C'est un roman de
Patricia Macdonald, donc, ça ne vole qu'un tout petit peu plus haut que
Mary Higgins Clark. Je ne sais pas pourquoi, mais à chaque fois que je peux lire un Macdonald, je m'en réjouis, espérant sans doute qu'elle s'améliorera... Ici, elle est égale à elle-même.
On retrouve des trames récurrentes: la jeune femme célibataire qui rencontre l'homme qui l'aimera et la comprendra. C'est même lui qui contribuera à son sauvetage. Bon, ici, il n'y contribuera pas beaucoup, mais il terrassera le «méchant»...
A un moment, j'ai cru que l'auteur allait nous sortir un vrai rebondissement de sa manche. C'était quand Tess apprend que l'ADN qu'elle a fait analyser correspondrait à celle de l'assassin. J'ai pensé: «Tiens, on connaît déjà le coupable, et elle va réussir à maintenir le suspense autrement. Très bien!» Hélas, ce n'était qu'une ficelle éculée: l'auteur nous jette un coupable en pâture pour en sortir un autre ensuite. D'ailleurs, elle traîne un peu avec son histoire d'ADN: c'est lui, c'est pas lui, c'est presque lui... Bien sûr, elle rend tout cela vraisemblable lorsque Ben explique à Tess que certains marqueurs correspondent parce que... (je n'en dévoile pas trop), mais tout de même, on dirait qu'elle s'embrouille un peu.
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