avançant péniblement un pied devant l'autre pour regagner sa cellule...

L'auteur semble alors se chercher entre humour, poésie et drame, se perd dans des passages totalement creux et dénués d'émotions :



Au-delà de tout cela, ce qui m'a mis plus mal à l'aise encore est ce sentiment d'avoir été le témoin d'une relation difficile que semble entretenir l'auteur avec le sexe...
Relation crue, froide, mécanique, presque bestiale... et qui se reflète à travers quelques phrases, hors propos, avec une obnubilation dérangeante :



Ce n'est bien sûr qu'un sentiment personnel.
L'auteur se confie toutefois en fin de livre en nous informant qu'il a commencé à réfléchir à ce roman après une rupture amoureuse et mentirait s'il disait que ce roman n'est pas autobiographique.
Il nous dit également que « ce livre est une déclaration d'amour à la poésie, qui nous permet de toujours survivre à tout, ou presque ».
J'y vois surtout un grand cri personnel, où je me suis senti étranger malgré, je le reconnais, quelques jolies touches de poésie parsemées par-ci par-là mais bien trop rares.

Après avoir lu coup sur coup Lucas Clavel et Mathias Malzieu, mes références toutes récentes en poésie ont davantage mis en ébullition mes molécules poétiques que cette danse d'atomes d'or.

Dommage. Je me faisais pourtant une joie de partager cette lecture commune avec toi, Magali. Mais nous nous rattraperons sur la suite de Et je danse aussi :0)
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Alors que je relativise encore sur la théorie d'Einstein, sur le sexe (pas celui d'Albert) et sur moi-même (la théorie de mon âme pas de mon sexe), un verre à la main, couleur atome d'or (pour celles et ceux qui s'interrogent secrètement sur la couleur des atomes, ces derniers ont la couleur dorée d'un Vouvray), je la vois cette brune, intense et mystérieuse, un sourire à faire craquer ma braguette, des yeux à faire pétiller le bleuté de la lune. Une Eurydice, si je veux m'aventurer dans la mythologique. Appelle-moi donc Orphée et je serais tout pour toi, j'irai jusqu'à Caen ou même aux Enfers. Je m'allongerai dans la poussière, mettant les draps de ma vie au pied de mon lit, je t'accueillerai sur moi où tu seras libre de me chevaucher, les cheveux en bataille la sueur en perles, comme si tu traversais la pampa jusqu'au soleil couchant, jusqu'à ce qu'un oiseau se pose sur ton épaule pour la nuit ou qu'une nuée de papillons s'envolent par la fenêtre pour achever leurs jours.

Orphée et Eurydice, c'est une histoire d'amour, une histoire de passion, une histoire de sexe que tu prends dans ta bouche que je caresse de ma langue, une histoire de rencontre qu'un regard à bouleversé à tout jamais. Mais voilà, les histoires d'amour finissent… en général.

L'amour en une seconde, un sourire, un verre, c'est ça la poésie de la vie, sa magie son petit bonheur que rien n'effacera de la mémoire. Eurydice s'en va, d'autres horizons, une fuite sans un mot, Orphée reste sur le quai de gare le silence l'entoure les bars ferment leurs rideaux. L'amour fragile et le sexe pur comme le mélange de la sueur et de la poussière, une poussière qui te couvre d'or et danse autour de toi, poussière d'or, un or brun comme mon verre de rhum, une autre couleur des atomes d'or. Eurydice a fui vers le soleil couchant, la tristesse de Cuba et une nouvelle histoire de rhum. J'aime ces histoires de rhum, ces histoires d'amour et de sexe, ce regard porté entre spleen et tristesse dans ce verre de rhum, car la vie la mort ne sont qu'un mélange subtil de parfums, celui du jasmin et du rhum, les deux plaisirs divins, de ton sexe coule, de mon rhum s'écoule.
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Ce livre revisite avec beaucoup de sensibilité le mythe d'Orphée et Eurydice. Olivier Liron a une écriture poétique, très agréable à lire et il aurait été vraiment dommage qu'il ne trouve pas un éditeur pour ce premier livre !!!
Je suis tombée immédiatement sous le charme de son style et de l'ambiance créée. Il y a une dimension charnelle, sensuelle associée à une atmosphère que je qualifierais presque d'onirique, de magique.
Tout en abordant un sujet grave, olivier Liron parsème des petites notes d'humour et, je me répète, beaucoup de poésie.
Les références culturelles sont nombreuses pour notre plus grand plaisir.
On apprend dans une note de l'auteur que ce livre est en partie autobiographique ce qui ajoute un attachement pour ce livre . Bravo !
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C'est Olivier Liron lui-même qui m'a conseillé la lecture de son premier roman, Danse d'atomes d'or, après avoir pris connaissance de mon ressenti mitigé pour Einstein, le sexe et moi… Il était certain que cette histoire d'amour à la Boris Vian qui revisite le mythe d'Orphée et d'Eurydice allait me plaire davantage…

Le titre est déjà une invitation poétique…
La danse me fait penser à une suite harmonieuse et rythmée, souvent trop codifiée, parfois libérée des contraintes ; c'est une succession avec des variations, un mouvement permanent ; il y a quelque chose de beau et d'artistique sous-entendu. La fête foraine et le cirque tiennent une place importante dans ce livre, lieux de spectacle, d'illusion et de mise en scène des corps ; la grande danseuse et chorégraphe Pina Bausch y est citée. Il y a également la danse des vagues, le flux et le reflux, « petits brins d'écumes à qui l'on peut tout raconter »… et surtout, la danse des mots.
Les atomes sont des constituants fondamentaux de la matière, de l'ordre de l'infiniment petit, poussière ou particule, ou même de l'invisible. Ils apportent une notion d'énergie, pas toujours positive quand on pense au nucléaire. Les personnages du livre sont pris dans un tourbillon tragique, une prédestination fatale.
Et l'or, alors ? Ce métal précieux évoque-t-il ici la richesse, un ornement, une caractéristique exceptionnelle ou une coloration de l'ensemble ?
Cette danse d'atomes d'or est bien plus que le reflet du soleil qui transforme la poussière. Olivier Liron a dit lui-même qu'« un titre doit donner une couleur au livre »…

Ce roman est d'inspiration très personnelle : il n'est pas anodin que le narrateur s'appelle 0, une simple initiale. le récit est à la première personne et le narrateur nous dit souvent qu'il décrit les choses d'une manière qui n'est sans doute pas exactement celle dont elles se sont passées entre mensonges, simulations, mise en scène de la mémoire et de l'émotion, invention des souvenirs : « le réel est une fable autobiographique ».
L'Histoire d'Orphée et d'Eurydice prend ici une coloration assez féministe car c'est la femme aimée qui mène le jeu, qui décide de sa vie et de sa mort ; elle reprend à son compte les désirs et les postures d'Orphée et le place dans l'attitude impuissante d'Eurydice. Danses d'Atomes d'or est l'histoire d'une Eurydice qui part et ne se retourne pas, qui ne veut pas attendre sagement son homme toute sa vie.
J'ai profondément adhéré à l'onomastique des lieux : la rue Gît-le coeur et Tombelaine… Les personnages portent aussi des noms improbables ou prédestinée ; ainsi Loren, prénom que le narrateur ne saisit pas d'emblée porte en lui la Laure de Pétrarque qui inspira toute son oeuvre poétique et son véritable nom est aussi lourd de sens. O. est à la fois Olivier et Orphée… Virgile Vediani me rappelle le guide de Dante aux Enfers dans La Divine Comédie, et pas seulement dans sa vision du périphérique de Caen. Les autres personnages sont-ils plus eux-mêmes que les noms écrits sur les post-it qu'ils se sont collés sur le front au début du livre?
L'écriture est belle, poétique, parfois très terre à terre, souvent décalée ; parfois, elle mérite qu'on s'y attarde et qu'on l'analyse, parfois il faut la prendre comme elle est sans trop chercher. L'écriture réinvente et redonne vie, elle collecte et rediffuse…

Olivier Liron avait raison : ce roman m'a parlé, m'a émue et m'a beaucoup intéressée. C'est juste une belle histoire d'amour qui finit mal mais elle est superbement mise en valeur par le recours au mythe, miroir révélateur et par un style très personnel.
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Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Toutes les chaises du bar étaient rentrées.

- On ferme, dit le serveur.

Nous avons quitté le bar et marché dans la nuit complice. Seule une arche de vieilles rues entendit nos paroles. Au-dessus de nous, le ciel prenait une couleur ventre de cachalot ou glace à la fraise, et semblait s’incurver dans l’autre sens, comme si la surface courbe du ciel se présentait sous nos yeux neufs.

[...]

J’avais la plus douce des drogues dans la tête. Je faisais une overdose de joie, tant la vie était devenue une bulle légère de champagne, un astronef en dérive à 36 000 mètres dans la stratosphère, un tapis volant glissant au faîte de chaque nuage, de chaque seconde, de chaque instant.

Et la joie, la joie réelle, la joie l’emportait. Et j’éprouvais une joie qui était encore, probablement, supérieure au plaisir. Car le plaisir nous entraîne vers la joie, mais ce n’est qu’un signal, quoi qu’en disent les cyniques, un indice, un précieux stratagème ourdi par la nature afin de nous informer que nous sommes sur le bon chemin, une étape sur la carte au trésor de la vie.

Mais en fin de compte, nous espérons secrètement la joie, nous voulons l’exultation pleine et entière, nous voulons la destruction ultime du corps ; le plaisir peut se tromper d’objet, la joie, elle, ne trompe jamais, la joie ne se trompe pas.

J’étais en ascension vers une fête inconnue, saoul de toi, et je voulais simplement ne pas me réveiller, ne pas retourner dans le monde, continuer à dormir pour l’éternité comme un petit ballon léger et rose, ne jamais me réveiller.

Je souris, je me laissais bercer.

Vous, en mes lieu et place, auriez-vous été fou amoureux ?
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Je t’ai cherchée dans nos matins et dans nos nuits. Je t’ai cherchée dans les sept paliers de ton sourire. Dans les petites rides au coin de tes yeux de source. Dans le désir de ton cou. (...)

J’ai cherché nos lieux secrets. (...) Je t’ai cherché dans tous les recoins familiers du monde. Dans les frissons inconnus. Dans le frôlement d’autres corps, d’autres mains.

Je t’ai cherchée dans la géographie incertaine de l’insomnie où la vie se mêle aux songes, lorsque la conscience bascule dans le manque, dans l’absence.

Je t’ai cherchée avec la foi de l’enfance.

Je ne savais pas si tu étais vivante. Je t’ai cherchée. Partout. A tous les étages de la mémoire et du réel. Dans tous les recoins de l’errance et du vertige. Je t’ai cherchée jusqu’à en perdre l’équilibre. Je t’ai cherchée sur le fil des jours.

Petite acrobate.

C’est l’hiver. Il est impensable de vivre quand on ne peut pas faire le deuil d’un amour.
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Elle se pencha pour me murmurer quelque chose dans le creux de l'oreille :
- Ce n'est pas parce que j'aime terriblement ta queue que je ne suis pas une femme sentimentale, mon chou. Au contraire. Tu connais Anaïs Nin ?
- Un peu, enfin, à vrai dire, pas vraiment, confessai-je.
- Cette femme vivait sa vie comme un incendie. Un incendie contre le quel il n'y a rien à faire. Le désir nous consume, nous entraîne. Il faut seulement se laisser dévorer. Elle a écrit des choses sur le corps féminin. Des choses que personne n'avait dites avant. J'ai lu tous les volumes de son journal. Je crois que l'amour, personne n'a mieux dit à quel point c'est indissociablement lié au désir sexuel, au plaisir. A quel point ça peut devenir une puissance incroyable... Et personne n'a mieux expliqué la seule vérité sur la question.
Elle me caressa le haut de la cuisse à travers mon pantalon.
- Une vérité. Voilà qui est intéressant. Le Grand Secret... Et c'est quoi LA vérité sur le sexe ?
- La vérité : le sexe est purement mécanique et, en même temps, le sexe n'est jamais purement physique, jamais mécanique à cent pour cent. Le sexe, il faut le rendre intéressant. Il faut y mêler la faim, le désir, la luxure, des caprices, des lubies, des liens personnels, des relations plus profondes, des conneries de rien du tout qui en changent la lumière, l'intensité, la couleur, le parfum les rythmes. Voilà ce que je sais, il faut y ajouter des larmes, du rire, de paroles et des serments absurdes, de la violence, des promesses et des chansons. Des paysages. Des scènes de jalousie, de fureur, de haine. Il faut y ajouter toute les drogues de la poésie, de la musique, et surtout la danse. C'est une danse qui nous ouvre au monde.
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Je me dois de préciser qu'il y avait toujours un moment, dans les soirées que nous passions ensemble, où Thmtn se levait pour écouter Moi... Lolita en boucle. Je dois dire que nous n'avions jamais compris son hystérie autour de cette chanson. Un jour, nous lui avions demandé franchement ce qu'il lui trouvait, à cette chanson peu à la hauteur de la prodigieuse démone de Nabokov, et c avait pris un air pâle comme la mort, vraiment inquiétant : "Cela me fait penser au lieu où s'abolissent les chemins, au heavy metal de mon enfance, aux steppes enneigées de Sibérie que je n'ai jamais vues. Aux grands mammouths congelés. Et aussi, avait-il ajouté, à ce que sera certainement devenue l'humanité dans plusieurs siècles quand la Suisse aura décrété la suppression des mésanges." Et il avait eu un air tellement triste, si triste et si funèbre en disant cela, que nous avions préféré ne plus jamais le questionner sur Lolita. Et voilà. Nous le laissions chanter. Moi / Je m'appelle Lo / Lita. Un sourire béat rutilait sur son visage. Il était heureux comme ça, il devenait après minuit une jeune collégienne aux bas bleus de méthylène, et il était heureux, et c'était tout.
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J’ai pensé que le bonheur, personne ne peut en forcer la porte, le trouver artificiellement. Il ne s’ouvre pas de l’extérieur, le bonheur. Il est malin. Il est beaucoup plus malin, mille fois plus que vous. Il est fermé à clé depuis l’intérieur. Et personne n’a la clé. Le bonheur ne s’ouvre que de l’intérieur.
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