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Quand Julien Makambo, jeune immigré clandestin congolais, débarque à Paris, il meurt virtuellement une première fois en devenant José Monfort. Il est pris en charge par son presque beau-frère Pedro, et ils vivent de petites combines. Mais les temps sont durs, et pour remonter ses finances, Pedro prépare un gros coup auquel il associe José. Et cette fois, ce n'est pas seulement une mort virtuelle qui est en jeu...

Il y a du Chester Himes dans ce roman ! Pas tant dans la forme de l'écriture : on est loin de la truculence pagnolesque de l'américain. Mais à coup sûr dans la façon dont Mabanckou raille les travers de cette petite communauté congolaise qui s'entasse dans un appartement parisien : on affiche une solidarité de façade, mais on se jalouse sans se l'avouer ; on survit de petites embrouilles, mais on veut paraître en s'achetant les plus belles fringues ; et on fait preuve d'une grande naïveté...
Julien/José est un personnage attachant, qui se laisse griser par une vie qui lui paraît facile, et que Pedro peut manipuler à sa guise. Il a bien, de temps à autre, des éclairs de lucidité, mais le collectif et l'argent étouffent rapidement sa méfiance. On comprend que pour lui la chute sera plus dure.
De sa belle écriture, à travers ce roman noir, Alain Mabancjkou nous fait découvrir un bout de la communauté africaine de Paris. Il y met de la tendresse mais pas de complaisance. La critique est d'autant plus sévère qu'elle est suggérée plus qu'exprimée.
Belle découverte d'un roman aussi noir que caustique !
Lien : http://michelgiraud.fr/2020/..
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"Tais-toi et meurs", est un livre du flamboyant , truculent et talentueux écrivain , franco-congolais , Alain Mabanckou .Le principal protagoniste du roman est Julien Makambo alias José Monfort .Ce dernier est un jeune congolais naïf et rêveur .l débarque à Paris avec de faux papiers .A son arrivée sur le sol français , il est pris en charge par José Pedro , le caïd de la pègre congolaise à Paris .Pedro est un truand rusé , futé , un renard et un manipulateur .Ce dernier va initier Julien aux combines qui vont lui permettre de se faire de l 'argent et vivre comme un nabab .Il porte des habits chatoyants .Il connaîtra l 'alcool et les femmes .Les jeunes qui comme Julien ne savent pas qu 'ils sont exploités par le caïd qui les place dans de petits logements et ils sont nombreux à vivre dans des conditions déplorables et dans la promiscuité .Le grand frère est là pour veiller sur eux .
Pedro propose à Julien une mission très délicate et il doit la faire sans poser des questions .C 'est ainsi que Julien se
retrouve , un vendredi 13 , témoin de la défenestration
d 'une jeune femme .Il est arrêté et placé en détention
provisoire .En prison , il écrit un journal , dans lequel il
tente de reconstituer l 'enchaînement sinistre des événements qui l 'ont conduit là où il se trouve .
Ce roman est certes un thriller mais il est aussi réaliste
en nous montrant dans quelles conditions déplorables et
précaires vivent les clandestins qui fuient leur pays pour
un Eldorado fictif .






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La cavale intra-parisienne d'un malchanceux.
Le roman est surtout prétexte à l'étude ethno-sociologique des exilés congolais à Paris.
Croyances ancestrales, coutumes et traditions, système d'et magouille, délinquance, organisation verticale patriarcale, tout y est repertorié et décrit.
Le héros Julien Makanbo n'a vraiment pas de chance (normal, c'est le thème de la collection dans laquelle le roman a été intégré) : témoin actif d'un meutre, il refuse d'en endosser la responsabilité et passe un long temps en préventive.
Les descriptions du mode de vie des exilés congolais en communauté à Paris, de la survie à la marge de la légalité, des liens hiérarchiques ataviques régissant ces micro-sociétés, de l'obédience quasi-maladive à la "sape", par un auteur que l'on peut difficilement soupçonner de complaisance ou de caricaturisme, sont précises, vivantes,et constituent la trame du roman.
Par contre la portion "polar" est ténue, se résumant à une partie de cache-cache dans des fiefs africains à Paris.
Mabanckou semble assez peu inspiré dans cette oeuvre, à priori de commande, qui se lit facilement mais sans passion excessive. Son intérêt réside surtout dans les pérégrinations de cette micro-société africaine qui survit selon ses règles en exil en France.


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Julien Makambo est un jeune homme naïf originaire du Congo Brazzaville détenu à Fresnes car inculpé du meurtre par défenestration d' une jeune femme.Par flashbacks successifs , il nous narre son arrivée à Paris, la promiscuité dans le studio qu' il doit partager avec six de ses compatriotes, les activités mafieuses auxquelles il se livre sous la direction de son mentor et accessoirement beau-frère Pedro, la vie nocturne , l' alcool, les filles et le monde frivole de la Sape (Société des ambianceurs et des personnes élégantes)...Un style accrocheur, beaucoup d' humour et un suspense maintenu jusqu' au bout : ce n' est, en effet, que dans les dernières pages que l' on découvre comment le jeune Julien "les ennuis", alias José Montfort au vu de ses faux papiers , s' est fait impitoyablement piéger par les caïds de sa tribu parisienne.
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C'est mon premier roman de cet auteur que j'ai connu à travers ses différentes interventions télévisuelles ou radiophoniques. J'avais très envie de le découvrir, également, pour son écriture sachant bien que je devrai sortir de ma zone de confort.
Mais j'ai trouvé ce roman, qui est un vrai polar, et qui m'a finalement permis de découvrir cet auteur sans trop m'éloigner de mon style de prédilection.
Et, Je dois avouer que je n'ai pas été déçu, Ce récit se déroule à Paris dans le milieu des Congolais Brazzaville. On est plongé dans la vie d'une communauté immigrée du Congo qui vit en communauté dans un petit studio. Ils assurent leur quotidien à coup de petites rapines. Ils sont organisés avec une hiérarchie bien établie. Mais, l'appât du gain peut parfois changer les choses.
Ainsi, on partage leur quotidien, les hauts et les bas, leurs environnement et on finit presque par s'y trouver bien, même si c'est loin d'être tout rose. Ce roman est bourré d'humanité, de solidarité voire de fraternité mais on en verra vite les limites.
Pour ma part, j'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur. Ce récit est empreint d'une très grande humanité. Ça fait chaud au coeur. Les personnages sont particulièrement attachants et pour ne rien gâcher, une vrai intrigue est développée avec ses rebondissements et son petit suspens.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce court roman bien mené . Je suis convaincu par la plume de l'auteur qui m'a aussi permis de découvrir la littérature africaine que je lis très peu par manque d'occasion.
N'hésitez pas, vous devriez passer un bon moment.
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Un vendredi 13 c'est selon, soit tout bon, soit tout pourri. Eh bien là, c'est une journée comme on n'aimerait pas imaginer.

Dans le monde de la sape congolaise de Paris, le jeune Julien, alias José, va, de fil en aiguille, se faire une place auprès de Pédro. Jusqu'au fameux vendredi 13 où il se trouve au mauvais endroit au mauvais moment. Et comme il est noir et vêtu d'un costume vert bien criard, son sort est jeté !

Alain Mabanckou nous ballade dans Paris, loin du Paris bourgeois ou du Paris pour touriste américain. Et au détour des endroits visités on fait connaissance d'un milieu organisé autour de personnalités pittoresques, vivant de trafics divers de billets de métro et de faux papiers.

Avec humour et dérision, l'auteur nous ballade au gré des mésaventures de notre héros. Un bon bouquin qui se lit vite sans être vraiment le thriller annoncé sur la couverture.
Lien : http://animallecteur.canalbl..
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Premier livre d'Alain Mabanckou que je lis, trouvé purement au hasard à la bibliothèque il m'a donné envie par son thème policier/thriller mêlé à de l'humour, il me semblait distrayant et c'est ce que je recherchais.
Je n'ai pas été déçue ! Ce roman a été tout à fait divertissant, drôle et plutôt haletant.
C'est l'histoire de Julien Makambo, plus connu sous le faux nom de José Montfort depuis qu'il est arrivée du Congo en France grâce à son beau frère Pedro. On va suivre les deux, ainsi que leurs cinq colocataires également venus du Congo et qui trempent tous dans des magouilles et traffic en tout genre afin de gagner leur vies, en plein coeur du 18ème arrondissement de Paris. Jusqu'au jour où les simples magouilles se transforment en crime dont Julien sera le malheureux témoin, il sera traqué par la police et contraint de se cacher.
J'ai beaucoup aimé l'humour général du livre qui réussi à rendre ce petit thriller plutôt léger et agréable. La plongée dans la culture congolaise est vraiment réussie et ajoute une vrai identité à ce roman. La narration est fluide, simple, très vivante et nous entraine de ce méli-mélo entre vol, magouille et crime !
Une sympathique première découverte d'Alain Mabanckou.
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Julien Makambo, alias José Montfort en France, est un Congolais venu vivre à Paris. A son arrivée dans la capitale, il est pris en charge par Pedro, son presque beau-frère et néanmoins figure incontournable du "Milieu" congolais. Il est initié aux petites magouilles comme la revente de titres de transports dans le métro, qui lui permettent de gagner de l'argent rapidement. C'est le début de la belle vie, de l'achat des belles sapes, malgré la colocation à plusieurs, entassés dans un petit studio rue de Paradis.

Le temps passe, ainsi que la valse des filles, les soirées, les engueulades et les rires... jusqu'à la dernière "mission" de José, qui va mal tourner. Une femme blanche est défenestrée ; il est vu devant l'immeuble (dans un costume couleur diabolo-menthe, très discret !) et bientôt recherché par la police. Son récit nous parvient depuis la prison de Fresnes où il écrit son histoire, comme un témoignage d'une vérité qui ne peut éclater au grand jour.

C'est le second livre d'Alain Mabanckou que je lis, et j'ai retrouvé là ses thèmes de prédilection, avec ce petit plus du roman noir. Il dépeint la communauté congolaise, la débrouille pour ceux qui arrivent, ou la SAPE (et l'enseigne "mythique" qui l'illustre, la boutique Connivences). Les lieux ont aussi leur place de choix dans son roman : le quartier de Château-Rouge et le 10e arrondissement de Paris, Montreuil. Il aborde aussi la répercussion d'affaires criminelles mettant en cause des immigrés, et attisant le racisme. L'appropriation par les politiques de cette "affaire de la rue du Canada", où a eu lieu le meurtre. Les petits larcins ; vols de chéquiers, faux papiers, intimidation. La dureté psychologique de la vie carcérale aussi, par le personnage de Fabrice, compagnon de cellule du héros, qui se désole d'avoir laissé sa femme et son fils dehors. Mais aussi et surtout, l'écrivain met en avant le poids des liens qui unissent José à Pedro, et aux autres, à ceux qui l'ont accueilli en France, qui ont partagé une entraide qui n'a rien de gratuite. Tout se paye au royaume de la soi-disant solidarité, et dans son cas le prix sera le plus fort.

Car ce titre, Tais-toi et meurs, c'est l'injonction qu'il reçoit par la communauté de ne pas trahir, d'endosser une faute qui n'est pas la sienne. Tant pis pour sa vie, celle de Pedro vaut "plus", car il est perçu comme un bienfaiteur, et cela arrange tout le monde de fermer les yeux sur un petit dérapage... Tant pis pour la vérité, pour la justice et l'innocence. Il faut bien que quelqu'un paie : ce sera José. En même temps, quand on sait que son nom, Makambo, signifie "les ennuis", on comprend mieux le destin tragique qui attend ce jeune homme...qui lutte de toutes ses forces pour redevenir Julien, celui qu'il est vraiment, quitte à en perdre symboliquement la vie, c'est à dire son existence aux yeux de la toute-puissante communauté.

Ce roman aux facettes multiples mêle portrait sociologique, polar et rire. Pour l'apprécier à sa juste valeur, il faut - à mon sens - le prendre dans sa globalité, et s'intéresser à tous ses aspects, ne pas le lire que comme un policier. Cependant, arrivé à sa fin, il risque de vous laisser, comme moi, un goût amer dans la bouche.

http://manouselivre.com/tais-toi-et-meurs/
Lien : http://manouselivre.com
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Dans cet excellent roman noir, Alain Mabanckou nous entraîne, en compagnie de Julien Makambo, son héros, au coeur de la communauté congolaise de Paris. Fraîchement débarqué de Pointe-Noire, le jeune homme est pris en charge par Pedro, son « beau-frère », qui en fait rapidement son homme de main. En deux temps trois mouvements, voilà Julien devenu José Montfort et partageant un appartement et le quotidien de quelques compatriotes. Au menu : petites magouilles et trafics louches en tout genre pour subsister. C'est une véritable économie parallèle que l'auteur nous dépeint ainsi.



Du jour au lendemain, cette vie « paisible » bascule lorsque Julien/José, en mission pour Pedro, se retrouve mêlé à un assassinat et est présenté comme l'Ennemi Public numéro 1.



C'est le récit de son cheminement depuis son arrivée sur le territoire français que nous livre Julien qui, depuis la prison de Fresnes, entreprend de se raconter dans l'espoir de se racheter une conduite et d'expliquer son parcours à Fabrice, son compagnon de cellule.



Dans ces pages, sombres et cyniques, l'auteur nous décrit la vie de la communauté congolaise de Paris et les difficultés que ses membres rencontrent. Outre le volet policier, il aborde également les difficultés à faire sa place dans la société française et à s'y installer durablement. Arrivés en France avec de faux papiers, ils se bâtissent une existence faite de logements insalubres, de manque d'agent, de travail illégal, … Pour Julien/José, la rue du Paradis porte décidément bien mal son nom !



Il évoque également les relations et les préjugés qui existent entre Africains d'origine différente, l'occasion de quelques passages bien sentis, voire cocasses. Sur le même ton, à travers ses personnages, l'auteur raille les Français et leurs costumes aux couleurs mornes. Il présente en effet les Sapeurs, qui lient le respect à l'extravagance des vêtements qu'une personne porte. Adepte de cette « Société des ambianceurs et personnes élégantes », Pedro est un pape à Paris et Julien n'hésite pas à suivre son exemple, adoptant complet voyants, Weston et chemises Yves-Saint-Laurent. Son costume vert électrique lui vaudra d'ailleurs quelques déboires.



A travers le récit de Julien et le triste parcours qui le conduit inexorablement vers la prison, Alain Mabanckou signe un roman noir vivant et réaliste, avec l'espoir de réhabiliter son héros, de le présenter comme la victime inconsciente des machinations de Pedro.

Lien : http://nahe-lit.blogspot.be/..
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La collection Vendredi 13, dirigée par Patrick Raynal, compte treize titres dont l'action se déroule autour du vendredi 13 et se termine mal. L'esprit Série Noire est posé et des auteurs tels Bordage, Chamoiseau, Pouy et Alain Mabanckou donnent de l'allure au projet. Compliments, en passant, pour la couverture maline et le format agréable des éditions La Branche (l'objet, le papier rappellent ceux des éditions Sabine Wespieser) .

Le roman de Mabanckou est doublement noir. Monde de pommés, petits truands, filles faciles, trafics de faux en tous genre avec l'ambiance sombre des hôtels et bars malfamés. Mais aussi l'immigration noire à Paris où Sénégalais, Maliens et Congolais, fringués en technicolor, ne semblent pas toujours appartenir à la même Afrique.

Julien Montfort, nom inscrit sur ses faux papiers, immigré congolais de Pointe-Noire, écrit son histoire du fond de sa geôle à Fresnes. Vivant en promiscuité dans un studio parisien, sous les directives de Pedro, toujours à l'affût de bonnes affaires illégales, il est devenu son bras droit mais aussi, malgré lui, son pantin naïf. le vendredi où ils rencontrent le fils de ministre venu de Brazzaville, pour une affaire juteuse, les circonstances ne vont pas faire mentir son vrai nom: José Makambo signifie «ennuis» dans la langue Kikongo. En attendant Pedro occupé à «régler» l'affaire proposée, une jeune femme blonde s'écrase devant lui sur le trottoir. Trop visible dans son costume vert électrique et ses chaussures bordeaux, il s'enfuit effrayé et devient la cible des poursuites et le suspect principal. Pedro lui remet une somme d'argent et Julien/José comprend que l'enjeu du coup est le meurtre dont il ne sait rien. Il se réfugie dans un petit hôtel discret de banlieue.

Quel est son rôle ? Quoiqu'il arrive, il est coincé : la filière congolaise lui propose de se dénoncer à la place de Pedro et de bénéficier plus tard des honneurs et de la protection du milieu. S'il refuse, sa planque sera dénoncée. Je ne dévoile pas l'entourloupe de la fin qui donne son sens au roman : tais-toi et meurs, il est la victime impuissante d'une noire mystification.

On assiste à la transposition d'éléments classiques du polar dans la communauté immigrée africaine parisienne. Un monde clos qui vit de trafics louches sans grande envergure, dans une relative pauvreté, avec quelques figures caricaturales. Personnellement, j'ai trouvé tout cela un peu ennuyeux en dépit de quelques moments de verve pince-sans-rire, un fabriquant de faux documents aux allures de desperado mythique et une nymphomane exultant dans les toilettes. le tout est décrit d'une façon agréable mais très convenue, encore que l'écriture dépouillée sied pourtant à ce personnage simple et candide. Soupir de soulagement, tout à la fin, en découvrant la clé du roman qui lui donne sa dimension.

Il est peut-être souhaitable d'aborder Alain Mabanckou par un ouvrage plus autobiographique et divertissant, un de ceux qui semblent avoir séduit la majorité (Demain j'aurai vingt ans, Black Bazar, Mémoires de porc-épic). Il y a trop de longueurs dans Tais-toi et meurs. Un manque d'unité aussi : je n'ai pas vu l'intérêt de raconter l'histoire du détenu qui partage sa cellule, j'ai cru un moment que l'issue du récit se trouvait là.

L'auteur écrit beaucoup depuis une dizaine d'années : romans, essais, poésies. Est-il toujours bon de multiplier l'écrivain lorsqu'il a du talent ?

Dernier point : hormis le personnage principal qui paraît plutôt victime des événements, on brosse ici un tableau peu engageant de la communauté africaine. À une époque où la question de l'immigration est sensible, faut-il risquer d'en renforcer certains préjugés ?


Lien : http://www.christianwery.be/..
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