Aux XVIe et XVIIe siècle, l'écriture codée représentait la fine pointe de la technologie. Comme ceux d'aujourd'hui, les gouvernements d'alors devaient être en mesure de recevoir des rapports et de faire parvenir des directives à leurs agents en poste à l'étranger de manière sécuritaire, c'est-à-dire en évitant tout risque d'interception. Certains des plus grands esprits de l'époque consacrèrent du temps à l'élaboration de codes pouvant fournir ces garanties, Francis Bacon en faisait partie.